Les soirées "appart" avec un peu de zique entre amis c'est aussi génial, en sniff. Ou un soir en version couple avec ta belle. Mais le top reste de s'envoyer une dose correct en une seule fois voire deux fois en parachute au moins pour vivre la montée, d'être dans un environnement avec des gens que tu apprécies, un son correct et vraiment tu vas vivre un moment convivial.

Puis ne pas oublier les pauses de quelques semaines pour ton équilibre psy.

Pour la coke, tu n'auras pas le choix que de sortir de ton univers de coke (ami, lieu), radicalement au début (tu peux retrouver tes potes quelques mois après). Ensuite démarre un sevrage fort, fais du sport, va voir un psy (genre TCC), pourquoi pas la méditation qui te permet de mettre en situation (c'est à dire que tu revis le désir d'en prendre, les descentes).


La coke est très pervers contrairement à la mdma par exemple. l'addiction n'est pas physique, elle vient interroger ton cerveau en lui proposant un mode de fête, de surexcitation intellectuelle, bref, il faut vraiment que tu comprennes la différence entre l'addiction physique et psychique.

Et pour être subjectif : c'est une drogue de merde, j'ai connu des trucs hyper pures, mais finalement elle possède je trouve un déséquilibre plaisir/coût sur ta santé peu amical.

J'ai trainé avec la coke. Je m'en suis séparé (20 mois) puis j'ai revu notamment de bons potes, j'ai replongé mais très modérément. Le problème : comment pas …

Favoriser la société comme responsable de la consommation de drogue ne mènera à rienDe plus de quelle société parle t-on ?

Faut revenir sur soi, analyser son environnement peut-être (sa société) puis tenter si possible d'en discuter avec quelqu'un qui saura aussi mesurer, recadrer les addictions, leurs donner du sens (festif qui s'installe insidieusement, dépression ?, addiction plus pathologique ? angoisses, anxiété ?) et j'en passe car il y a des différences monstrueuses entre deux personnes parfois.

Personnellement je n'ai pas de problème avec la société, et généralement le drogue est juste souvent une expérience qui permet rapidement de virer l’inhibition, elle est même souvent une continuité de mon état de surexcitation, qui malheureusement m'amènera à 3h00 du mat, alors que j'aurai pu être chez moi a 22h tranquille.

Les drogues et non la drogue d'ailleurs n'est pas un objet doué de morale ou valeurs idéologiques. C'est un produit qui vient activé des sensations sur un corps …

Ca n'en vaut pas la peine mais ta colère présuppose que tu y reviendras peut-être.... Je ne généralise pas mais c'est l'un des potentiel de la coke, cette amour/haine assez caractéristique des lendemain ou surlendemain.

Je ne devrai pas dire ça mais de la bonne coke réduit fortement la descente, c'est souvent la coupe qui est difficile (sur le dark pour la bonne car pour en avoir en France faut vraiment connaître un bon dealer et les bons dealer réservent leur bonne dope à ceux qui paient, ils ne se déplacent pas pour 5 g, mais ça change depuis 5-6 ans).

Ensuite le produit est un psychotrope : interroge toi sur tes réactions plutôt que croire que le produit domine tout.

J'étais pareil, un rapport très conflictuel avec la coke, j'hurlais presque que c'était de la merde puis une semaine après j'étais heureux d'en reprendre (avec en tête l'idée de trouver du meilleur matos), il m'est tout de même arrivé de refuser d'en prendre parce que je savais que c'était de l'horrible matos (donc …