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sofie a écrit
la derniere fois que je l'ai vu il m'a dit tout va bien ce con
il est parti en vacances le lendemain sans remplaçant [...] et il a meme pas voulu que je lui donne mes boites de sub que je lui donnais comme preuve de bonne volonté...
bighorsse a écrit
le psy n'a pas voulu des boites de sub ? logique il ne pouvait pas faire cela!
@Big : si il pouvait (il aurait pu) les reprendre...
et @sofie : donc oui, il pouvait les reprendre mais était-ce bien nécessaire ???? (4 points d'interrogation ne sont pas de trop...) Inutile à mon sens de le traiter de "con" (je cite), ça ne fera pas avancer le machin-bidule qui TE concerne. Il est parti en vacances, la belle affaire... Et il t'a dit que "tout allait bien" : tu n'aurais pas envie de le croire tout simplement par hasard ? Ca ne simplifierait peut-être pas les choses, par hasard ? Il faut savoir relativiser, je pense, à certains moments. Je ne dis pas que la prise en charge à ce moment précis en ce qui TE concerne fut la meilleure possible, mais je parle en termes de généralité(s).
Un jour, "ma" psy (connaissant "tout de moi", pathologies incluses) m'a dit, "mais Alain, vous n'êtes PAS malade"... Suivi d'un long silence réciproque et d'un échange de regards pesants... La situation n'était pas complexe, je l'avais longuement enrichie, mûrie, alimentée (petite rancoeur "contre le monde entier" qui cogite sournoisement) et ce jour-là , je n'étais pas disposé à ... Elle, pour une fois, car c'est, c'était loin d'être dans ses prérogatives ou dans ses obligations, a mis le doigt là où ça fait un tout petit peu mal. Elle n'a pas eu tord... Mais ce n'est qu'expérience et vécu personnels. Si cela peut aider...
Le ou la psy(chiatre) n'a pas à faire confiance particulièrement (sauf envers la prise de ses prescriptions). La confiance vient (doit venir ?) de son interlocuteur (trice). Je sais, on peut m'accuser (terme impropre peut-être) de "défendre" trop souvent les praticiens. Cela vient sans doute de mes relations ou plutôt de mon vécu avec ceux qui ont travaillé pour moi. Je n'ai jamais su saisir les outils de travail dont certains parlent. Du moins je n'ai pas assimilé la chose comme étant des outils de travail, de prime abord. Les choses se sont faites naturellement. Sans transfert affectif, avec énormément de confiance de ma part ; je dirais presque un "total abandon". Chose que je n'avais pas réussi durant plusieurs années avec d'autres. Une seule aura suffit à me faire "capter" (parfois j'ai envie de dire "abdiquer sans contrainte aucune", ni aspect péjoratif). C'est bien dur et difficile à exprimer et je pense que chacun d'entre-nous réagit différemment donc je ne jetterais pas la pierre à qui que ce soit. Je souhaitais juste apporter un fragment de témoignage personnel...
Et je ne parle pas de la psychologue consultée entre-deux and (registre différent).
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