DEPISTAGE DES DROGUES AU TRAVAIL

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Gilac
RIP
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Un petit aperçu d'un avenir sans doute assez proche

http://www.journaldelenvironnement.net/ … ;idThema=5

Drogues au travail: l'épineuse question du dépistage
01/09/2009 12:20
La consommation de drogues au travail préoccupe
de plus en plus les entreprises mais aussi les
pouvoirs publics. La question du dépistage et
d'une éventuelle modification de la
réglementation s'est trouvée au coeur des débats
lors du forum régional sur le sujet, le 2
juillet, à  Angers; avant des Etats généraux, en
2010.

par Sabine Casalonga

Plus de 65% des chefs d'entreprise et 50% des
salariés considéraient en 2006 que les questions
de toxicomanie au travail étaient de plus en plus
préoccupantes, d'après une enquête de l'Institut
national de prévention et d'éducation pour la
santé (Inpes). L'alcool demeure le problème le
plus fréquemment rencontré. Néanmoins, 11% des
entreprises ont déjà  été confrontées à  des
problèmes avec des usagers de cannabis et 2% avec
des usagers d'autres drogues (cocaïne, ectasie,
etc.). Certains secteurs comme les transports,
l'hôtellerie, la restauration et la construction
sont particulièrement concernés par les pratiques
addictives.

«Il n'existe pas de données scientifiques
suffisantes permettant d'établir le lien entre la
consommation de stupéfiants et le risque
d'accidents au travail», explique Corinne Dano du
service d'addictologie du CHU d'Angers. Des
études ont cependant estimé que 20% des accidents
au travail, des comportements inadaptés et des
cas d'absentéisme étaient liés à  la consommation
d'alcool, mais aussi de drogues illicites et de
psychotropes.

La Mission interministérielle de lutte contre les
drogues et la toxicomanie (Mildt), présidée par
Etienne Apaire, s'est emparée de cette question
en programmant des Etats généraux des conduites
addictives en milieu professionnel au premier
trimestre 2010. Deux forums préparatoires
réunissant divers acteurs (Etat, Régions,
juristes, scientifiques, partenaires sociaux) ont
également été prévus. Le premier s'est déroulé à 
Angers (Pays de la Loire), le 2 juillet, et le
second aura lieu à  Bordeaux (Aquitaine), en
novembre. «Le but est de recueillir des bonnes
pratiques, de susciter la réflexion et de poser
les questions éthiques et juridiques», explique
Etienne Apaire. Au-delà  des mesures qui
pourraient être préconisées, une modification de
la réglementation sera discutée. Elle viserait à 
donner plus de pouvoir à  l'employeur en matière
de lutte contre les addictions, à  réglementer les
pratiques de dépistage et réviser les sanctions.

De fait, «bien que l'usage de drogue soit
illicite et sanctionné pénalement par le Code de
la santé publique, il n'existe pas de
dispositions spécifiques dans le Code du travail
[excepté pour l'alcool]», souligne Sophie
Fantoni, médecin au CHRU de Lille et docteur en
droit. Or la responsabilité de l'employeur peut
être mise en cause en cas d'usage ou de trafic de
drogues au sein de l'entreprise, ou lors d'un
accident d'un salarié sous l'emprise de drogues.
Et il est tenu par la loi au devoir de prévention
de la santé de ses salariés. Pour se protéger,
l'employeur dispose d'un pouvoir disciplinaire
limité au flagrant délit ou à  la preuve
irréfutable de faute.

Cette situation explique pourquoi le dépistage
est au cÅ ur des débats et suscite la controverse.
Certains souhaitent développer cette pratique
aujourd'hui très encadrée. Dans leur majorité,
les dirigeants d'entreprise se déclaraient plutôt
favorables à  des contrôles sur le cannabis (69%
des DRH dans les entreprises de plus de 50
salariés et 61% dans les TPE) selon l'enquête
2006 de l'Inpes. Actuellement, selon une
circulaire datée de 1990 (1), seuls les tests de
dépistage biologiques (urinaires ou sanguins)
réalisés par le médecin du travail sont autorisés
pour déterminer l'aptitude d'un salarié à  un
poste de travail et sous réserve d'une
inscription dans le règlement intérieur. Un
dépistage peut aussi être effectué sur certains
postes à  risque. Mais dans tous les cas, le
dépistage systématique est proscrit.
L'utilisation de tests salivaires, en cours
d'expérimentation auprès de conducteurs routiers,
se heurte à  des freins scientifiques -leur
fiabilité n'est pas encore totale- mais aussi
éthiques. Mais leur développement est envisagé.

«Nous craignons que l'approche du dépistage soit
uniquement répressive, déclare Jacques Bordron,
responsable Santé au travail à  la CFDT Pays de la
Loire. Alors qu'elle doit aussi être préventive
et collective, menée en association avec les
CHSCT, les représentants de salariés et des
consultants extérieurs.»

Aucune option ne semble pour l'instant
privilégiée. «Dans tous les cas, la pratique du
dépistage devrait être discutée en amont avec les
partenaires sociaux», estime Sophie Fantoni qui
prône la mise en place d'un dispositif
d'information et de prévention prenant en compte
l'impact des consommations sur le lieu du
travail, mais également l'impact des conditions
de travail sur les consommations. «Généraliser
les tests de dépistage sans accompagner les
salariés peut même se révéler dangereux en
favorisant l'exclusion de certains jeunes
vulnérables du monde du travail», affirme Corinne
Dano. Le rôle-clé du médecin du travail a été
souligné pour sensibiliser le personnel et
prévoir le dépistage dans le règlement intérieur.
En 2006, 41% des entreprises de plus de 50
salariés et 17% des très petites entreprises
(TPE) avaient intégré les drogues dans leur plan
d'évaluation des risques. Mais seulement 3%
d'entre elles avaient mis en place des actions de
prévention sur ce thème.

(1) Circulaire du ministère du travail (n°90/13)
du 9 juillet 1990, relative au dépistage de la
toxicomanie en entreprise

"Tu peux t'abstenir des souffrances du monde, Tu es libre de le faire et cela répond à  ta nature: mais cette abstention est peut-être précisément la seule souffrance que tu puisses éviter"  Franz Kafka

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357magnum
Psycho sénior
Inscrit le 06 Aug 2009
641 messages
Oups faudrai que je songe a nettoyer sous mon clavier ... Et le verso de mon badge . J'trouve qu'il se font du souci pour pas grd chose au pouvoir public , d'ailleur plus j'avais de G ds le piff , meilleur était le rendement , et je m'estimais pas être un danger pour mes collegues & clients ! Il est dit que 20% ds accidents de travail sont due a la consomation de substance ! En mettant de coté les métiers du transport ou naturellement l'alcool n'est pas de bonne compagnie , 20% pour moi est un taux proportionnel ; après tout ces 20% la aurai pue avoir un accident en etant sobre ... Comme les 80 autres ! Non , sauf si j'ai pas compris , c'est inutile ! Et plus , ce poucentage inclu l'alcool .
En tout cas si un jour le dépistage doit être mis en place , qu'en sera t'il pour moi par exemple , qui suis en subsitution : je devrai rendre des comptes a ma grosse directrice ?
J'ai connue quelqu'un qui c'etait fais viré parce que l'un de ses collegues avait trouvé une fiole de metha ( en règle ) , son patron preferai raker au prud'homme que de le garder .
Sérieusement , si quelqu'un a des infos la dessus , parce que la c'est le monde de l'entreprise , et ds le monde de l'entreprise ; il faut toujour anticiper !

Dernière modification par 357magnum (03 septembre 2009 à  23:56)


Tout ce qui provoque une montée , doit redescendre . Human trafic

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maybe femme
Psycho junior
Inscrit le 14 Dec 2008
410 messages
Oui le dépistage de l´usage de stupéfiants sur le lieu de travail est une pratique relativement récente, qui, via les multinationales, a tendance à  «s´exporter» des pays développés vers des pays en développement. Certains y sont favorables, considérant qu´elle constitue une manière efficace de faire face au problème de la toxicomanie dans l´entreprise. Mais est-ce vraiment le cas ?
Sur cette question, la controverse bat son plein. De fait, la problématique est complexe, puisqu´elle englobe des questions aussi diverses que celles du respect de la vie privée, de la responsabilité sociale, ainsi que du rôle et de la responsabilité des employeurs et des entreprises privées. Les choses se compliquent encore lorsqu´il s´agit de répondre à  des questions comme celle-ci: Les tests de dépistage apportent-ils la preuve irréfutable qu´il y a bien consommation de drogues sur le lieu de travail, ou ne font-ils que révéler des pratiques qui ont lieu en dehors de ce lieu de travail?

Le premier argument en faveur du dépistage tient à  ce que dans certaines professions comportant de grandes exigences en matière de sécurité – médecine, transports, bâtiment, par exemple – toute altération des perceptions ou du jugement peut avoir les conséquences les plus graves. La sécurité de l´entreprise, qu´il s´agisse de productivité ou de protection des biens, est également un sujet de préoccupation légitime. Par ailleurs, ceux qui plaident en faveur des mesures de dépistage font valoir que les employeurs ont un «devoir de vigilance» qui leur impose de garantir la sécurité du milieu de travail.

Que l´on soit pour ou contre le dépistage, ce ne sont pas les arguments qui font défaut. Ceux qui s´y opposent mettent tout d´abord en avant que les tests, s´ils permettent de déceler l´usage de certaines substances, ne permettent ni d´apprécier les conséquences de cet usage sur les prestations de l´intéressé, ni de distinguer entre un usage occasionnel et une toxicomanie avérée. Ils font ensuite remarquer que le recours à  ces tests soulève un ensemble de questions éthiques, concernant notamment le caractère confidentiel des informations personnelles et l´octroi à  l´employeur d´un droit de regard sur les activités de son personnel en dehors des heures de travail. Enfin, ils font observer que ces tests ne sont pas fiables à  100 pour cent et qu´il font parfois apparaître des «faux positifs».

http://www.ilo.org/wow/PlanetWork/lang- … /index.htm

La pire drogue, c'est l'amertume, elle empoisonne la vie, mais conserve son homme.   
                              [Pierre Baillargeon]

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357magnum
Psycho sénior
Inscrit le 06 Aug 2009
641 messages
Bien triste qu'il n'y a que le Canada qui applique une politique juste en matière de dépistage de drogue & d'alcool , Rassuré qu'en France c'est la médecine du travail qui sont en charge pratiquer le dépistage ( mince ! J'n'ai pas envie de faire pipi ds popo ) .
Ha ! J'me souviens comme elle était bonne la p'tite pointe en rentrant du boulot ,( j'passe le bonjour a mon coloc de l'époque ) , tellement bonne qu'elle m'etait devenu indispensable pour chaque soir ! puis moi qui croyais que l'hero rendais stone , en fait elle m'a été un excelent dopant , et un antidépresseur pour toute les couilles que j'ai subbi et que j'allai encore subbir ... Ben ouaip , j'ai pris de la came non pas pour me défoncer , mais pour supporter et améliorer  une certaine charge de travail , quand je part en vacance , mes autres collègues s'occupent de mes clients ( normal ) et mon chef doit a chaque fois prendre 2 a 3 intérimaires pour le reste . J'm'en plains pas parce que je suis un fou du travail ... Et bien qu'il existe des moyens plus légaux , et bien c'est la marron qui est venu vers moi en m'ouvrant les bras . Et je sais que je suis loin d'être un cas isolé .
Je travail pour un grd groupe et connaissant leurs politiques de RH ,  Il est important pour moi que je sache si le traitement de subsitution est tenu au secret médical. . Je trouve que la question merite d'être creusée non ?
Merci maybe pour cette article très intéressant .

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bighorsse femme
Banni
Inscrit le 19 Mar 2007
8506 messages
franchement je doute que les chir et les medecins soient controlés!!! ils s'auto protegent alors!! mais je ne peux pas etre pour le depistage par les patrons!! je vous dit pas les magouilles , les pressions, les delations, les vengeances etc...que cela impliquerait! j'ai bossé dans un lieu où la majorité du personnel fumait des joint à  chaque pose, devant les chefs...il n'y aurait  plus personne alors sur ce lieu de travail si on appliquait les dépistages! et cela est valable partout!! on ferait mieux de foutre la paix aux gens!

l angoisse est le vertige de la liberté

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Mistouflette
Nouveau membre
Inscrit le 08 Oct 2009
6 messages
Je tombe par hasard sur ce forum, que je ne connaissais pas !
Cette discussion est intéressante, car je ne pense pas que l'usage de drogue soit dangereux uniquement lorsqu'on est routier ou taxi.

Attention, je consomme, donc je ne vais pas trop la ramener non plus sur les dangers des stup au travail. Je sais bien que je suis positive au THC H24, meme si je n'en consomme que le soir, et que tous les matins, je suis apte à  embaucher après une nuit de sommeil.

Mais.... je me pose des questions sur les effets de la drogue dans des professions dont le risque est de tout autre nature.

Un exemple ? No problem !

On peut par exemple se poser objectivement la question : la cocaine a-t-elle joué un role dans la crise financière actuelle ?

Je connais beaucoup de traders de divers établissements financiers. Les 3/4 s'en mettent dans le pif à  longueur de journée. ça leur donne de l'énergie, mais aussi du courage, et ce n'est pas anodin. Moi je pense que ce "courage", c'est tout simplement le sentiment de toute puissance que peut procurer la coke. Vous savez, ce sentiment  de pouvoir tout masteriser et tout controler.

Peut-être que je me trompe, mais je suis certaine qu'une grande partie des risques hallucinants que prennent les traders chaque jour est lié au fait qu'ils se sentent tout puissants, et la plupart du temps ça marche. Sauf que la machine s'emballe forcément, et au bout de quelques années à  brasser de l'argent quasi-virtuel, les types perdent toute notion de la valeur concrète de l'argent.

Mais des exemples, je peux vous en donner d'autres. Dites-moi déjà  ce que vous pensez de ça.

(c'est moi, ou j'attaque un peu fort pour un 1er post ? wink)

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357magnum
Psycho sénior
Inscrit le 06 Aug 2009
641 messages

Mistouflette a écrit

On peut par exemple se poser objectivement la question : la cocaine a-t-elle joué un role dans la crise financière actuelle ?

Je connais beaucoup de traders de divers établissements financiers. Les 3/4 s'en mettent dans le pif à  longueur de journée. ça leur donne de l'énergie, mais aussi du courage, et ce n'est pas anodin. Moi je pense que ce "courage", c'est tout simplement le sentiment de toute puissance que peut procurer la coke. Vous savez, ce sentiment  de pouvoir tout masteriser et tout controler.

Peut-être que je me trompe, mais je suis certaine qu'une grande partie des risques hallucinants que prennent les traders chaque jour est lié au fait qu'ils se sentent tout puissants, et la plupart du temps ça marche. Sauf que la machine s'emballe forcément, et au bout de quelques années à  brasser de l'argent quasi-virtuel, les types perdent toute notion de la valeur concrète de l'argent.

Mais des exemples, je peux vous en donner d'autres. Dites-moi déjà  ce que vous pensez de ça.

Ce que j'en pense perso , c'est que ça m'étonne pas du tout , comme j'ai confessé plus haut , si j'avais mis les 2 pieds ds la marron , c'étais pour supporter une certaine charge de travail , j'en ai même eu un zona a cause de cela , et vis a vis de mon taff , j'ai " trop besoin " de ma subsitution , comme si j'avais toujour besoin d'un opiacé pour être performant . De la , dire que la consommation de drogue ça a contribuer a la
crise financière ; soit les traders ont fait leurs travail ( mal fait parce qu'ils ont été poussés ) et le qu'ils ont consommer de la CC n'a fait que d'accélérer le processus , soit la crise est arrivée a cause des capitaux " polluer " par les " surprimes " et les crédits revolving immobilier aux USA ; et donc les traders y sont pour rien et il servent de boucs émissaires pour ne pas que l'opinion public s'attaque aux banques .


Tout ce qui provoque une montée , doit redescendre . Human trafic

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Mistouflette
Nouveau membre
Inscrit le 08 Oct 2009
6 messages

357magnum a écrit

Ce que j'en pense perso , c'est que ça m'étonne pas du tout , comme j'ai confessé plus haut , si j'avais mis les 2 pieds ds la marron , c'étais pour supporter une certaine charge de travail , j'en ai même eu un zona a cause de cela , et vis a vis de mon taff , j'ai " trop besoin " de ma subsitution , comme si j'avais toujour besoin d'un opiacé pour être performant . De la , dire que la consommation de drogue ça a contribuer a la
crise financière ; soit les traders ont fait leurs travail ( mal fait parce qu'ils ont été poussés ) et le qu'ils ont consommer de la CC n'a fait que d'accélérer le processus , soit la crise est arrivée a cause des capitaux " polluer " par les " surprimes " et les crédits revolving immobilier aux USA ; et donc les traders y sont pour rien et il servent de boucs émissaires pour ne pas que l'opinion public s'attaque aux banques .

Ben les traders, c'est les banques, non ? Mis à  part Kerviel, sur lequel sa direction s'est défaussée, les banques assument plutôt bien de pousser leurs traders.

Je sais que ce que je dis plus haut n'explique pas la crise financière. Je dis juste que ça a certainement joué un rôle. Vu le nombre de consommateurs en salle des marché, et considérant objectivement les effets de la coke, je crois vraiment qu'un trader poudré prend des risques plus importants et plus souvent qu'un trader non poudré. Mais c'est clair que cette crise aurait éclaté tôt ou tard.

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357magnum
Psycho sénior
Inscrit le 06 Aug 2009
641 messages
Les traders travail pour les banques , et ce sont les banques qui mettent la pression sur leurs traders . Mais les boucs émissaires sont bien les traders , CC ou pas :)

Tout ce qui provoque une montée , doit redescendre . Human trafic

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Gilac
RIP
Inscrit le 07 Mar 2008
585 messages
Très cohérent, ce post de Mistouflette.
Y apas que les traders. La même chose sur les plate forme pétrolières où les mecs sont obligés de se doper aux amphetes pour assurer 12 à  15 h de boulot non stop chaque jour durant des mois sans jamais de vacances. Idem pour certaines opérations commando en Irak, Afghanistan, Viet Nam , 2eme guerre mondiale....
Le sentiment de toute puissance que peuvent donner les stimulants peut jouer un rôle important dans certains drames....
Je n'oserais pas dire que l'abus de coke est la cause de la crise... peut-être ça et là  de quelques emballements.... (mais les marchés financiers sont des univers que je ne connais pas... C'est juste une opinion de café de comptoir .
Dans les années 80 par contre, l'investissement massif des colombiens (qui avaient plein de fric à  blanchir)  dans l'immobilier de bureau parisien a créé une bulle artificielle ...qui a contribué à  une inflation de ce marché... d'où d'ailleurs la création de TRACFIN par Mitterrand.... mais ce sont surtout les pifs américains qui en sont la cause...
Mais comme le dit si justement Anne Roumanoff chez Michel Drucker: "On ne nous dit pas tout"

Dernière modification par Gilac (29 mars 2010 à  23:56)


"Tu peux t'abstenir des souffrances du monde, Tu es libre de le faire et cela répond à  ta nature: mais cette abstention est peut-être précisément la seule souffrance que tu puisses éviter"  Franz Kafka

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