Imaginez la légalisation + insertion des plus addicts

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Gregouzerr homme
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Ça me plaît passait par la tête je pense c'est peut-être un peu tiré par les cheveux mais imaginez pour réinsérer les fumeurs de crack si la drogue et dépénalisée qu'on pourrait fournir du travail à mi temps comme livreur de bouffe ou ce genre la en échange de drogue afin qu'il se réinsers mais en ayant un but pour leur consommation.

Ça leur permettait d'être mieux accepter et peut-être s'en sortir au final.

Je sais pas si c'est envisageable mais vous en pensez quoi vous ?

Merci pour vos avis

Bonne journée ou soirée

Dernière modification par meumeuh (Aujourd'hui à  10:35)

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prescripteur homme
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champi vert47champijaune0cxhampi rouge0
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En tous cas la depenalisation a été plutot positive au Portugal

https://www.ofdt.fr/sites/ofdt/files/20 … 32021-.pdf

Amicalement

S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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silae homme
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Contrairement à ce que tu sembles penser, il y a des fumeurs de crack qui sont insérés, avec un boulot, y compris à des postes assez élevés avec un bon salaire.

Les crackeurs portes de la chapelle ne représentent pas l'ensemble des consommateurs de crack !

Par ailleurs, je ne suis pas sûr que domestique des temps modernes constitue une quelconque forme d'émancipation, y compris pour ceux que tu vois tout en bas de l'échelle, les fumeurs de crack.

Les livraisons UBER sont faites par ceux qui n'ont pas le choix, c'est-à-dire beaucoup d'étrangers, et beaucoup d'étrangers sans papier (qui louent leur compte à des connards avec des papiers contre rémunération), tout ça parce que des bourgeois sont incapables de bouger leur cul pour aller chercher leur mcdo.

Dernière modification par silae (02 mai 2025 à  09:40)

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Texte mis dans les morceaux choisis de Psychoactif. (meumeuh)

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psychodi homme
Pour ma santé :5 weed et j'les fume par jour
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salut Gregouzeer

j'en pense que c'est un conglomérat de représentations négatives, d'idées reçues et de biais cognitifs, ce que tu imagines :

- les "fumeurs de crack" seraient nécessairement désinsérés
- il faudrait donc les réinsérer par le travail
- ce travail consisterait à livrer de la bouffe, en échange de drogue si j'ai bien compris
- le but du travail serait donc "leur consommation"
- ça permettrait qu'on les "accepte mieux" (je vois pas en quoi, en fait)
- tout ça pour "peut être s'en sortir au final", la finalité étant donc bien qu'ils cessent de prendre de la drogue (ce qui est bien dans l'air du temps, tu m'diras...)

si j'ai bien résumé ton idée bin...ça m'plait moyen, perso...

il y a des jours étranges
il y a des jours, j'm'étrangle
Surtout...ne pas se biler sur la route...
Psychoactif ? Faut s'abonner là, vite !!

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prescripteur homme
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champi vert47champijaune0cxhampi rouge0
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Oui, l'exemple du Portugal (que je cite plus haut) montre que la depenalisation suffit deja à ameliorer la situation des consommateurs.
Mais pour les immigrés illégaux et les "exclus de la société" c'est sûr qu'une prise en charge psycho-sociale n'est pas inutile, qu'ils soient consommateurs de crack ou non.
A condition qu'elle n'augmente pas encore plus l'exclusion. Notre administration tend à avoir sur ce plan une "compétence" particulière.

voir dans le livre suivant à partir de la page 192. Cela concerne la colonisation des peuples premiers mais l'application aux crckers de Stalingrad est pertinente.

livredunoddef.pdf

Amicalement

Dernière modification par prescripteur (02 mai 2025 à  10:27)


S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)

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Gregouzerr homme
Nouveau Psycho
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champi vert1champijaune0cxhampi rouge0
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82 messages
Désolé si je me suis Mal exprimé c'était pour ceux qui a avait du mal à ce réinsérer à cause de ça pour leur permettre d'être plus intégré dans un premier temps.

Je sais bien que il y a des personnes qui se drogue sans que ça leur empêche de vivre avec un travail et de payer un loyer.

Un peu comme les salles de shoot dans d'autres pays qui les marginalise moins pour ceux qui se sentent à l'écart comme pour qu'il soit moins discriminés.

Je pensais aux plus démunis c'était pas une généralité du tout.

Je n'ai aucun a priori sur les fumeurs de crack ou personnes sans abri au contraire.

Je veux dire parfois l'argent n'est pas la meilleure motivation pour tous en contrepartie d'un travail.

Si mon prochain patron me dit que chaque mois il m'offres du chocolat qui est vraiment spécial je te promets que ça serait une motivation supplémentaire non négligeable ai contraire même si c'est absurde peut-être.

Dans un but utopiste...

Dernière modification par Gregouzerr (Aujourd'hui à  00:52)

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silae homme
Psycho junior
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champi vert38champijaune0cxhampi rouge0
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386 messages
Je pense qu'il n'y a pas de solution unique pour tout le monde, il faut faire du cas par cas et proposer des dispositifs variés où chacun peut s'inscrire librement.

Ainsi, je sais que certains sans-abris ne vont pas chercher leur RSA car cela leur fait beaucoup trop d'argent d'un coup. Le risque est qu'ils se fassent agresser ou qu'ils dépensent tout en quelques jours avec des produits et se mettent en danger.

On pourrait proposer de rationner cet argent, ou bien leur donner sous une autre forme (nourriture, autre). Mais il serait évidemment inadapté d'obliger toutes les personnes au RSA d'avoir leur argent de cette manière sous prétexte que certains n'arrivent pas à gérer.

Pour la plupart des gens, je ne suis pas sûr que le travail soit une émancipation, il est souvent plutôt vécu comme une contrainte pénible, voire une exploitation. On peut être utile et se socialiser hors du travail, c'est ces autres formes d'activité qu'il faut viser pour les personnes en difficulté plutôt que des boulots d'esclave qui ne peuvent que les humilier et les épuiser davantage.

Par ailleurs, comme dit plus haut, s'ils sont désinsérés, pourquoi les réinsérer ? Il faut commencer par leur demander ce qu'ils veulent et comprendre pourquoi ils en sont arriver là,  à vouloir cela pour la suite de leur vie. Si on force, ce ne sera pas durable.

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