Bonjour à tous,
Il y'a plusieurs mois, un psy a prescrit du
lorazepam à une amie, pour l'aider à gérer évidemment anxiété xxl,
crise de panique, etc
Dernièrement le prescripteur a décidé qu'il était temps de passer au
sevrageDans l'entourage, nous essayons de soutenir notre amie dans cette démarche
ok idéalement, il *faudrait* bien un jour qu'elle puisse s'en passer
Si ce n'est que, sont tout de meme bien particuliers
1/le timing, vu son niveau d'angoisse qui monte et remonte depuis plusieurs semaines;
et depuis bien avant l'histoire d'initier un
sevrage2/ le niveau de réduction du dosage, qui nous semble plutôt raide
Nous n'y connaissons pas grand chose dans toutes ses pratiques
En revanche, c'est vraiment difficile pour nous, d’être aussi impuissants et de la voir morfler,
avec des effets que le prescripteur s'est bien gardé d'évoquer
Et meme d'entendre ou de prendre en compte lorsque nous l'avons contacté au tél pour recueillir ses conseils
Vu la tournure singulièrement déconnectée de notre échange, je le résumerai par une formule aussi abrupte que le personnage:
"rien à foutre"
Auriez vous quelques recommandations/conseils pratico pratiques pour apporter un minimum de CONFORT dans cette épreuve de
sevrage?
J'en profite pour solliciter vos expériences respectives avec la spécialité du prescripteur: tous les psychiatres sont aussi 'particuliers'??
Merci pour votre attention