c'est une molécule tout à fait spéciale, qui se trouve être MA molécule (j'entends par là que je la connais extrêmement bien , et je ME connais extrêmement bien sous
codéine)
je comprend ce que tu veux dire par "ya pas de
descente" , mais si je peux me permettre (j'ajoute un smiley gentil car à l'écrit jpeux avoir l'air sèche :)
je suis de ceux qui pensent qu'il faudrait pas cliver le truc "les
descentes c'est que pour les peutris, les
taz et les
champis et kéta" "dès qu'on parle d'
opiacés on dit manque , pas
descente"
je trouve que si , quand on est novice aux
opiacés , ça fait effet
descente. Pour la vieille berline qui a des km au compteur opiacé que je suis, il me semble évident que moi, bah oui quand "ça s'estompe" je peux dire que je "commence à être en manque" , mais je pense pour autant qu'on peut vivre ça comme une
descente qd c'est très ponctuel , comme le cas de Boots.
de même, je me suis souvent pris la tête avec des gens qui étaient pourtant des spécialistes intervenant dans la
Rdr et qui me soutenaient que la
coke, ya pas de manque physique (??) ca n'agit que sur le cerveau, donc c'est déprime, tristesse,
craving, et les usagers appellent ça manque mais le terme n'est pas bon
hé ben, pour avoir vécu jadis en couple avec deux grands cocaïnomanes, je peux affirmer le contraire. il y a bel et bien un manque à la
coke.
quand la personne a des symptômes qu'il ou elle connaît par cœur, qui lui sont propres, et qui durent 10 jours voire plus après la dernière prise (IV de
coke ou
coke basée) j'appelle ça de l'accroche physique et j'appelle ça du manque.
j'ai fait un h.s , vous m'en voyez désolée, mais je trouve qu'on catégorise parfois un peu vite.
bises à tousses
M.