[ Conseils pour le sniff ]

Passivité pendant le sniff

Gregouzerr a écrit

Doo-J a écrit

J´avoue je pas bien saisir ton propos.

Tu "hésites" au moment de taper ta trace et tu voudrais des "astuces" pour que ça se fasse plus naturellement c'est bien ça ?


Je ne suis pas un grand tapeur ça n´à jamais vraiment été mon truc mais ce que tu vis c´est un peu :

?☝️le système limbique et le cortex pré-frontal peuvent entrer en contradiction, là où ton système limbique recherche la satisfaction immédiate et les neurotransmetteurs qui vont te mettre bien, ton cortex pré-frontal essaye de limiter la casse et cherche un espèce d´équilibre- éminemment désorienté par une prise de produit.?☝️
Ça fait un peu "psychologie de comptoir" et il ne faut pas minimiser ni banaliser le fait d´encourager un conflit intérieur.

Est ce qu´une fois que tu as tapé tu t´en veux ? Ou tu regrettes sans plaisir ?
À ce moment là il est peut-être question de questionner tes consommation et de te poser la question de "pourquoi je recommence alors que cela ne me plaît pas"

Évidemment, dans une logique de réduction des risques, il ne s’agit pas de te décourager ni d’interpréter tes choix, mais d’en explorer le sens avec toi


Si par contre une fois que tu as tapé tu te sens mieux et que ton appréhension s´en trouve balayée sur le champ, alors c´est peut être sur le plan "psychologique"




Ça me fait un peu pareil avec les grosses douilles, je sais que je vais en chier, je cogite, passe le temps, réfléchis mais je finis toujours par la passer.

Mais pour les traces je n´en ai jamais prise assez pour commencer à ressentir des effets néfastes (mal au pif par ex).

Si ça te fais ça dès ta première trace peut-être que tu as déjà eu une mauvaise expérience avec la coke ? Une mauvaise association que tu as faites par le passé et que ton cerveau assimile à la coke ?
C´est une proposition indémontrable donc cela vaut ce que ça vaut...


Tu pourrais en dire plus ? Pour mieux comprendre les ramifications de ton histoire.

Cordialement.

Enfaite la première ça va nickel c'est après que ça part en live.

Je manque d'air je bug donc je stress et je crois que je "prends mal - de la mauvaise façon" ma trace alors grosse prise de tête parce que c'est à cause de ma session que j'en suis là mais forcément j'en veux encore donc je cherche la manière de taper pour éviter ça ensuite.

Je sais que je me bats contre moi même au final mais je suis têtu comme si il y avait une manière de sniffer.

Donc ai final je suis plus concentré sur la cc qu'autre chose c'est sans issue.

Tu à une intention au moment de la prise où pas.

Je sais pas si c'est clair que sans raison je cherche à m'adapter et savoir comment prendre ma trace sans me faire mal alors que ça fera mal dans tout les cas...

Désolé merci pour ta réponse en tout cas.

Si je dois préciser j'ai trop de préjugés dans ma tête qui m'ont donné des idées sur comment ou pourquoi en prendre que je sais pas où j'en suis.

C'est confus désolé.. je pourrais développer en mp mais c'est un peu trop compliqué et complexe pour moi à expliquer ici..

Doo-J a écrit

J´avoue je pas bien saisir ton propos.

Tu "hésites" au moment de taper ta trace et tu voudrais des "astuces" pour que ça se fasse plus naturellement c'est bien ça ?


Je ne suis pas un grand tapeur ça n´à jamais vraiment été mon truc mais ce que tu vis c´est un peu :

?☝️le système limbique et le cortex pré-frontal peuvent entrer en contradiction, là où ton système limbique recherche la satisfaction immédiate et les neurotransmetteurs qui vont te mettre bien, ton cortex pré-frontal essaye de limiter la casse et cherche un espèce d´équilibre- éminemment désorienté par une prise de produit.?☝️
Ça fait un peu "psychologie de comptoir" et il ne faut pas minimiser ni banaliser le fait d´encourager un conflit intérieur.

Est ce qu´une fois que tu as tapé tu t´en veux ? Ou tu regrettes sans plaisir ?
À ce moment là il est peut-être question de questionner tes consommation et de te poser la question de "pourquoi je recommence alors que cela ne me plaît pas"

Évidemment, dans une logique de réduction des risques, il ne s’agit pas de te décourager ni d’interpréter tes choix, mais d’en explorer le sens avec toi


Si par contre une fois que tu as tapé tu te sens mieux et que ton appréhension s´en trouve balayée sur le champ, alors c´est peut être sur le plan "psychologique"




Ça me fait un peu pareil avec les grosses douilles, je sais que je vais en chier, je cogite, passe le temps, réfléchis mais je finis toujours par la passer.

Mais pour les traces je n´en ai jamais prise assez pour commencer à ressentir des effets néfastes (mal au pif par ex).

Si ça te fais ça dès ta première trace peut-être que tu as déjà eu une mauvaise expérience avec la coke ? Une mauvaise association que tu as faites par le passé et que ton cerveau assimile à la coke ?
C´est une proposition indémontrable donc cela vaut ce que ça vaut...


Tu pourrais en dire plus ? Pour mieux comprendre les ramifications de ton histoire.

Cordialement.

Genre depuis que j'en parle avec ma psy elle m'a bien appuyé sur le fait que ce n'était pas un "apport" en énergie mais un boost comme pour un café ça puise dans tes propres ressources et ça je le savais déjà avant je me renseigne toujours sur toutes les drogues avant de prendre pour la première fois et même par intérêt de comment ça fonctionne sur le cerveau Etc...

Bref elle a mis ça dans ma tête depuis je pense que c'est pour booster mon énergie simplement comme elle m'a dit alors que avant je ne me posais même pas la question et tout allait bien.

C'est comme comment mettre la paye dans le nez bon j'ai lu dans un article Rdr que c'était mieux de la mettre plutôt au fond alors que non pas forcément ça sert pas à grand chose je pense.

elonnx a écrit

Salut Gregouzerr,

Je t’ai lu à plusieurs reprises sur tes posts avec ton rapport « psy » à la substance,

Et comme tu fais le lien avec le café je rebondis dessus: quand tu bois un café, te demandes tu pourquoi tu le bois? Comment tenir ta tasse, comment le boire (rapidement, lentement, en une fois, en plusieurs?), et surtout dans quel but? Ou alors juste: tu en as envie et tu le bois?


Perso, le café est un réflexe matinal (pas forcément tous les jours), ou à d’autres moments de la journée. Je me laisse complètement porter par l’instinct pour en boire, mon corps sait s’il en a envie ou s’il n’en a pas envie.
Ça peut être juste par habitude du goût, envie de boire cette boisson, ça peut ponctuer un moment social (café/clope), ça peut être pour redonner un petit coup de boost les matins difficiles… tout ça se fait naturellement.

Et quand à 16h je bois un quatrième café, je sais que j’ai abusé, et je sais par expérience que celui là j’prefere l’éviter. Alors j’ai instinctivement adapté ma conso, pour kiffer ceux du matin et ne pas arriver à un stade où ça me coûte trop. Bon: avec le café c’est plus facile qu’avec la C d’adapter, je te l’accorde…

J’avais déjà perçu le point de bascule de tes questionnements après cette discussion avec ta psy, (tu l’avais mentionné une fois),
Qu’importe ce qu’elle en dit, l’essentiel c’est ce que toi tu ressens et ce que cette consommation t’apporte. 
Tu pourrais te poser a tête reposée et reprendre dans un tableau ces « bénéfices », et ce que ça te coûte de l’autre côté.

Selon ce que tu as écris tu vas pouvoir nommer les choses: s’il y a plus de négatif que de positif -> ajustement de la conso dans certains contextes (garder les contextes positifs, par exemple boulot, sociabilisation, que sais je?), et réduction des consos dans ceux qui t’apportent du négatif? (Conso seul à tourner en rond…?)

Il y a bien plus que juste booster son énergie dans la prise de coke, à mon avis. (Comme pour le café…)  C’est un peu simpliste la vision de ta psy. En a t-elle seulement déjà consommé? Sait elle de quoi elle parle? Je ne dénigre pas son travail, ses compétences ou ses capacités. J’essaie de remettre un peu les choses à leur place…

Fais toi confiance, ça aide beaucoup à trouver du plaisir à consommer (ou à réduire une conso perçue comme négative).

Et des fois y’a pas trop à chercher, y’a juste à kiffer… facile à dire



Avec une autre substance, en ce qui me concerne, quand je microdose mon LSD, pour aider une pathologie chronique, ma psy ne cherche pas à m’expliquer ce que ça me fait avec ses connaissances théoriques sur la sustance, elle est dans une posture de curiosité et elle a veut comprendre quel rôle cela joue dans mon équilibre du moment, ce que cela m’apporte à moi, dans mon contexte de vie. (Et qui serait différent pour quelqu’un d’autre). Elle me fait confiance sur mes capacités de discernement - et ça fait du bien.
La question qu’elle va se poser, c’est comment, avec des techniques psy diverses elle peut accompagner cette prise ou même la remplacer en travaillant sur le pourquoi j’en ai besoin. Et des fois ça fonctionne, grâce aux avancées réalisées je ressens moins le besoin de conso car je compense par d’autres techniques. Les choses sont font naturellement et je n’ai jamais eu besoin d’y réfléchir quinze mille fois…
Bon pour le LSD on a décidé de le garder car ça c’est vraiment intéressant.

Je ne sais pas si ce que je te dis fait sens?

Dsl pas tout lu mais pour préciser mon propos à force de me dire la c c'est mal je m'en méfie plus que du reste alors que c'est que un booster de notre énergie cérébrale. Donc oui je galère à prendre Car trop de questions mais bon t'as raison c'est comme un café on se pose pas de questions comment le prendre c'est clair aha merci de cette opinion je vais lire le reste de ton message à tte

Édit : je crois que peut-être ya quelque chose ou tu met le doigt c'est que j'en ai sûrement plus vraiment envie...

Ya de ça ya que ma tête qui en veut mais mon corps ou moi je pense pas. C'est plutôt l'inverse mais le cerveau est plus fort que tout melheuresement

Désolé ça peut choquer mais le fait de croire que c'est un truc vivant.. donc on lutte contre soi llllol

Dernière modification par Gregouzerr (03 juin 2025 à  02:07)