La 3-MMC n'aura pas le potentiel de la mdma.

Pas de montée et pas de grand plateaux. Ca reste assez discret.

La mdma reste la mdma et avec de l'accoutumance.

Tente le LSD aussi !

Coucou à toi,

Alors, toute modestie gardée, le mdma je connais bien.

[prejuge]Il y a une tolérance à vie soit tu n'auras jamais les premières extases.[/prejuge] Mais au final ça n'est pas très grave.

Par contre même deux ans voire plus j'ai remarqué qu'il fallait oser augmenter les doses. Donc pour moi ça reste le must autour des 300mg en gélule, et même ça tape assez fort.

Mais j'ai aussi adoré moins, soit 150mg, puis droper en sniff 50 et 50, il faut juste accepter la texture un peu corrosive du produit mais finalement gérable.

Pour moi aucune RC ne vaut la mdma, aucune. elle reste indéniablement plus juste que d'autres RC qui évidemment ont leur qualité mais non pas cette identité très séduisante.

Surtout qu'en mode mdma, poudre, dite champagne, testée, tu peux vraiment doser.

Je me fais souvent avoir, j'en prends deux fois par an. Je pousse un 200mg et j'attends Puis un peu confiant, j'en, enchaîne un 100 me croyant accoutumé, ce après une bonne heure.... puis je me tape la …

Il y a un lexique des termes je crois sur ce site. Mais si j'ai bien compris, le concept assez réaliste du plateau signifie un moment assez stable et après la ou les montées.

Pour certains produits c'est très net, pour d'autres très rapides. On perçoit un peu d'être sur le maximum du produit et d'être dans une phase qui n'évolue plus, sans être désagréable.

Très sensitif avec la mdma par exemple, la coke un peu moins. Mais je ne connais pas cette chill dont tu parles sinon que la coke au bout d'une moment ne provoque plus de montées, après je n'ai jamais fait de marathon de 48h.

Et moins aujoud'hui avec le très bon matos mais le nez pouvait saturer et empêcher le sniff de se faire.

Etant un stim, la coke devrait excité, possible que le corps développe une forme de défense et gère pour créer cet effet d'apaisement.

Je me suis retrouvé un soir, sous alcool (bière) et surtout mdma au philharmonique de Paris et se jouait la 4ème de Malher.

Tain j'en tenais une bonne car la montée est arrivée pile poils lors du début du concert, mais j'ai su tenir et respirant.

J'ai vécu un moment de folie sur ce concert, respirant les sons et surtout qu'un adagio monstrueux déboule vers la fin de l'oeuvre, j'étais en transe.

Pour te dire quoi ? Etant de la génération rave/techno de Detroit des années 90/2000 je pensais que seul ce style se mariait avec la mdma, et je fus surpris.

Mais le registre musique répétitive en soirée reste dominant et adapté, en appart, tout est possible, sauf le Grind core et le Black Metal.

Hello,

Tu peux reformuler parce que là c'est un peu obscure.

Hello à toi,


Selon notre âge, contexte perso, une drogue viendra s'adapter à notre vie.

Mais perso je n'ai jamais connu la coke sur plusieurs jours, sinon max deux jour (et une seule nuit presque blanche).

Quant à l'effet très désagréable du "il n'y en a plus", bah c'est une des caractéristiques de madame coke. Mais j'ai aussi connu le saladier VIP rempli et ton nez où ton corps n'en peux plus aussi, malgré la profusion du produit. Comme l'effet aussi où tu te crois finis après x traits, puis tu relances un gros dernier et ça t'envoie très loin.

Perso j'ai toujours un peu flippé de l'OD, ou du coeur qui lâche, chacun ses obsessions.

Après pour se faire une OD en sniff faut y aller...

Les nuits blanches qui s’enchaînent j'ai connu sous mdma, jamais sous coke. Je ne fais plus ça à mon aĝe (non pour l'âge en soi, mais quand tu as des momes, tu gères en fonction).

Ah oui.... j'adore pioncer.

Mais si je peux me permettre, il y a d'autres "dopes" qui assurent ce délire de continui …

Hello,

J'ai ce sérum physio plus pour mon chat qui développe des conjonctivites sur un oeil donc je le nettoie avec ça, puis je l'utilise en fin de multiples traits pour parfois libérer le pif où espérer des lendemains moins tragiques coté sinus.

Mais il n'y a pas photo. Les saturations du nez seront liées à la qualité de la coupe. D'ailleurs certaines coke sont assez irritantes pour les sinus (quelles coupes, je ne sais pas) alors que d'autres sont un régal.

Pour la fonction "boost" alors là je n'ai jamais remarqué ça. Et j'ai envie de dire qu'après avoir dépasser le bon 3/4 d'un gramme il faut franchement passer à des traits de bûcherons pour que ça tape un peu, sauf que si coupe un peu pourave, le nez sature, donc tu nettoies car ça coince. C'est un peu le paradoxe où il faut ouvrir plus alors que ça se ressert un peu plus ou ton nez peine à suivre.


Simple avis perso, mais quand tu te retrouves avec un pif de gangster avant 1g, c'est que le dealer à chargé en coupe "irritante". …

1g, je doute, pour quelqu'un qui n'en prends pas de façon hebdomadaire (donc avec beaucoup d’accoutumance), c'est même hyper dangereux.

Une soirée où tu tapes 600mg tu la paies (yeux et visage tendus le lendemain matin), et arrivé à 1g signifie avoir surexploité les semaines suivante le produit.

L'ideal que j'avais trouvé : en gélule (mdma champagne), 150mg voire moins, puis on corrige avec un sniff si l'effet semble mal ajusté.

Ca pique mais ça reste correct (si vous avez un jour sniffé de 2-CB, la douleur est tellement délirante que la mdma reste amical). Et c'est efficace dans les 5 minutes.

La boire ? Il y aurait du sens si un effet progressif se manifestait, mais la mdma se prend en une fois, voir des redrop.

Le para version feuille de papier à avaler comme un cachet sinon.


Un conseil : informe toi sur les doses que tu prends. Vise les 120 max, voire 180, mais au delà de 200 ça peut devenir problématique. …

Coté cul ?

J'ai jamais tapé sur le fessier de mes compagnes (comme dans un film) et quand tu en prends pas mal, c'est très vasoconstricteur dont pour avoir une érection... Pour ma part ça repart sur la fin et c'est de nouveau opérationnel.

Avec une ex, elle voulait s'offrir la soirée fantasmée du sexe-coke. J'ai tenté l’expérience et alors que je n'ai jamais de soucis, c'était mort, impossible. Il aura fallu patienter deux heures et en buvant de l'eau pour que ça reparte enfin.

Ou alors il faut attaquer dès le début des prises, pas une heure ou deux après.

Certains l'accompagne de viagra, mais attention le cardio.

Donc le coté aphrodisiaque, non, sauf encore une fois tout à la fin (en descente). Comparé au LSD (le top pour moi), la 3MMC (plus approprié), le GBL (qui peut devenir hyper stimulant) ou même un excta (quoique plus entactogène que sexuel) la coke n'a pas ses atouts.

Les mythes sont légions. Et aujourd'hui la coke est présente partout, c'est assez vertigineux comment …

Hello à toi,

J'ai un peu connu l'endettement, plus par des achats compulsifs et un peu par la coke et oui un crédit à solder.

Pour te rassurer, la coke étant chère, en quelque mois tu peux te retrouver avec un crédit personnel qui te plombera. Faut déculpabiliser là-dessus, et assumer. C'est fait.

Après, oui on peut gérer ses consommations par la suite, certains doivent opter pour la radicale abstinence mais je crois (chiffre d'un addicto ) 30 à 40% des anciens addictes (et selon aussi les produits aussi), arrivent à gérer.

Ca va dépendre du comment tu vas appréhender ton histoire avec cette addiction. ET plus encore les rechutes, ou reprises. 1 ou 2 fois par mois ça n'est pas 5 fois par semaines.

Personnellement j'ai été accompagné par une addictologue avec qui je voulais aussi être sur les mêmes schémas, bien que le sachant c'était elle : Démarrer par une abstinence radicale, sur plusieurs mois, évidemment : et ensuite aborder l'histoire des rechutes.

Pas question pour moi …

Souvent dît qu'elle améliorerait la confiance en soi. Je ne l'ai jamais prise pour ça.

C'est du stim et ça vient stimuler des choses présentes en soi je pense. Pour ma part, le blabla sur des sujets intello, creusés, politiques, sociétales, avec comme gros défaut de rejeter ceux qui n'offraient pas un échange disons intéressant, ce de façon un peu égoïste. C'est un aspirateur à verbiage où tu dévores l'intelligence des autres, ça te stimule.

Ensuite plus tard, pour écrire, faire des récits de son passé, résoudre, se construire sur des valeurs aussi en les couchant par ecrits, en les "validant"(contrairement à l'alcool qui peut te rendre beauf ou cynique, la coke n'a jamais installée de comportement un peu naze). Très obsessionnel.

Donc une drogue hyper social au début, avec une empathie assez égoïste car basée sur le langage et une nourriture gagnant/gagnant.

Certains pour le cul, mais moi, c'est sur la fin, avant ça me bloque coté érection, trop vasoconstricteur, ou alors la …

On a toujours besoin de se raccrocher à des anecdotes de types "particulières" pour je pense se rassurer et se dire que nos abus, comparer en fonction des normes, ne vont pas nous mettre dans une situation dramatique.

Donc on va citer celle ou celui qui aura bu, fumé, etc et qui n'aura aucun soucis de santé.

Ca exclu les 45000 morts par an pour cause d'alcoolisme. Ou alors on pense que c'est 45000 sont un mensonge, ou que ces gens-là buvaient 3 litres de rhum par jours, et qu'ils avaient aussi des vulnérabilités que l'on aurait pas.

Après, il est vrai que l'on rencontre parfois des personnes qui se rincent et qui "tiennent", mais ça reste un échantillon assez limité.

Le truc le plus juste est de regarder sa santé à soit, de voir comment le corps réagit. Si les abus s’étendent sur le temps, de faire des analyses.

Moins de croire à un facteur chance.

J'ai connu aussi des personnes qui tenaient de façon impressionnante, sportives, une santé de fer. Des dizaines d'années, puis quand …

Elle peut être très dure mais au final cassé en poudre. Très floconneuse, mais ça dépendra des "adjuvants".

Dans un monde légalisée, le marketing proposerait une poudre très agréable au snif, et pourquoi pas mentholée, goût agrumes.

Possible qu'elle soit mal conservée, humide, ou voire qu'un produit fausse le test (pourquoi pas).

Elle doit virer marron sur les tests. Bleu, c'est douteux.

Les pires descentes je l'ai eues avec des coke merdiques, mais aussi avec de l'alcool.

Cela dit, avec d'autres personnes, ont aura conclu tout de même qu'avec des coke testées (du DM surtout) assez pures, soit autour de 85%, elles étaient très gérables les lendemains. Rien à voir.

Je n'ai aucune idée de quoi pouvait être composées ces cokes de merde.

Donc par expérience la coupe joue un rôle, l'alcool aussi car le mix coke et le métabolisme de l'alcool produit de l'acide anyhydride, ça serait assez toxique.

Tente un soir de ne boire que du coca ou autre pour voir. Puis mesure aussi ta consommation de coke.

L'heure aussi, arrêter à 20h ça n'est la même chose que 3h ou 4h voire plus tard.

Merci pour vos remarques. On est sur les mêmes expériences.

Pour la fatigue, j'ai eu beaucoup moins de mal qu'avec des soirées sous coke, de qualité très moyenne, et alcool où il me fallait 4 jours pour récupérer. Avec du LSD, même bien perché pour les premiers, une sieste, une bonne nuit et c'est un retour à une forme très agréable. Même la fatigue est on dira "respectueuse" (et non brutale et difficile à vivre).

Je fais une pose sur cette substance, parce que mon cerveau n'en demande plus non plus (pas du tout un effet addictif, ça se tarit même au bout de 4 à 5 prises espacées, je me garde les buvards pour une prochaine session si l'opportunité se présente.

Si les visuels furent intéressants (mais des doses autour des 400micro), le LSD à une capacité à libérer la parole assez proche des premiers excta et ça va chercher très loin dans la verbalisation des petites choses que l'on garde un peu pour soi, ce toujours sur un terrain très empathique et amoureux on dira.

Et pour finir, …