Hello, avant d'écrire un billet traitant d'une forme certaine de
PAWS que je vis depuis plusieurs semaines [ j'ai "fêté" le 16 nov. à Paris mes 1 an sans
méthadone en GAV (puis en Dépôt) la claaasse hein:( ] je dépose ce petit billet qui traite de mon état d'esprit là tout de suite dans la seconde.
Je me suis égaré sur PA avec des textes largement HS - issus de mon imagination dézinguée. Mais je vais devoir revenir aux sources de ma première arrivée sur PA en été 2018
Sur ce, je joins une zique de Mr-
En Mode (que je n'écoute plus depuis belle lurette, mais étrangement cette zique je l'ai redécouverte ces trois derniers jours...)
En quoi ce que je ressens parait-il plus vrai que ce que je reflète ?
Y’a-t-il un « vrai » côté du miroir ? Ça devrait être la joie, la liesse, la foire. Au lieu de quoi on hésite, on calcule, on attend, on vit à côté de la plaque et de nos pompes, et on recompte. On se demande, à quoi bon lutter. Mais c’est plutôt à quoi bon continuer ainsi qu’il faut se demander.
La terre nous appelle à redescendre, à décrocher, car ce que nous avons cru céleste n’était qu’une abîme aérienne. Depuis ce régime aux prétentions supérieures, le bonheur est un arrière-monde impénétrable, une croyance désuète pour nous faire gravir des montagnes d’ordures. Aucun paradis ne nous attend, alors organisons la fête.
Car plus rien ne tient.(Lundi matin)