(GUYANE) Dans la guerre contre la drogue, les personnes condamnées
sont plus des victimes que des personnes dangereuses. Le service
pénitentiaire de la Guyane a indiqué que environ 30% des femmes
incarcérées pour trafic de
cannabis. Ces dernières ne contestent pas
leur culpabilité et sont souvent de jeunes mères qui ne présentent
aucune menace à la société. L'autorité des juges d'imposer des peines
d'incarcération ne peut être contestée mais une alternative devrait
être mise en place pour les femmes vulnérables afin de réellement
éradiquer le trafic ainsi que de réhabiliter les détenues plutôt que
de les enfermer trois ou quatre ans dans des conditions difficiles des
prisons de haute sécurité.
Source :
http://www.stabroeknews.com/2010/editor … marijuana/