je ne connais pas les deux medoc dont tu parles mais vais me renseigner un peu!Par contre quand j'etais suivis par la psy,ils m'ont fait bouffer des cachets divers et varier avec ma metha et serieusement,il ya des cachets qui font vraiment des trucs chelous,j'ai perso failli crever d'une espece de crise de chez pas trop quoi avec un seul medoc et ma metha,parfois juste des symptomes desagreables.......
En tout cas fau pas prendre les interactiuons a la legere et se renseigner du mieux qu'on peut sur nos traitements!
Pour le rivotril qui est un benzo il ya juste: Avec la
buprénorphine utilisée en traitement de
substitution : risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale.Evaluer attentivement le rapport bénéfice/risque de cette association. Informer le patient de la nécessité de respecter les doses prescrites.
Pour le
laroxyl qui est un antidepresseur aucune interaction connus avec metha ou sub!
Par contre le
laroxyl,les effet secondaires font peur.........
a ma connaissance mis a part le risque d'une surdose et mourir ettoufer ,les benzo sont en principe bien tolerer avec la metha ou le sub!
Peut etre chercher du coté du
laroxyl ou bien
laroxyl plus rivotril?
Moi j'ai eu pratiquement a chaque fois ce qu'ils appellent effets secondaire quand j'ai pris ces genres de medoc,et le
laroxyl,ils vont jusqu'au suicide,ca prette a reflechir!
effets secondaires
laroxyl:
Liés aux effets périphériques de la molécule :
Ils sont habituellement bénins et cèdent le plus souvent à la poursuite du traitement ou à une réduction de la posologie :
effet anticholinergique (par ordre de fréquence décroissante) : sécheresse de la bouche, constipation, troubles de l'accommodation, tachycardie, sueurs, troubles de la miction et éventuellement rétention urinaire ;
effet adrénolytique : hypotension orthostatique, impuissance.
Liés aux effets centraux :
fréquemment observés : somnolence ou sédation (effet
antihistaminique), plus marquée en début de traitement ;
beaucoup plus rares : tremblements, crises convulsives sur terrain prédisposé, états confusionnels transitoires,
syndrome sérotoninergique (en association).
Liés à la nature même de la maladie dépressive :
levée de l'inhibition psychomotrice, avec risque suicidaire ;
inversion de l'humeur avec apparition d'épisodes maniaques ;
réactivation d'un délire chez les sujets psychotiques.
Les antidépresseurs imipraminiques peuvent également entraîner :
prise de poids,
troubles de la conduction ou du rythme (avec des doses élevées),
troubles endocriniens : hypertrophie mammaire, galactorrhée,
bouffées de chaleur,
réactions cutanées allergiques,
dysarthrie,
hépatites cytolytiques ou cholestatiques exceptionnelles,
troubles hématologiques : hyperéosinophilie, leucopénie, agranulocytose, thrombopénie,
syncope.
Certains de ces effets indésirables peuvent être prévenus ou combattus par des thérapeutiques adjuvantes ou correctrices, voire une réduction de la posologie.
Dans le cas de l'énurésie, les posologies préconisées sont faibles par rapport à celles utilisées dans la dépression et les effets indésirables sont moins marqués.
En raison de la présence de glycérol dans la solution buvable, risque de troubles digestifs et de diarrhée.
voila en esperant que tu arrives tres vite a trouver d'ou viennent ces mauvais effets et a les eliminer que tu puisse profiter de ta metha le plus vite et le mieux possible!