metadone, décroche longue pénible longue pénible...

sativa67 a écrit

...
Sinon, profiter du beau temps , de la piscine et des bains à  bulles en manque de metha à  donf ... mon cul c'est du poulet ??

...

bref , je me demande si notre mai magnum a déjà  vécu un vrai sevrage à  la dure ...qui plus est de methadone ...sans celà  il ne dirait pas de telles  inepties ....

Merci à  toi Sativa "de remettre les pendules à  l'heure" du moins la réalité en face des yeux de certains... J'aurai pas fait mieux, j'y pensais et fais un gros effort pour poster. Mais franchement, perso, non plus, je n'aurai pas laissé passer de telles inepties...

(c'est vraiment n'importe quoi et faire preuve de naïveté et d'ignorance quant aux propos tenus précédemment).

357magnum a écrit

...et se poser tranquille en thalassothérapie et profiter des hamams , des saunas et des massages ext ...

"Se poser tranquille", vi, vi... Si c'était "aussi facile à  vivre", ça se saurait. Et certains organismes de loisirs avec de gentils organisateurs feraient fortune grâce aux UD... La relaxation pendant un sevrage, m'est d'avis que cela peut aider beaucoup, encore faut-il en être déjà  au stade la supporter. Et avant ça, je veux bien qu'on me montre qu'en arrêtant 80mg de métha du jour au lendemain, on peut aller plonger tête première dans une piscine sans souci dès le lendemain...

Quant à  ce que tu décris magnum comme sevrage, cela ressemble davantage à  une rotation d'opiacé, mais sûrement pas aux plusieurs semaines ou mois souvent nécessaires à  aboutir un vrai sevrage (en particulier de methadone). Re-désolé.

Alain Will a écrit

Je ne remets pas en cause les attraits touristiques de la Thaïlande, pas plus que je sous-estime la facilité (toute relative) à  pouvoir se procurer de la dope ou de la métha sur place ni qu'un sevrage à  la dure ne soit pas possible.

Nan, j'ai relevé comme Sativa le fait de penser qu'un sevrage à  la dure (ou non) de méthadone ressemblerait à  des "vacances" en profitant d'un programme de thalasso... C'est se "foutre" de la gueule du monde, désolé. Surtout pour celles et ceux qui ont vécu de tels sevrages.

357magnum a écrit

...et se poser tranquille en thalassothérapie et profiter des hamams , des saunas et des massages ext ...

"Se poser tranquille", vi, vi... Si c'était "aussi facile à  vivre", ça se saurait. Et certains organismes de loisirs avec de gentils organisateurs feraient fortune grâce aux UD... La relaxation pendant un sevrage, m'est d'avis que cela peut aider beaucoup, encore faut-il en être déjà  au stade la supporter. Et avant ça, je veux bien qu'on me montre qu'en arrêtant 80mg de métha du jour au lendemain, on peut aller plonger tête première dans une piscine sans souci dès le lendemain...

Quant à  ce que tu décris magnum comme sevrage, cela ressemble davantage à  une rotation d'opiacé, mais sûrement pas aux plusieurs semaines ou mois souvent nécessaires à  aboutir un vrai sevrage (en particulier de methadone). Re-désolé.

Je crois qu'on se comprend pas Alain , même si j'ai pris de la metha que pendant quinze jours , c'est que je me suis rendu compte que le manque était balaise !
Puis quand j'était avec mon ex , il est arrivé que nous nous sommes retrouvé en " panne " de came , et pour supporter le manque , on prenait un hôtel a la thallasso , et avec les enfants , on était bien dans les piscines et tout ce qui va avec , dans l'eau , le manque est supportable , puis on nous fait a bouffer , bien et léger .
Donc voilà  , j'espère que tu comprends pourquoi je m'insurge de la méthode du monastère , qui comme décrit je sais plus qui plus haut , qu'il a eu les mêmes sympthomes d'un sevrage a la metha , tout en se faisant du mal a son organisme , c'est tout .