1 2
Dernière modification par pierre (24 janvier 2021 à 19:47)
Hors ligne
Dernière modification par Psychotropeur (12 décembre 2020 à 15:44)
Hors ligne
Hors ligne
Psychotropeur a écrit
On tolbe toujours addict de ce qui compense ce qui nous manque, c'est assez logique d'une certaine manière
Ouai avec un TDA/H les stims ça coule assez de source, mais je suis vraiment contente d'avoir trouvé un début possible d'explication vraiment physiologique pour les poppys, ça me travaillait x)
La 3-MMC plus que la MDMA (ou APBs)? Chelou. En IV ou autre roa?
Je trouve aussi les dissos assez proches de opis dans le bien-être etc, et avec des hallus en plus. J'avais ouvert un topic sur le sujet y a quelques années. A tolérance égale je préfère les dissos :p
Dernière modification par Morning Glory (12 décembre 2020 à 20:54)
Hors ligne
Dernière modification par Acid Test (12 décembre 2020 à 21:07)
Hors ligne
Psychotropeur a écrit
On tolbe toujours addict de ce qui compense ce qui nous manque, c'est assez logique d'une certaine manière
Pas sur du tout, il y a à contrario des hypothèses qui disent que l'on préfère les produits, qui renforcent nos caractéristiques les plus marquées. ex: il y a des gens "désinhibés" de nature, qui n'ont pas grand chose à faire du regard des autres, qui adore les gabaergiques style GHB / Alcool car cela renforce beaucoup ce côté la (moi compris). Pas sur que l'on puisse tirer quoi que ce soit de fiable avec des idéaux de complétudes humains, ou à l'inversion d'obsessions à pousser une caractéristique à fond.
Je pense que c'est assez propre à chaque personne et que l'on arrive encore très peu à avoir des résultats sur le plan phénoménologique, surtout avec les psychédéliques, notions de S&S, etc... (c'est assez bien détaillé dans le bouquin de M.Pollan). Les seules approches théoriques (pas des pratiques: tests en double aveugle randoms etc..) qui existent pour le moment, sont purement mathématiques et sont une branche ultra récente : https://www.sciencedirect.com/science/a … 0715001005
Hors ligne
Morning Glory a écrit
Disons que le rat est facile à élever, il pullule il est petit... Mais il a néanmoins des différences suffisamment fortes avec l'humain pour que je garde mes réserves^^ Cela dit si je n'y croyais pas, je n'aurais pas posté
Peut-être que des substances anti-inflammatoires spécifiques pourraient être intéressantes contre certaines addictions en plus du coup, c'est ce que laissait entendre une de mes sources, je suis curieuse j'espère que ce sera investigué en recherche^^Psychotropeur a écrit
On tolbe toujours addict de ce qui compense ce qui nous manque, c'est assez logique d'une certaine manière
Ouai avec un TDA/H les stims ça coule assez de source, mais je suis vraiment contente d'avoir trouvé un début possible d'explication vraiment physiologique pour les poppys, ça me travaillait x)
La 3-MMC plus que la MDMA (ou APBs)? Chelou. En IV ou autre roa?
Je trouve aussi les dissos assez proches de opis dans le bien-être etc, et avec des hallus en plus. J'avais ouvert un topic sur le sujet y a quelques années. A tolérance égale je préfère les dissos :p
J'ai aussi eu ma période mdma, dieeuu sais que j'ai aimer la mdma, c'est la substance qui m'a le plus procurer de bonheur lors de ma première fois, la drogue ultime! Mais bon, molly, c'est une magie de courte durée, après 6 mois d'excès, impossible de retrouver ce que je cherchais, même après de grande pauses! Bien que l'addiction a molly ne peut selon moi être longue, de part ses effets secondaires beaucoup trop violent comparé au plaisir decroissant, je me suis donc tourné vers la 3-mmc et la cocaïne, comme beaucoup d'entre nous
Aujourd'hui, je ne prend plus de stims, du moins, pour l'instant. En effet, je devrait très bientôt être sous ritaline médicinale afin de regler mes problèmes d'attention. Étant aujourd'hui plus ou moins sage sage (juste un vapo de weed et un ou deux verres le soir, plus de drogues dures du tout depuis pas mal de temps), je ne pense pas troooop deconner avec.
Ouai, je suis d'accord, disso et opis, c'est proche, mais, je sais pas pourquoi, le fait de rester lucide avec les opis OU de dormir très vite quand on l'est pas, je trouve pas ca très fun au final. Enfaite, je vois au final très peu de différence entre opis a haute dose et somnifères, je dois vraiment pas être réceptif justement. Avec les dissos, j'peut être deglingué et rester éveillé
Dernière modification par Psychotropeur (13 décembre 2020 à 16:27)
Hors ligne
Dernière modification par prescripteur (13 décembre 2020 à 16:43)
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par Acid Test (13 décembre 2020 à 17:48)
Hors ligne
acid test a écrit
Concernant les opiacés , j'ai fait pas mal de recherches sur le sujet ces 10 dernieres années et je n'ai jamais lu que les opiacés étaient neurotoxiques !
Ils ne sont pas non plus cardiotoxiques ni hépatotoxiques et en fait , ce sont certainement les drogues qui sont parmi les moins toxiques , hormis évidemment la possibilité d'overdose si on en prend trop !
Neuro:
https://www.sciencedirect.com/science/a … 2315001107
https://www.jneurosci.org/content/22/17/7650.short
Hépato:
https://www.researchgate.net/publicatio … epatocytes
On parle là de fortes doses, et l'hépato est une étude in-vitro. Mais les personnes avec une forte tolérance devraient théoriquement atteindre ces seuils.
Faut arrêter de croire que les poppys sont tout blanc contrairement à toutes les autres drogues^^" C'est une idée confortable mais selon moi pas tout à fait réaliste... (quoique oui, si tu les compare à la meth forcément y a pas photo mais voilà quoi) Ils ont forcément leur lot de problèmes aussi!
Concernant les maladies auto-immunes, ayant Hashimoto je suis plutôt d'accord^^
Johan89 a écrit
Merci MG pour ce post c'est vraiment passionnant, et surprenant, ca tombe presque autant du côté immuno que neuro.
Contente que ça vous intéresse les gens ^_^/
L'immuno c'est extrêmement large et complexe. C'est un système qui touche à à peu près tous les autres et qui est un médiateur d'énormément de messages et mécanismes au travers de l'organisme, mais aussi du coup de pathologies ou de trucs non voulus ><
Psychotropeur a écrit
J'ai aussi eu ma période mdma, dieeuu sais que j'ai aimer la mdma, c'est la substance qui m'a le plus procurer de bonheur lors de ma première fois, la drogue ultime! Mais bon, molly, c'est une magie de courte durée, après 6 mois d'excès, impossible de retrouver ce que je cherchais, même après de grande pauses!
La même après une OD au 6-apb, c'est une punition assez hardcore la perte de magie
Avec mes ADs même la 3 je peux plus non plus, donc on sera deux^^
Prescripteur a écrit
Ha oui c'est clair, je dis pas que c'est le SEUL potentiel facteur hein L'isolement social est un facteur de risque majeur dans les addictions au sens large et ça pour le coup c'est clairement pas une théorie.
Il est cool ton lien je connaissais pas^^
Neocomolly a écrit
Salut,
C'est pas d'après moi, c'est d'après les études citées :p Et oui il est tout à fait possible que d'autres facteurs entrent en ligne de compte sachant qu'en plus l'humain est clairement plus complexe qu'un rat. Mais je n'ai pas encore trouvé d'articles scientifiques qui en parlent, j'espère qu'ils approfondiront le sujet!
Moi aussi je suis tombée en dépression à 15 ans lol... plus vraiment ressortie depuis. Par contre les poppys me provoquent pas un effet ouffissime, c'est sympa et ils m'accrochent tout doucement à force d'usage à petites doses mais les vrais highs récréatifs j'en ai eu que trois en tout et pour tout^^
Du coup jsais pas. Mais oui ça me semble tout à fait poossible que des traumas même plus tard augmentent la sensibilité aux poppys, encore une fois c'est purement théorique hein. En fait tout est plus ou moins possible vu qu'on en est qu'aux balbutiements des recherches là-dessus semble-t-il.
Peut-être même que les gènes influent, ça semble même logique pour les prédispositions à l'inflammation et d'autres trucs potentiels...
Edit @ Acid Test (nos messages se sont croisés^^)
Yep pour les stims ça se comprend facilement à ce niveau par le tempéremment de la personne, si elle est plutôt stressée ou pas, moi je suis quelqu'un de stressée je préfère les downers, normal quoi.
Et pour supporter les opis bein y en a qui les supportent mal (vomissements par ex) et qui les kiffent quand même, et d'autres qui ont pas d'effet secondaire mais pas de fun non plus.
Je ne parle pas de supporter plus ou moins bien une drogue là, je parle bien de la variabilité interindividuelle concernant l'effet hédonique et addictogène des opis, sur ce critère précis qu'est l'inflammation gliale.
Dernière modification par Morning Glory (13 décembre 2020 à 18:04)
Hors ligne
Psychotropeur a écrit
Ayant été chouchouter dans mon enfance, cela expliquerait donc pourquoi les opis ne me passionnent pas (gros dodo mais 0 eupho). A contrario, ayant des problèmes d'attention et d'humeur, les stims m'ont toujours très fortement affecté...
On tolbe toujours addict de ce qui compense ce qui nous manque, c'est assez logique d'une certaine manière
Au final, la ketamine m'a toujours apporté un trip plus proche de l'image que j'avais de l'hero (cf trainspotting ou requiem for a dream) que les opis. Le côté rêve éveillé, appaisement, somnolence etc... Et le côté rush ultime de plaisir, la 3mmc et la cocaïne furent les seuls a me l'apporter. Qiand je melangeais les 2 (stims et ké), ca me donnait un sentiment opiacé plus que les opis eux même, étrange non?
Interessant tes propos, moi non plus j'ai pas manqué d'affection dans mon enfance, et malgré des centaines de prises d'opiacés, parfois tous les jours pendant plusieurs semaines, en intraveineuse, bah j'ai jamais eu de mal à m'en séparer en fait, j'en avais même marre au bout d'un moment, et j'préfère la vie sans opiacés régulièrement.
Chez moi aussi la kéta et les dissos retranscrivent très bien les effets des opiacés, plein de fois sous kéta j'avais l'impression d'avoir pris des opiacés, alors que non, mais ça donne un trip très proche des opiacés je trouve, en mode hallucinogène quoi, et encore t'as des ké ou des dissos pas très hallucinos et bien euphorisants / opiacé-like.
Et pareil, moi c'est le mélange disso/stim/séroto qui me procure la plus grosse euphorie possible (en mélange avec des bangs de shit/tabac à rouler, mais j'y suis dépendant, forcément j'en fume tout l'temps), que ça soit par le biais des effets dissos/stim/psychés de la 3-MEO-PCP notamment, ou du DXM, ou en mélangeant de la ké/2F-DCK avec de la 3-MMC ou autre amphetamine séroto en intraveineuse, même des doses énormes voir des doses qui finissent en surdose d'héroïne intraveineuse de bonne qualité coupé à aucun autres opiacés, ou autres opiacés que j'adore type methadone intraveineuse, fentanyl en bang avec du tabac+shit, oxycodone IV, y a pas à chipoter les dissos+stim+séroto ça m'euphorise plus que les opis (bon ok, ça mélange quelque peu 3 actions différentes face à globalement une seule chez les opis, ça peut expliquer pourquoi c'est plus efficace, certes)
Après j'dis les opis c'est pas trop mon truc mais en vrai j'en consomme pas souvent pour mieux les apprécier, j'suis un peu un "gourmet" des opis, j'en prends pas souvent mais quand j'en prends j'fais les choses le mieux possible, j'attends souvent plusieurs semaines voir plusieurs mois (avant j'en prenais plus souvent, mais en prendre souvent j'aime moyen j'ai plus cette envie du tout, j'l'ai plus ou moins jamais eu en fait, quand j'en consommais souvent c'était parce que j'en avais plein sous la main, j'fais ça avec plus ou moins n'importe quoi, et au contraire j'apprécie mieux en espaçant)
Et quand j'en prends j'prends des opis forts, en tout cas des opis qui m'euphorise beaucoup, en intraveineuse, dans un bon set and setting, bien relax, en ayant prémedité ma prise de nombreux jours avant la prise, jamais sur un coup de tête (ça m'arrive pas/plus de toutes façons), sans mélanger à d'autres produits à coté pour bien conserver le coté bien opiacé (éventuellement des amphet en combo, ou les basiques nicotine/caféine/cannabis éventuellement alcool, mais pour des effets opiacés au top le mieux c'est sans alcool ni amphet j'trouve)
Mais même en faisant les choses bien carrées bien propres, bah j'en prends une bonne dose et j'ai plus envie d'en prendre pendant des semaines voir des mois, et ça m'euphorise clairement moins que les dissos/stims/sérotos comme la 3-MEO-PCP, et sans forcément parler d'anesthesiants/stim/psychés de barjo 10x plus forts que d'la kétamine avec plein d'effets chelous en plus comme la 3-MEO-PCP, une simple intraveineuse de ké ça m'euphorise large plus que des opis forts en IV (une "simple" intraveineuse de kétamine^^ Le gars qui prend tellement des anesthesiants de niqué que de la ké en IV c'est un apéritif)
Donc ouais, y a clairement des gens qui ont un terrain plus propice à l'addiction aux opis que d'autres
Hors ligne
Dernière modification par marvin rouge (14 décembre 2020 à 20:13)
Hors ligne
marvin rouge a écrit
Ça pars ds ts les sens
Jsuis d'accord avc certain écrit, Bcp avc moins
Et on n ne parle pas du metabolisme, intrinsèque à chaqun
Jtatte des opi depuis 20ans, des disso pareil, y compris les rc disso
Je comprend pas comment faire des comparaison
En terme des délire, c'est juste 2 mondes differents
(jamais compris cette analogie disso/opi)
Après ça dépend de sa conso
Jme jette sur ma metha le matin
Alors que j'ai un litron de * ds le frigo
Et ya pas Que l'aspect chimique les gars
La psyche joue bcp
L'age
Ya tellement de facteur
Perso j'ai été viole gamin, après j'ai pris tte sorte de drogue, il m'a fallu plusieurs années avant de me mettre dedans, après avoir goute 4 ou 5 ans avant (oui jsuis vieux)
Ça fait des années que j'IV des disso, ya juste rien à voir. Les disso c'est pr me décalqué la tronche, les opi c'est gérer au taff, m'occuper de ma famille, être au taquet tte la journée
. C'est juste pas comparable..
C'est vrai qu'on part pas mal en hors sujet sur les dissos et les empathos alors que de base on parlait d'opiacés, certes, c'est quelque peu innaproprié et ce serait bien de au moins parler d'autre chose par dessus, genre des opis quoi finalement.
Par contre j'trouve y a énormément de similitudes entre certains dissos (surtout la ké/2F-DCK IV) et les opiacés, après c'est sûr t'es en k-hole t'es pas quasi normal comme sous héro, mais à faibles dosages tu peux carrément utiliser les dissos comme stimulants physiques et intellectuels et être plus performant et moins psychotique/dérangé en prenant des dissos que sans, encore une fois comme pour les opis ça dépend de la psyché y a des gens qui s'en servent comme dopants et d'autres pour qui ça paraît inimaginable de bosser sous telle ou telle drogue parce que "tu vas pas aller bosser déchiré" bah y a aussi des gens pour qui les opis ça fait parti de cette catégorie j'imagine.
Dernière modification par L'Apoticaire (15 décembre 2020 à 11:02)
Hors ligne
L'Apoticaire a écrit
marvin rouge a écrit
Ça pars ds ts les sens
Jsuis d'accord avc certain écrit, Bcp avc moins
Et on n ne parle pas du metabolisme, intrinsèque à chaqun
Jtatte des opi depuis 20ans, des disso pareil, y compris les rc disso
Je comprend pas comment faire des comparaison
En terme des délire, c'est juste 2 mondes differents
(jamais compris cette analogie disso/opi)
Après ça dépend de sa conso
Jme jette sur ma metha le matin
Alors que j'ai un litron de * ds le frigo
Et ya pas Que l'aspect chimique les gars
La psyche joue bcp
L'age
Ya tellement de facteur
Perso j'ai été viole gamin, après j'ai pris tte sorte de drogue, il m'a fallu plusieurs années avant de me mettre dedans, après avoir goute 4 ou 5 ans avant (oui jsuis vieux)
Ça fait des années que j'IV des disso, ya juste rien à voir. Les disso c'est pr me décalqué la tronche, les opi c'est gérer au taff, m'occuper de ma famille, être au taquet tte la journée
. C'est juste pas comparable..C'est vrai qu'on part pas mal en hors sujet sur les dissos et les empathos alors que de base on parlait d'opiacés, certes, c'est quelque peu innaproprié et ce serait bien de au moins parler d'autre chose par dessus, genre des opis quoi finalement.
Par contre j'trouve y a énormément de similitudes entre certains dissos (surtout la ké/2F-DCK IV) et les opiacés, après c'est sûr t'es en k-hole t'es pas quasi normal comme sous héro, mais à faibles dosages tu peux carrément utiliser les dissos comme stimulants physiques et intellectuels et être plus performant et moins psychotique/dérangé en prenant des dissos que sans, encore une fois comme pour les opis ça dépend de la psyché y a des gens qui s'en servent comme dopants et d'autres pour qui ça paraît inimaginable de bosser sous telle ou telle drogue parce que "tu vas pas aller bosser déchiré" bah y a aussi des gens pour qui les opis ça fait parti de cette catégorie j'imagine.
La ké a bas dosage, ca m'a toujours donné l'impression d'une dose moyenne de cannabis, sans effets psychédélique perso. En gros la promesse que le CBD ne m'a jamais donné ?
L'apaisement se rapproche des opis qu'a partir de doses hallucinogenes selon moi, les hallus en + évidemment.
Putain ca me donne faim ce topic, j'vais compenser mon envie de reprendre de la ké par un bon gros vapo des familles !
Peace les gens
Hors ligne
Hors ligne
The interaction of maltreatment severity and craving responses was associated with greater activation of the visual cortex and SMA, whereas a maltreatment-by-anxiety interaction effect included lesser ventromedial prefrontal cortex activation. The outcomes indicate an association of childhood maltreatment with a heightened appetitive anticipatory response to drug cues and a diminished engagement of regulatory and controlled action selection processes in response to stress- or drug cue-induced drug craving and anxiety responses for cocaine-dependent men. These findings provide novel insights into possible brain mechanisms by which childhood maltreatment heightens risk for relapse in drug-dependent individuals.
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (24 janvier 2021 à 16:45)
Hors ligne
Hors ligne
fafefifofu a écrit
Les personnes ayant un certain mal-être psychologique, puisque c'est une douleur même si à la base c'est psychique, donc plus grosse reaction, a toute sorte d'anti-douleur, donc plus gros soulagement et euphorie.
Complètement^^ J'en atteste pour le vivre moi-même. Plus je me sens mal plus prendre un produit, particulièrement des opiacés, est agréable. La morphine un jour où tout vas bien (bon ce qui m'arrive rarement dernièrement^^") c'est vraiment bof en fait, limite je regrette ma prise.
Donc je sais pas s'il y a des observations neurologiques liées mais ouai je le vis^^ je serais pas accro aux opis si tout allait bien dans ma vie.
Et le sport certains témoignages semblent plutôt attester d'un effet relativemment protecteur au manque physique, enfin dans une certaine mesure... Y a pas si longtemps un sportif disait que ça l'aidait à décrocher après plusieurs semaines de conso d'opis.
Après tout ça, ce sont des témoignages subjectifs bien entendu, donc à prendre comme tels
Dernière modification par Morning Glory (24 janvier 2021 à 17:45)
Hors ligne
Dernière modification par fafefifofu (24 janvier 2021 à 18:30)
Hors ligne
Hors ligne
Dernière modification par fafefifofu (26 janvier 2021 à 12:11)
Hors ligne
fafefifofu a écrit
Une remarque que je me suis fait recemment.
Un jour en pleins trip de dxm + Lsa (disso + psyché = full spectrum du psychédelisme haha), et mon ex sous codéine, je me suis dit enfaite les 2 apportent là même chose, mais d'une façon complétement différente.
On été tout les 2 dans un état de calme et de sereinité, d'accéptation, de recul sur nous et le monde, alors que moi j'étais dans un trip ultra psychédeliques pleins d'hallucinations, et elles sous opiacés.
Au début de mes consommations, j'ai toujours été bcp plus attiré par les psychédeliques, ou les dissociatifs que par les stimulant ou les opiacés (et je detestais les benzo mais c'est HS haha), et avec du recul ce "graal" que je cherchais, c'était exactement ce que j'ai décris plus haut, ce calme intérieur, cet acceptation de soi, des auters, ce recul etc, sauf que les psyché te l'apportent mais pas sur un plateau d'argent, il faut donné de sa personne si je puis dire, ça te montre le chemin.
Alors que les opiacés te le donnent tout simplement, sans effort à fournir de ta part.
Ce jours là cela m'est apparu comme une révélation et je me suis dit que c'était pour ça que les opiacés étaient beaucoup plus addictif.
Comme si les psyché c'était les question (les stims dans une certaines mesures aussi par rapport aux discussion de ouf que j'ai pu avoir avec mon ex sous stims), et les opiacés les réponses.
Tout ça pour en venir au fait que en dehors de nos prédispositions, notre génétiques notre chimie du cerveau je pense que il y a surtout le contexte qui rentre en compte.
Pour ma part, j'ai pas accroché directement aux opiacés, pourtant j'en ai toujours ressentie les effets de la même manière et je trouvais déjà ça très cool, mais ça ne m'intéréssé pas autant que les voyages que me procuraient les psychédeliques.
Puis petit à petit j'ai découvert les stims, j'ai eu des périodes speed, cocaine, mais en ayant toujours cette admiration et cet envie de tripé avec des psyché et en consommant des opiacés mais de manière plus isolé.
Puis il y a eu ensuite un espece de ras-le bol, de fatigue du rollercoaster que sont les stimulant, et c'est aussi à ce moment que j'ai eu l'impression que ce que je recherchais dans la drogue à commencé à différé un peu que de ce qui m'avais amené à vouloir les découvrir au début. Je commencais à avoir une impréssion d'avoir fait le tour des drogues, même si je voulais toujours en consommé. Je voulais aller plus droit au but inconsciemment je pense. Comme quand on est fatigué quoi...
Et c'est là que je suis retourné aux opiacés et surtout en perspective avec toutes ces sessions stims, qui fatiguent le corps et le mental, que les opiacés se sont présenté comme la drogue "parfaite" dans un certains sens.
Un peu comme le calme après la tempête, et c'est là que les choses ont vraiment dérapées pour ma part.
Et si je ne m'abuse, je ne pense vraiment pas être le seul dans ce cas, dans mon entourage et sur le forum.
De touché à tout puis un jour d'avoir l'impression de faire le tour des prods, d'être fatigué un peu, puis de revenir et de bloquer sur les opiacés au fur et a mesure ... (Notemment toi Morning-glory, ça fait super longtemps que je regarde psychoactif, et je me souviens de tes premiers post qui me faisaient pensé à moi enfaite, et j'ai cru comprendre que tu été dans la morphine en ce moment, fais gaffe à toi d'ailleurs c'est un chemin tr-s glissant mais tu dois le savoir...tkt je stalk pas, je lis juste pas mal de threads et tu post beaucoup aussi haha)
J'ai l'impression que c'est plus rare les gens qui commencent direct par les opiacés et qui tombent dedans direct, sans passé d'abord par les autres drogues, je dis pas que ça n'existe pas, mais j'ai l'impression que c'est moins le cas.
Surtout que comparé à certains potes consommateurs qui eux ont l'air d'avoir une consommation vraiment sans prise de tête, et pour s'amusé, moi j'ai toujours vu ça comme superficiel et cherchais quelque chose de profond dedans, je pense que il faut faire gaffe à ça..
Désolé j'espere que c'est pas trop HS, et ceci est comment je vois les choses.
Ta tellement tout bien résumé, et ce dont tu parles résume bien les benzo aussi d'une certaine manière. Les downers de manière général.
Les gens lambda non conssomateur/jeune conssomateur pense que les opiacé c'est le trip ultime, le plus grand plaisir. Etttt... C'est pas totalement vrai. Pour moi, le trip ultime ca a été la MDMA (mes premières fois). Ce bien être absolue, cet amour du monde, ce sentiment que le monde était magnifique, et ces vagues de plaisirs qui te traverse le thorax et le cerveau.
Cependant, l'addiction et le "kiff" ne résume pas qu'au plaisir instantané. Du moins, pas sur le long terme.
Très vite, rentre en compte d'autres facteurs comme:
-les effets secondaires à court/moyen terme
-l'intensité des descentes
-la lucidité que te laisse la drogue, rendant donc possible de l'utiliser au quotidien
-son prix
-la vitesse à laquelle monte la tolérance
Et à moyen/long terme vient l'addiction physique et mentale
Les opiacés sont donc les rois à tous les niveaux. Une addiction physique monstrueuse, peu effet secondaire à court termes, des redescentes assez soft, un prix abordable étant donné la durée des trips, une tolérance "à peu près" progressive et une discrétion sociale abusé à dosage modéré.
Les benzo remplissent à peu près les même critères, mais avec une tolérance plus rapide et moins de plaisir. Mais d'une certaine manière, les deux sont assez proche, les benzo, c'est le jumeau introvertie des opiacés, plus foufou et euphorique
Et les deux sont monstrueusement addictifs.
En enlevant la dépendance physique, on se rend compte que le cannabis est bien positionné dans ce classement aussi (peu d'effet secondaire, assez Discret quand on est habitué, tolérance progressive...) Ce qui explique son ÉNORME addiction psychologique, malgré l'absence de sevrage physique lourd (sauf exceptions).
Hors ligne
fafefifofu a écrit
Une remarque que je me suis fait recemment.
Un jour en pleins trip de dxm + Lsa (disso + psyché = full spectrum du psychédelisme haha), et mon ex sous codéine, je me suis dit enfaite les 2 apportent là même chose, mais d'une façon complétement différente.
On été tout les 2 dans un état de calme et de sereinité, d'accéptation, de recul sur nous et le monde, alors que moi j'étais dans un trip ultra psychédeliques pleins d'hallucinations, et elles sous opiacés.
Au début de mes consommations, j'ai toujours été bcp plus attiré par les psychédeliques, ou les dissociatifs que par les stimulant ou les opiacés (et je detestais les benzo mais c'est HS haha), et avec du recul ce "graal" que je cherchais, c'était exactement ce que j'ai décris plus haut, ce calme intérieur, cet acceptation de soi, des auters, ce recul etc, sauf que les psyché te l'apportent mais pas sur un plateau d'argent, il faut donné de sa personne si je puis dire, ça te montre le chemin.
Alors que les opiacés te le donnent tout simplement, sans effort à fournir de ta part.
Ce jours là cela m'est apparu comme une révélation et je me suis dit que c'était pour ça que les opiacés étaient beaucoup plus addictif.
Comme si les psyché c'était les question (les stims dans une certaines mesures aussi par rapport aux discussion de ouf que j'ai pu avoir avec mon ex sous stims), et les opiacés les réponses.
Tout ça pour en venir au fait que en dehors de nos prédispositions, notre génétiques notre chimie du cerveau je pense que il y a surtout le contexte qui rentre en compte.
Pour ma part, j'ai pas accroché directement aux opiacés, pourtant j'en ai toujours ressentie les effets de la même manière et je trouvais déjà ça très cool, mais ça ne m'intéréssé pas autant que les voyages que me procuraient les psychédeliques.
Puis petit à petit j'ai découvert les stims, j'ai eu des périodes speed, cocaine, mais en ayant toujours cette admiration et cet envie de tripé avec des psyché et en consommant des opiacés mais de manière plus isolé.
Puis il y a eu ensuite un espece de ras-le bol, de fatigue du rollercoaster que sont les stimulant, et c'est aussi à ce moment que j'ai eu l'impression que ce que je recherchais dans la drogue à commencé à différé un peu que de ce qui m'avais amené à vouloir les découvrir au début. Je commencais à avoir une impréssion d'avoir fait le tour des drogues, même si je voulais toujours en consommé. Je voulais aller plus droit au but inconsciemment je pense. Comme quand on est fatigué quoi...
Et c'est là que je suis retourné aux opiacés et surtout en perspective avec toutes ces sessions stims, qui fatiguent le corps et le mental, que les opiacés se sont présenté comme la drogue "parfaite" dans un certains sens.
Un peu comme le calme après la tempête, et c'est là que les choses ont vraiment dérapées pour ma part.
Et si je ne m'abuse, je ne pense vraiment pas être le seul dans ce cas, dans mon entourage et sur le forum.
De touché à tout puis un jour d'avoir l'impression de faire le tour des prods, d'être fatigué un peu, puis de revenir et de bloquer sur les opiacés au fur et a mesure ... (Notemment toi Morning-glory, ça fait super longtemps que je regarde psychoactif, et je me souviens de tes premiers post qui me faisaient pensé à moi enfaite, et j'ai cru comprendre que tu été dans la morphine en ce moment, fais gaffe à toi d'ailleurs c'est un chemin tr-s glissant mais tu dois le savoir...tkt je stalk pas, je lis juste pas mal de threads et tu post beaucoup aussi haha)
J'ai l'impression que c'est plus rare les gens qui commencent direct par les opiacés et qui tombent dedans direct, sans passé d'abord par les autres drogues, je dis pas que ça n'existe pas, mais j'ai l'impression que c'est moins le cas.
Surtout que comparé à certains potes consommateurs qui eux ont l'air d'avoir une consommation vraiment sans prise de tête, et pour s'amusé, moi j'ai toujours vu ça comme superficiel et cherchais quelque chose de profond dedans, je pense que il faut faire gaffe à ça..
Désolé j'espere que c'est pas trop HS, et ceci est comment je vois les choses.
Ta tellement tout bien résumé, et ce dont tu parles résume bien les benzo aussi d'une certaine manière. Les downers de manière général.
Les gens lambda non conssomateur/jeune conssomateur pense que les opiacé c'est le trip ultime, le plus grand plaisir. Etttt... C'est pas totalement vrai. Pour moi, le trip ultime ca a été la MDMA (mes premières fois). Ce bien être absolue, cet amour du monde, ce sentiment que le monde était magnifique, et ces vagues de plaisirs qui te traverse le thorax et le cerveau.
Cependant, l'addiction et le "kiff" ne résume pas qu'au plaisir instantané. Du moins, pas sur le long terme.
Très vite, rentre en compte d'autres facteurs comme:
-les effets secondaires à court/moyen terme
-l'intensité des descentes
-la lucidité que te laisse la drogue, rendant donc possible de l'utiliser au quotidien
-son prix
-la vitesse à laquelle monte la tolérance
Et à moyen/long terme vient l'addiction physique et mentale
Les opiacés sont donc les rois à tous les niveaux. Une addiction physique monstrueuse, peu effet secondaire à court termes, des redescentes assez soft, un prix abordable étant donné la durée des trips, une tolérance "à peu près" progressive et une discrétion sociale abusé à dosage modéré.
Les benzo remplissent à peu près les même critères, mais avec une tolérance plus rapide et moins de plaisir. Mais d'une certaine manière, les deux sont assez proche, les benzo, c'est le jumeau introvertie des opiacés, ces derniers étant plus foufou et euphorique
Et les deux sont monstrueusement addictifs.
En enlevant la dépendance physique, on se rend compte que le cannabis est bien positionné dans ce classement aussi (peu d'effet secondaire, assez Discret quand on est habitué, tolérance progressive...) Ce qui explique son ÉNORME addiction psychologique, malgré l'absence de sevrage physique lourd (sauf exceptions).
Dernière modification par Psychotropeur (26 janvier 2021 à 14:56)
Hors ligne
Hors ligne
Très vite, rentre en compte d'autres facteurs comme:
-les effets secondaires à court/moyen terme
-l'intensité des descentes
-la lucidité que te laisse la drogue, rendant donc possible de l'utiliser au quotidien
-son prix
-la vitesse à laquelle monte la tolérance
C'est pour ça que j'ai l’impression que on a tendance à y venir ou y revenir une fois que on a fais le tour de pas mal de drogues qui apportent plus de sensations mais avec un rapport défonce/effet secondaire moins cool.
Et c'est la que on se rend compte que y a pas plus "tranquille" rapport défonce, ce que ça apporte, déscente, durée, au début je me sentais même bien pendant quelques jours après mes trips opiacés.
Et c'est surement le prod que on peut consommé au quotidien, au taff, n'importe ou et être bien sans que ça se voie en effet.
Oui je comprend pourquoi les gens aiment les benzo, mais j'aime pas du tout le chemin par lequelles ils passent pour amené cette état tant recherché avec les opiacés, j'ai l'impression d'être sous camisole chimique sous benzo et je ne supporte pas ...
Pourtant je suis quelqu'un de relativement stréssé.
Et le cannabis je suis d'accord et pas d'accord, c'est encore différent, perso moi étant assez sensible ça m'a toujours beaucoup défoncé, et ça se voyait, et j'aimais pas ça, je me sentais inapte à être avec du monde (surtout ceux que je connais pas) et ça m'amené bcp de parano car pour moi ça a toujours eu un gros cotés psychédelique (j'ai l'impression que tout les psyché, disso, que je me suis envoyé y on pas mal contribué), je pouvais avoir des revelations comme sous psyché, des remises en question, des mini perte d'ego etc donc pas si repos que ça pour moi.
J'avais trouvé mon équilibre en le fumant le soir avant de dormir chez moi ou avec des personnes de confiance, mais c'est pas comparable à ce que m'apportais les opiacés pour mon cas.
Hors ligne
Hello,
Mais en quoi consiste le trip à l' opiacé ?
Désolé pour le double post, j'avais pas vu ton message.
Alors pour moi, c'est un bien-être autant physique que mental, un apaisement (tu respires plus lentement, plus profondement), c'est comme si on baissé le son de tout ce qui est négatif, dans ta tête.
Quoi que tu fasses tu te sens bien, si tu es occupé, que tu travail, que tu ne branles rien et tu te sens tellement bien que tu peux juste resté allongé sur ton canap à ne rien faire, et à vivre ta meilleur vie, tellement tu es sur un nuage de bien être.
Si tu bouges t'es stimulé, si tu te poses, t'es posé et ça peut aller jusqu'au fameux piquage de nez, ou tu es assomé de plaisir limite et tu pars dans des rêves eveillées sans même t'en rendre compte (mais faut bcp dosé ça peut être dangereux).
Et dis comme ça, on se fait souvent une fausse image d'un truc super fort, sauf que en realité c'est super naturel comme feeling est super doux.
D'ailleurs par rapport a ça, bizarrement rien ne m'a jamais été aussi agréable que une montée de codéine (en cachetons pas en sirop) et sans tolérance.
Même des grosses dose de morphine ne m'ont jamais mis aussi bien, ça pouvais être plus fort mais pas plus agreable il manquait quelque chose, et je dirai une vibe naturel que je ne retrouvais pas avec la morphine, ni l'héro.
Bizarre sachant que la codé se métabolisme en grande partie en morphine.
La seul chose qui s'en ai rapproché c'est de grosses quantité d'opium et encore c'était pas aussi bien à mon goût.
Bref m'on post retranscrit mon ressentie encore une fois, je ne fais pas l'apologie des opiacés, je répond à une question, je suis aujourd'hui sous métha depuis 2 ans, et je regrette de ouf, ça m'a apporté bien plus d'emmerde qu'autre chose, j'ai fais un post à ce propos si ça vous intéresse ...
Dernière modification par fafefifofu (26 janvier 2021 à 15:49)
Hors ligne
Hors ligne
fafefifofu a écrit
Très vite, rentre en compte d'autres facteurs comme:
-les effets secondaires à court/moyen terme
-l'intensité des descentes
-la lucidité que te laisse la drogue, rendant donc possible de l'utiliser au quotidien
-son prix
-la vitesse à laquelle monte la toléranceC'est pour ça que j'ai l’impression que on a tendance à y venir ou y revenir une fois que on a fais le tour de pas mal de drogues qui apportent plus de sensations mais avec un rapport défonce/effet secondaire moins cool.
Et c'est la que on se rend compte que y a pas plus "tranquille" rapport défonce, ce que ça apporte, déscente, durée, au début je me sentais même bien pendant quelques jours après mes trips opiacés.
Et c'est surement le prod que on peut consommé au quotidien, au taff, n'importe ou et être bien sans que ça se voie en effet.
Oui je comprend pourquoi les gens aiment les benzo, mais j'aime pas du tout le chemin par lequelles ils passent pour amené cette état tant recherché avec les opiacés, j'ai l'impression d'être sous camisole chimique sous benzo et je ne supporte pas ...
Pourtant je suis quelqu'un de relativement stréssé.
Et le cannabis je suis d'accord et pas d'accord, c'est encore différent, perso moi étant assez sensible ça m'a toujours beaucoup défoncé, et ça se voyait, et j'aimais pas ça, je me sentais inapte à être avec du monde (surtout ceux que je connais pas) et ça m'amené bcp de parano car pour moi ça a toujours eu un gros cotés psychédelique (j'ai l'impression que tout les psyché, disso, que je me suis envoyé y on pas mal contribué), je pouvais avoir des revelations comme sous psyché, des remises en question, des mini perte d'ego etc donc pas si repos que ça pour moi.
J'avais trouvé mon équilibre en le fumant le soir avant de dormir chez moi ou avec des personnes de confiance, mais c'est pas comparable à ce que m'apportais les opiacés pour mon cas.
Le cannabis me faisais ca aussi! Seulement, sur le moyen terme (disons 4/5 mois de conso quotidienne le soir quand personne te vois) les effets dissociatifs du cannabis (oui oui, pour moi le canna est plus un disso qu'un psyché) disparaissent, et avec eux les effets anxiogène. C'est un mal pour un bien, il t'en faut 5x plus pour avoir des effets stone identique, mais cela devient vraiment dur d'atteindre le stade légèrement hallucinogène. C'est pourquoi, pour moi, a partir d'un certain moment, le cannabis devient du même acabis qu'un downer. Il ne s'agit ici que de mon expérience personnelle, évidement.
En ce qui concerne les benzo, je te comprend quand tu dis camisole chimique, et c'est pas totalement faux. Mais dans ce cas toutes les drogues provoquent ca non?
Ceux que les amateurs d'opiacés rerochent aux benzoloveur, c'est le manque d'euphorie, faisant une différence eeeenorme dans le plaisir ressenti.
Ce qu'ils oublient, c'est l'appaisement des angoisses, l'état de se éveil, et les mélanges avec d'autres substances elles euphoriques, pouvant être exquis (benzo+cannabis ma vie).
Mais bon, comme dab, l'addiction vient nous faire payer l'addition.
Hors ligne
1 2
![]() |
2 | |
![]() |
[ Forum ] Effets secondaires - (Neuro)toxicité des opis?
|
9 |
![]() |
[ Forum ] Vos opis préférés (Sophie ou Hélène?)
|
1 |