- Anakin123
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Bonjour à tous, c’est au bout d’un mois que j’ai décidé de poster sur ce forum, après avoir lu beaucoup de vos posts.
C’est depuis mon arrivée sur Nantes en juin 2022 que je participe à des soirées techno et que je me suis mis à consommer taz et alcools. J’en ai consommé divers types (+ ou - moins forts, je les achète toujours sur place donc impossible de connaître le dosage) et à raison d’un taz par soirée max.
En juillet 2022, après en avoir consommé >1 (impossible de m’en souvenir exactement, j’ai eu des phases de off), ma descente a duré environ 1 semaine avec déprime, pleurs, fatigue, sensation de flottement et de marcher sur du coton. Après cela, tout s’est arrangé et j’ai continuer mes soirées et à part une grosse fatigue les lendemains de soirée, rien d’alarmant.
En décembre 2023, une semaine avant noël, pendant une soirée, j’ai consommé au moins 1 taz Pop Smoke (la dose fluctue autour des 230mg d’après mes recherche internet) et quelques jours après, fatigue, crise de panique avec tachycardie. Ça se calme un peu à l’approche du 31 et je remets ça le 31 avec 1 + 0,75 et depuis le 31, c’est très dur.
La première semaine grosse déprime, une attaque de panique et des pleurs un après -midi ou je culpabilise à mort sur ce qui m’arrive.
Les 2 semaines suivantes j’alternais entre moral à plat, angoisse, tête lourde, maux de ventre jusqu’à aller 3x à la selle mais aussi des moments où j’étais bien mais pas dans mon état normal. J’avais la tête lourde au niveau du front et la sensation de flotter.
Ces derniers jours (donc quasi un mois après la dernière prise), je suis complètement anxieux jusqu’à pleurer 3 fois par jour en pensant à certains faits passés et toujours la tête lourde et de marcher en état de d’ébriété.
Je suis marié, pharmacien à l’hôpital (quel comble vous me direz) et c’est vrai de nature anxieuse (mais caché). J’ai éclaté en sanglot devant ma chef et avec ma femme, direction les urgences normales, puis urgence psy : rien d’anormal, mais un suivi via psychologue m’est conseillé.
Je précise que durant les semaines passées, prise de sang et exam cardio-vasculaire normaux.
Ma question : est-il possible que la descente soit toujours en cours vu les dosages pris ?Quelle est fait explosé mon anxiété ?
J’ai pris 4 jours de repos histoire de me poser et un rdv vers mon med gé.
Merci pour vos retours !! (cette situation m’affecte tellement que je tire un trait sur toute prise de drogue)
C’est depuis mon arrivée sur Nantes en juin 2022 que je participe à des soirées techno et que je me suis mis à consommer taz et alcools. J’en ai consommé divers types (+ ou - moins forts, je les achète toujours sur place donc impossible de connaître le dosage) et à raison d’un taz par soirée max.
En juillet 2022, après en avoir consommé >1 (impossible de m’en souvenir exactement, j’ai eu des phases de off), ma descente a duré environ 1 semaine avec déprime, pleurs, fatigue, sensation de flottement et de marcher sur du coton. Après cela, tout s’est arrangé et j’ai continuer mes soirées et à part une grosse fatigue les lendemains de soirée, rien d’alarmant.
En décembre 2023, une semaine avant noël, pendant une soirée, j’ai consommé au moins 1 taz Pop Smoke (la dose fluctue autour des 230mg d’après mes recherche internet) et quelques jours après, fatigue, crise de panique avec tachycardie. Ça se calme un peu à l’approche du 31 et je remets ça le 31 avec 1 + 0,75 et depuis le 31, c’est très dur.
La première semaine grosse déprime, une attaque de panique et des pleurs un après -midi ou je culpabilise à mort sur ce qui m’arrive.
Les 2 semaines suivantes j’alternais entre moral à plat, angoisse, tête lourde, maux de ventre jusqu’à aller 3x à la selle mais aussi des moments où j’étais bien mais pas dans mon état normal. J’avais la tête lourde au niveau du front et la sensation de flotter.
Ces derniers jours (donc quasi un mois après la dernière prise), je suis complètement anxieux jusqu’à pleurer 3 fois par jour en pensant à certains faits passés et toujours la tête lourde et de marcher en état de d’ébriété.
Je suis marié, pharmacien à l’hôpital (quel comble vous me direz) et c’est vrai de nature anxieuse (mais caché). J’ai éclaté en sanglot devant ma chef et avec ma femme, direction les urgences normales, puis urgence psy : rien d’anormal, mais un suivi via psychologue m’est conseillé.
Je précise que durant les semaines passées, prise de sang et exam cardio-vasculaire normaux.
Ma question : est-il possible que la descente soit toujours en cours vu les dosages pris ?Quelle est fait explosé mon anxiété ?
J’ai pris 4 jours de repos histoire de me poser et un rdv vers mon med gé.
Merci pour vos retours !! (cette situation m’affecte tellement que je tire un trait sur toute prise de drogue)
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- prescripteur
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Bonjour, il semble que tu aie consommé des tazs à intervalle relativement court. De nombreux temoignages sur PA montrent qu'apres quelques mois ce genre d'effets scondaires est frequent. Un intervalle d'au moins 4 semaines entre les prises est fortement conseillé. Mais c'est une connaissance experentielle des PUD qui malheureusement n'est pas reprise dans les publications officielles.
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages
Amicalement
https://www.psychoactif.org/psychowiki/ … 9moignages
Amicalement
Dernière modification par prescripteur (01 février 2024 à 11:50)
S'il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. Devise Shadok (et stoicienne)
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- Tybreton
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Bonjour, à tu déjà fais un épisode de dépression par le passé ? Des prises répétés de mdma a intervalle trop reguliere peuvent éventuellement donner des symptômes de dépression. En général chez des individus ayant déjà des prédisposition. Je pense qu avec le temps cela va s'estomper. Du doit être en carence ++ de sérotonine. J imagine qu il va falloir faire une longue pause avec les taz. Force a toi en tout cas.
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- Anakin123
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Tybreton a écrit
Bonjour, à tu déjà fais un épisode de dépression par le passé ? Des prises répétés de mdma a intervalle trop reguliere peuvent éventuellement donner des symptômes de dépression. En général chez des individus ayant déjà des prédisposition. Je pense qu avec le temps cela va s'estomper. Du doit être en carence ++ de sérotonine. J imagine qu il va falloir faire une longue pause avec les taz. Force a toi en tout cas.
Merci pour vos retours !
Pas de dépression à mon actif, je suis quelqu’un d’assez vivant.
je suis, d’après le psychiatre vu aux urgences hier, quelqu’un d’anxieux et il est vrai qu’à l’approche de gros événements ou rencontres, mon cœur peut s’emballer.
Mais là, j’ai l’impression que les effets étaient fort la 1ére semaine puis à la 4ème semaine avec une phase intermédiaire de vide entre.
Ce sont les effets aussi tardifs qui me préoccupent (quasiment 1 mois).
Mais j’essaie de compenser niveau nourriture, sorties et la présence de ma compagne.
Il est clair que les doses prises aussi fortes et rapprochées ont déclenché tout ceci mais ça dure…
Je donnerai des nouvelles les prochaines semaines pour ceux qui ont eu la même expérience que moi.
Merci +++
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- happydonkey
- Nouveau Psycho
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- Inscrit le 13 Feb 2022
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Réponse tardive ... Mais ça peut servir.
Les substances c'est puissant, elles doivent être respectées et elles sont capricieuses aussi à leur heure.
Tu as abusé de la bonne MD, tu la leçon fait partie de l'expérience ( sorry, je suis pas un donneur de leçon(.
Quand tu as pris trop d'une substance, l'effet charge (enfin il change de toute manière).
Par exemple pour moi, la MD, au début, warm, love. Descente aléatoire, je saurai pas pourquoi, mais disons que 1/3 me fait bader 2-3j, puis c'est ok.
Bref hors sujet
Après un moment, la MD est devenue froide, métalique comme si elle s'était passée de me parler.
La Dmt dans une autre mesure ma fait passer par la.
J'ai essayé de persister, de continuer à consommer, pure perte.
Pire desagresble !
Depuis, bref je ne suis fixer pas mal de règles.
Avec certaines de ces substances quand j'ai commencé à Bader, j'ai voulu persévérer pour casser le schéma et je me suis rendu compte qu'au final ça sert strictement à rien pour moi. Je parle vraiment de mon ressenti à et que la seule méthode était de faire une pause. Tu peux aussi envisager la pose de manière plus sympathique en alternant les substances.
Au bout d'un moment quand je commence presque à m'en fiche et à me dire que cette substance n'est pas pour moi tout d'un coup. En fait, elle réapparaît dans ma vie avec ces mêmes effets chercher.
La petite sœur de cette règle c'est quand je sors avec des amis. J'ai prévu prendre un buvard ou de prendre la MD ou de prendre à savoir quoi. Et j'ai toujours une petite appréhension avant de consommer quoi que ce soit et je pense que c'est. Extrêmement intéressant d'écouter cet appréhension et même pas oublier que ce sont des substances puissantes et qu'il faut les aborder avec respect. Bref de l'histoire ou on avait un concert de prévu depuis longtemps et on avait prévu de prendre un peu de MDR de LSD. Mais le soir venu il y a un espèce de Nono qui commence à s'infiltrer un petit peu. J'ai souvent eu tendance à ne pas m'écouter en disant Ben je suis avec des amis. On a prévu de se bouffer un buvar bah on reste le bouffer et puis toute manière une fois qu'il va monter mais ça va être cool pas en fait pas vraiment. Je me suis assez vite rendu compte que cette manière de faire me faisait quasiment systématiquement arrivé au même endroit. Pas super agréable! On se demande pourquoi est-ce qu'on est là? Pourquoi est-ce qu'on a pris un truc qui nous a fait partir sur Mars? Et au final cette petite pointe de regret si on s'amuse pas un peu à la tordre dans tous les sens peut nous amener à bad tripé.
Donc depuis quelques temps si au dernier moment tout d'un coup je sens un mauvais feeling, une mauvaise atmosphère à une petite fatigue, un peu chiante et bizarre. Bah je me force pas, je sais qu'il y aura encore plein plein de taux d'occasion donc ça vaut pas la peine.
À vrai dire, ça me ferait vraiment chier d'être écoeuré de consommer ces substances. Donc quand je sens un petit ras-le-bol venir Ben je m'écoute un peu. !
Ma manière de gérer ?
Les substances c'est puissant, elles doivent être respectées et elles sont capricieuses aussi à leur heure.
Tu as abusé de la bonne MD, tu la leçon fait partie de l'expérience ( sorry, je suis pas un donneur de leçon(.
Quand tu as pris trop d'une substance, l'effet charge (enfin il change de toute manière).
Par exemple pour moi, la MD, au début, warm, love. Descente aléatoire, je saurai pas pourquoi, mais disons que 1/3 me fait bader 2-3j, puis c'est ok.
Bref hors sujet
Après un moment, la MD est devenue froide, métalique comme si elle s'était passée de me parler.
La Dmt dans une autre mesure ma fait passer par la.
J'ai essayé de persister, de continuer à consommer, pure perte.
Pire desagresble !
Depuis, bref je ne suis fixer pas mal de règles.
Avec certaines de ces substances quand j'ai commencé à Bader, j'ai voulu persévérer pour casser le schéma et je me suis rendu compte qu'au final ça sert strictement à rien pour moi. Je parle vraiment de mon ressenti à et que la seule méthode était de faire une pause. Tu peux aussi envisager la pose de manière plus sympathique en alternant les substances.
Au bout d'un moment quand je commence presque à m'en fiche et à me dire que cette substance n'est pas pour moi tout d'un coup. En fait, elle réapparaît dans ma vie avec ces mêmes effets chercher.
La petite sœur de cette règle c'est quand je sors avec des amis. J'ai prévu prendre un buvard ou de prendre la MD ou de prendre à savoir quoi. Et j'ai toujours une petite appréhension avant de consommer quoi que ce soit et je pense que c'est. Extrêmement intéressant d'écouter cet appréhension et même pas oublier que ce sont des substances puissantes et qu'il faut les aborder avec respect. Bref de l'histoire ou on avait un concert de prévu depuis longtemps et on avait prévu de prendre un peu de MDR de LSD. Mais le soir venu il y a un espèce de Nono qui commence à s'infiltrer un petit peu. J'ai souvent eu tendance à ne pas m'écouter en disant Ben je suis avec des amis. On a prévu de se bouffer un buvar bah on reste le bouffer et puis toute manière une fois qu'il va monter mais ça va être cool pas en fait pas vraiment. Je me suis assez vite rendu compte que cette manière de faire me faisait quasiment systématiquement arrivé au même endroit. Pas super agréable! On se demande pourquoi est-ce qu'on est là? Pourquoi est-ce qu'on a pris un truc qui nous a fait partir sur Mars? Et au final cette petite pointe de regret si on s'amuse pas un peu à la tordre dans tous les sens peut nous amener à bad tripé.
Donc depuis quelques temps si au dernier moment tout d'un coup je sens un mauvais feeling, une mauvaise atmosphère à une petite fatigue, un peu chiante et bizarre. Bah je me force pas, je sais qu'il y aura encore plein plein de taux d'occasion donc ça vaut pas la peine.
À vrai dire, ça me ferait vraiment chier d'être écoeuré de consommer ces substances. Donc quand je sens un petit ras-le-bol venir Ben je m'écoute un peu. !
Ma manière de gérer ?
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Do what you feel and feel what you do
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