#1
- Bootspoppers
Adhérent
- 18 août 2016 à 00:23
Bonsoir à toutes et tous. Voilà ma méthode de RDR pour respirer le poppers. Ne sachant où cela peut être classé, je l'ai posté dans "Vaporisation".
Il y a n méthodes , mais j'en présente ici deux qui sont basées sur ... le coton tige. Les voici, du plus risqué au moins risqué. Je rappellerai les deux méthodes classiques, en conclusion.
1- La première méthode très risquée est avec masque à gaz:
ballon de respiration ( qu'on peut trouver sur internet pour 20 euros, mais un ballon de baudruche fait l'affaire, magasin de jouet pour enfants).
tuyau pour relier le ballon au masque (sur ebay ou dans une sex shop gay, autre modèle moins cher dans un magasin de bricolage, rayon plomberie, compter 5 euros du mètre pour un diamètre 1 cm)
masque à gaz de type russe par exemple (photo) relié au tuyau, dont les autres ouvertures sont bouchées avec du scotch (en bleu sur la photo) (sur ebay ou dans une sex shop gay).
coton tige.
petite fiole de poppers (sex shop).
Je trempe le coton tige dans la fiole, referme la fiole, et place le coton tige dans le ballon. Puis on met le tuyau branché au masque et on expire puis inspire deux ou trois fais en gonflant le ballon avec notre propre gaz carbonique d’expiration. Le trip est renforcé par le gaz carbonique ré inspiré.
Attention!
CETTE METHODE (assez SM) EST DANGEREUSE: risque d'asphyxie (mort)
ou d'angoisse. Il faut se limiter à deux ou trois respirations (compter) et enlever le masque aussitôt. Il est indispensable selon moi de ne pas être seul avec cette méthode, pour qu’en cas de syncope, se faire enlever le masque. Donc il faut un sitter. Il faut également bien maitriser sa respiration ( perso, je fais 6h de yoga par semaine et j'ai une grosse capacité pulmonaire). Avantage: on travaille avec une très petite quantité de poppers (lequel est un toxique), ce qui permet d'éviter les OD.
2- Voici la deuxième méthode sans masque à gaz, beaucoup plus safe et plus abordable:
ballon de respiration ou ballon de baudruche
tuyau pour mieux mettre en bouche (facultatif)
écouteurs pour musique (ce que ne permet pas le masque à gaz de type russe !)
coton tige
petite fiole de poppers.
Comme ci dessus, le coton tige imbibé est mis dans le ballon. On met le tuyau sur le ballon et on met en bouche l’extrémité du tuyau. Si on n'a pas de tuyau, on met en bouche l’ouverture du ballon, mais c'est moins confortable: je préfère sucer un tuyau que de maintenir un ballon en bouche. On inspire un grand coup par le nez . Puis on expire par la bouche pour gonfler le ballon et vaporiser le poppers avec la température de notre corps. On inspire et on recommence deux ou trois fois jusqu'au début du trip. Le CO2 expiré potentialise le poppers. Avantage: en cas de pépin, on peut respirer par le nez, et si on perd pied et que le tuyau est lâché, on peut respirer par la bouche. On n'est pas emprisonné dans le masque à gaz. C'est beaucoup plus rassurant. Et on inspire par la bouche, ce qui protège les muqueuses du nez qui sont plus sensibles.
C'est, parmi les méthodes à risque, la méthode la plus safe à mes yeux. Et avec elle, on peut écouter de la musique
.
Remarques complémentaires avec deux autres méthodes:[/b]
3- Voici une 3e méthode de débutant, dégueulasse et dangereuse aussi:
Pour ma part, je ne l'utilise plus jamais. Il s'agit d'imbiber le popers dans du coton ou du sopalin pour le respirer . Là c'est le Bad trip assuré
, avec brulure des muqueuses à la longue et accoutumance accélérée.
4- Je précise que la méthode la plus safe de toutes est celle qui consiste à ouvrir la fiole dans un coin de la pièce et à la laisser s'évaporer, à bonne distance.
Pour celles & ceux qui ont de l'odorat et l'habitude du produit, il y a au moins un effet placebo quand on sent l’arôme. Et aucun risque d'OD ni d'asphyxie. Mais il faut vraiment une habitude du produit pour en reproduire mentalement les effets.
Conclusion ? Le poppers doit se déguster subtilement
par toutes petites doses!!!! Sinon c'est l'intoxication, laquelle ne donne aucun plaisir en supplément. Le coton tige est un bon compromis pour doser au minimum.
Il y a n méthodes , mais j'en présente ici deux qui sont basées sur ... le coton tige. Les voici, du plus risqué au moins risqué. Je rappellerai les deux méthodes classiques, en conclusion.
1- La première méthode très risquée est avec masque à gaz:
ballon de respiration ( qu'on peut trouver sur internet pour 20 euros, mais un ballon de baudruche fait l'affaire, magasin de jouet pour enfants).
tuyau pour relier le ballon au masque (sur ebay ou dans une sex shop gay, autre modèle moins cher dans un magasin de bricolage, rayon plomberie, compter 5 euros du mètre pour un diamètre 1 cm)
masque à gaz de type russe par exemple (photo) relié au tuyau, dont les autres ouvertures sont bouchées avec du scotch (en bleu sur la photo) (sur ebay ou dans une sex shop gay).
coton tige.
petite fiole de poppers (sex shop).
Je trempe le coton tige dans la fiole, referme la fiole, et place le coton tige dans le ballon. Puis on met le tuyau branché au masque et on expire puis inspire deux ou trois fais en gonflant le ballon avec notre propre gaz carbonique d’expiration. Le trip est renforcé par le gaz carbonique ré inspiré.
Attention!
CETTE METHODE (assez SM) EST DANGEREUSE: risque d'asphyxie (mort)
ou d'angoisse. Il faut se limiter à deux ou trois respirations (compter) et enlever le masque aussitôt. Il est indispensable selon moi de ne pas être seul avec cette méthode, pour qu’en cas de syncope, se faire enlever le masque. Donc il faut un sitter. Il faut également bien maitriser sa respiration ( perso, je fais 6h de yoga par semaine et j'ai une grosse capacité pulmonaire). Avantage: on travaille avec une très petite quantité de poppers (lequel est un toxique), ce qui permet d'éviter les OD. 2- Voici la deuxième méthode sans masque à gaz, beaucoup plus safe et plus abordable:
ballon de respiration ou ballon de baudruche
tuyau pour mieux mettre en bouche (facultatif)
écouteurs pour musique (ce que ne permet pas le masque à gaz de type russe !)
coton tige
petite fiole de poppers.
Comme ci dessus, le coton tige imbibé est mis dans le ballon. On met le tuyau sur le ballon et on met en bouche l’extrémité du tuyau. Si on n'a pas de tuyau, on met en bouche l’ouverture du ballon, mais c'est moins confortable: je préfère sucer un tuyau que de maintenir un ballon en bouche. On inspire un grand coup par le nez . Puis on expire par la bouche pour gonfler le ballon et vaporiser le poppers avec la température de notre corps. On inspire et on recommence deux ou trois fois jusqu'au début du trip. Le CO2 expiré potentialise le poppers. Avantage: en cas de pépin, on peut respirer par le nez, et si on perd pied et que le tuyau est lâché, on peut respirer par la bouche. On n'est pas emprisonné dans le masque à gaz. C'est beaucoup plus rassurant. Et on inspire par la bouche, ce qui protège les muqueuses du nez qui sont plus sensibles.
C'est, parmi les méthodes à risque, la méthode la plus safe à mes yeux. Et avec elle, on peut écouter de la musique
. Remarques complémentaires avec deux autres méthodes:[/b]
3- Voici une 3e méthode de débutant, dégueulasse et dangereuse aussi:
Pour ma part, je ne l'utilise plus jamais. Il s'agit d'imbiber le popers dans du coton ou du sopalin pour le respirer . Là c'est le Bad trip assuré
, avec brulure des muqueuses à la longue et accoutumance accélérée. 4- Je précise que la méthode la plus safe de toutes est celle qui consiste à ouvrir la fiole dans un coin de la pièce et à la laisser s'évaporer, à bonne distance.
Pour celles & ceux qui ont de l'odorat et l'habitude du produit, il y a au moins un effet placebo quand on sent l’arôme. Et aucun risque d'OD ni d'asphyxie. Mais il faut vraiment une habitude du produit pour en reproduire mentalement les effets. Conclusion ? Le poppers doit se déguster subtilement
par toutes petites doses!!!! Sinon c'est l'intoxication, laquelle ne donne aucun plaisir en supplément. Le coton tige est un bon compromis pour doser au minimum.
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#2
- pierre
Web-Administrateur - 18 août 2016 à 17:23
Merci pour ses différentes manieres de consommer le Poppers. J'en apprends tous les jours.
Pour les deux premières méthode, c'est plutot en contexte sexuel ?
Pour les deux premières méthode, c'est plutot en contexte sexuel ?
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#3
- Bootspoppers
Adhérent - 19 août 2016 à 05:02
Bonjour Pierre. Oui, pour moi le poppers n'a d'intérêt que dans un contexte sexuel.
Le flash du poppers est immédiat quand il est inhalé. Ça se passe dans la minute qui suit. Et ça dure très peu de temps. Pas plus d'une minute. Mais ça peut se piloter psychologiquement. On peut mieux maîtriser le processus avec l'expérience. En effet, la tolérance est construite très vite. Le flash n'est donc pas répétitif. Le poppers n'a donc pas grand intérêt en soi.
En revanche, il décuple le plaisir sexuel.
Pour ma part, je n'expérimente le poppers que dans un contexte de pratiques anales. Je ne sais comment décrire le phénomène. L'ivresse du poppers, la chaleur qui monte aux joues, le cœur qui bat légèrement plus vite, la vue qui se trouble très légèrement, s'accompagnent d'une relaxation du bas-ventre. Le rectum se décontracte et s'assouplit, probablement la prostate est plus facile à stimuler. Quant à la bouche de l'anus elle-même, elle devient hypersensible. Bref, la stimulation anale sous poppers procure facilement un orgasme inédit.
Hier, bien stimulé, en gérant au mieux ma tolérance, avec une consommation limitée à un coton-tige imbibé, à 3 reprises, j'ai réussi à avoir 3 rushes de poppers et 3 orgasmes en une demi heure. J'ai bien géré l'inhalation par la bouche en suçant le tuyau, en la combinant avec la respiration par le nez pour avoir de l'air frais. En l'occurrence, je l'ai fait seul, comme toujours d'ailleurs. J'ai consommé extrêmement peu de produit.
J'ai d'ailleurs comparé 2 molécules différentes. L'une ne m'a rien fait, l'autre en revanche m'a permis les 3 rushes. Mais tout ça est très personnel, est très variable, je ne crois pas que ce soit intéressant d'indiquer les marques des produits j'ai utilisés. Il est d'ailleurs très difficile de savoir quelle est la molécule qui correspond à chaque marque, ça n'est même pas écrit sur les fioles…On devrait rendre obligatoire la publication de la composition chimique des poppers qui sont distribués légalement.
Je ne comprends pas vraiment l'intérêt de prendre du poppers en dehors de ce contexte sexuel. Les autres produits durent beaucoup plus longtemps et permettent des défonces, des perches ou des trips sans comparaison. Je pense en particulier au DXM. Par ailleurs, il ne faut pas négliger les aspects négatifs du poppers : l'accoutumance, la dépendance psychologique, la toxicité du produit. Donc l'usage du poppers doit à mon avis être restreint. Certains "psychoactifs"sur le site racontent qu'ils s'amusaient en classe avec du poppers. Je trouve ça un peu dommage… c'est un peu du gaspillage. Le poppers n'est pas du gaz hilarant…Il y a trop d'aspects négatifs liés au poppers pour l'utiliser de façon peu efficace.
Le flash du poppers est immédiat quand il est inhalé. Ça se passe dans la minute qui suit. Et ça dure très peu de temps. Pas plus d'une minute. Mais ça peut se piloter psychologiquement. On peut mieux maîtriser le processus avec l'expérience. En effet, la tolérance est construite très vite. Le flash n'est donc pas répétitif. Le poppers n'a donc pas grand intérêt en soi.
En revanche, il décuple le plaisir sexuel.
Pour ma part, je n'expérimente le poppers que dans un contexte de pratiques anales. Je ne sais comment décrire le phénomène. L'ivresse du poppers, la chaleur qui monte aux joues, le cœur qui bat légèrement plus vite, la vue qui se trouble très légèrement, s'accompagnent d'une relaxation du bas-ventre. Le rectum se décontracte et s'assouplit, probablement la prostate est plus facile à stimuler. Quant à la bouche de l'anus elle-même, elle devient hypersensible. Bref, la stimulation anale sous poppers procure facilement un orgasme inédit.
Hier, bien stimulé, en gérant au mieux ma tolérance, avec une consommation limitée à un coton-tige imbibé, à 3 reprises, j'ai réussi à avoir 3 rushes de poppers et 3 orgasmes en une demi heure. J'ai bien géré l'inhalation par la bouche en suçant le tuyau, en la combinant avec la respiration par le nez pour avoir de l'air frais. En l'occurrence, je l'ai fait seul, comme toujours d'ailleurs. J'ai consommé extrêmement peu de produit.
J'ai d'ailleurs comparé 2 molécules différentes. L'une ne m'a rien fait, l'autre en revanche m'a permis les 3 rushes. Mais tout ça est très personnel, est très variable, je ne crois pas que ce soit intéressant d'indiquer les marques des produits j'ai utilisés. Il est d'ailleurs très difficile de savoir quelle est la molécule qui correspond à chaque marque, ça n'est même pas écrit sur les fioles…On devrait rendre obligatoire la publication de la composition chimique des poppers qui sont distribués légalement.
Je ne comprends pas vraiment l'intérêt de prendre du poppers en dehors de ce contexte sexuel. Les autres produits durent beaucoup plus longtemps et permettent des défonces, des perches ou des trips sans comparaison. Je pense en particulier au DXM. Par ailleurs, il ne faut pas négliger les aspects négatifs du poppers : l'accoutumance, la dépendance psychologique, la toxicité du produit. Donc l'usage du poppers doit à mon avis être restreint. Certains "psychoactifs"sur le site racontent qu'ils s'amusaient en classe avec du poppers. Je trouve ça un peu dommage… c'est un peu du gaspillage. Le poppers n'est pas du gaz hilarant…Il y a trop d'aspects négatifs liés au poppers pour l'utiliser de façon peu efficace.
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#4
- Bootspoppers
Adhérent - 20 août 2016 à 23:25
Salut Yog-Sothoth ! alors je t'explique mon analyse. Je suis froussard et je n'aime pas être malade. C'est pourquoi je déteste :
- avoir mal aux narines, comme si je m'étais brulé à une bougie,
- avoir mal à la tête, comme après une cuite,
- avoir des mouches dans les yeux, comme si j'allais... crever.
Si je me baffre de poppers au goulot, je suis certain des inconvénients ci dessus. Et je ne suis pas certain de la "jouissance" des effets espérés:
- le cœur qui bat comme à un amoureux,
- la chaleur qui monte aux joues comme à une jeune fille qui rougit,
- puis une immense détente dans le bas-ventre comme à une nuit de noce réussie.
Donc, ça ne vaut pas le coup d'abuser ! d’où l'usine à gaz (je suis ingénieur, j'aime ça!) pour prendre le moins de risque. Je contrôle la dose avec la "technologie" pour m’arrêter au tout début des effets positifs
, ou arrêter les frais si je ne sens rien 
.
Impossible de gérer ça si je sniffe au goulot. Au début, je sniffais au goulot ou prenais un tampon imbibé près des narines: ça m'était arrivé d’être tellement défoncé que je devais ramper jusque à une fenêtre pour avoir de l'air. Zéro plaisir avec ça, c’est juste dégueulasse.
Ça ne m'arrive plus jamais.
Et un subtil plateau 1 en DXM, c'est bien meilleur et beaucoup plus long (mais pas un plateau 2, attention).
Pour être complet, j'essaie de limiter mes prises de poppers à une fréquence d'une fois toutes les trois semaines (mais je n'y arrive pas, je suis assez addict). J'alterne les molécules pour essayer d'abaisser la tolérance.
Mais j'adore ça quand même.
- avoir mal aux narines, comme si je m'étais brulé à une bougie,
- avoir mal à la tête, comme après une cuite,
- avoir des mouches dans les yeux, comme si j'allais... crever.
Si je me baffre de poppers au goulot, je suis certain des inconvénients ci dessus
. Et je ne suis pas certain de la "jouissance" des effets espérés:- le cœur qui bat comme à un amoureux,
- la chaleur qui monte aux joues comme à une jeune fille qui rougit,
- puis une immense détente dans le bas-ventre comme à une nuit de noce réussie.
Donc, ça ne vaut pas le coup d'abuser ! d’où l'usine à gaz (je suis ingénieur, j'aime ça!) pour prendre le moins de risque. Je contrôle la dose avec la "technologie" pour m’arrêter au tout début des effets positifs
, ou arrêter les frais si je ne sens rien . Impossible de gérer ça si je sniffe au goulot. Au début, je sniffais au goulot ou prenais un tampon imbibé près des narines: ça m'était arrivé d’être tellement défoncé que je devais ramper jusque à une fenêtre pour avoir de l'air. Zéro plaisir avec ça, c’est juste dégueulasse.
Ça ne m'arrive plus jamais. Et un subtil plateau 1 en DXM, c'est bien meilleur et beaucoup plus long (mais pas un plateau 2, attention).
Pour être complet, j'essaie de limiter mes prises de poppers à une fréquence d'une fois toutes les trois semaines (mais je n'y arrive pas, je suis assez addict). J'alterne les molécules pour essayer d'abaisser la tolérance.
Mais j'adore ça quand même.
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#5
- Bootspoppers
Adhérent - 24 août 2016 à 01:03
salut Yog-Sothoth
Hier je me suis bricolé un système pour mélanger le poppers ( en coton tige) et le N2O. Vous aurez bientôt droit à la photo, c'est assez visuel. Pour le parangonnage, j’avais Amsterdam et Rush Ultra strong. Amsterdam, ok mais .... rien par rapport à N2O plus Rush Ultra Strong: j'étais déjà assis en tailleur, mais une seule bouffée, ça m'a fait un choc
qui m'a littéralement foutu par terre ... quel pied!
Hier je me suis bricolé un système pour mélanger le poppers ( en coton tige) et le N2O. Vous aurez bientôt droit à la photo, c'est assez visuel. Pour le parangonnage, j’avais Amsterdam et Rush Ultra strong. Amsterdam, ok mais .... rien par rapport à N2O plus Rush Ultra Strong: j'étais déjà assis en tailleur, mais une seule bouffée, ça m'a fait un choc
qui m'a littéralement foutu par terre ... quel pied! Tu as mal à la tête quelle que soit la formule que tu utilises ?
Eh j'ai eu souvent mal à la tête, je déteste ça. Avec la réduction des doses, je n'ai plus mal. Parfois un peul mal à la gorge.. Mais faire des corrélations, c'est vachement dur.
En fait je n'arrive pas à lire les formules, bien que myope. Ca ne figure même pas sur la plupart des bouteilles. Comment tu fais, toi, pour connaitre les formules ?
Le gars dans la sex shop m'a écrit la formule supposée sur le ticket de caisse: Amsterdam rouge et RUSH ULTRA STRONG: nitrite pentyl. Deux fois la même formule (s'il ne s'est pas trompé) et pas du tout le même effet..
Pour les mouches dans les yeux, je connais aussi. Et tu dis que cette méthode d'inhalation réduit les mouches volantes ? Il faudra que j'essaie alors, parce que c'est vrai que c'est un problème que j'ai.
C'est sur que moins tu en prends, moins tu cours le risque.
As tu essayé de mettre une goutte avec une pipette directement dans le ballon ? ça permettrait de se passer du coton !
Tu trouves que la pipette c'est plus facile à trouver que le coton tige? je ne suis pas convaincu. Je trempe le coton tige avec délicatesse et le jette dans le ballon vide. C'est vraiment facile comme geste.
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