Zazou, tout d'abord, grazie, parce que tu dégages un enthousiasme qui n'est pas entaché par la carapace de nos inhibitions, nos non-dits, nos
gouts des poncifs aussi neutres que la-Suisse-mon-noeil', pourtant rien de surfait à mon
gout, pas de béatitude en présentiel, juste là pour dissiper le brouillard généré par nos conflits internes et autres malentendus exacerbés derrière nos écrans même plus plus cathodiques (Mascarpone: c'était mieux avant - Le Minitel ? - Avant ! ! - Technicolor ! Kodachrome ! - (...) - ah, on l'a perdu, y a de la neige... cause du décès: nostalgie. RIP. Recycled).
Mascarpone est devenu, malgré lui, acteur de mes productions mentales de scénariste raté - comme Franco !
Si tu vas sur Bastia, n'hésite pas à aller manger chez mon pote François F au Paesanu, face au vieux port, et chez Louis aussi, de la part de Litthérapeute himself (ils connaissent les trucs que j'écris quand je m'ennuie, c'est chouette de se faire liker par le FLNC. Aucun tabou : du moment que le figa dépasse pas du pain, tout va bien !
Si tu en as l'occasion, confie-toi sur tes mésaventures car ils connaissent ce sentiment de marcher à l'ombre, officiellement et officieusement, in extenso recto-verso in et out - comme Gainsbarre.
Je peux pas envoyer de MP, alors je resterais pudique, mais d'un point de vue individuel car loin de moi la faute, le pêché même de te considérer comme une star' même si l'anthropo ça me branche et c'est aussi un peu ma branche, je doute que t'ayant comme beaucoup d'entre-nous fait placardé de temps à autres pour tes choix de vies, ce qui ne peut qu'arriver et ce que personne ne gère mieux qu'autrui car si l'existence démarre de rien, d'une
goutte en l'occurrence, tu sais mon cher Zazou que les histoires de scindent au milieu de quelque chose à partir d'une telle ou telle chose (Zzz...) au gré des ratures, des bombardements, des accidents de voitures et pour ma part, le plus important, quand on m'a dit un jour que je tirais toute la couverture (bon, je sors).
Etre différent en Corse quand cette différence s'applique du reste en s'adaptant bon gré mal gré à nos compulsions ou pas; que l'on déraisonne (ou pas), c'est faire du sur-mesure avec un verre dans le nez quand on n'a pas le compas dedans, et là in situ, ça devient compliqué même pour moi, ça se Corse (lolilol), nef ait ce que je veux dire, c'est qu'admettre tes péchés mignons (moi je suis parfait moi je quoi ? moi jamais ! bref j'ai un boulot), je disais qu'admettre tes pêchés mignons chez-nous c'est encore pire que d'arriver avec tes gros sabots en foutant la vaisselle par terre chez une-mamie-corse, claquer une nappe du PSG (ouh) et préparer la dispersion de tes cendres le lendemain matin au dessus de l'Alta Rocca parce que t'as osé lui claquer en pleine poire avant de te prendre une bast... une maladie foudroyante que le FIADONE, C'EST DE LA MERDE DE COFFE, TIENS, MANGE ÇA, C'EST DU PARIS BREST TIENS PREND CA, TIENS DANS LA GUEULE DU CHAT VLAN VLAN.
Ouais, en fait c'est moins pire que de draguer dans mon village en se déclarant VRP en sels de bains pour
Reve Market (sic).
Ou pas.
En tout cas, la drogue, c'est ce qui m'a fait quitter l'île, mais toi, tu n'as aucune raison de renier ce qui s'impose à toi comme l'évidence de la simplicité, à savoir chercher ton bonheur qui n'a d'égal comme importance au sein de ton coeur que le poids affiché sur la balance électronique... (ACHETÉ POUR DU FIADONE E VERA ?! PAS DU PARIS-BREST!).
Tu es un exemple.
De générosité.
Oh merci c'est quoi ?
Tiens tiens un calumet ! (réponse a: Zazou est ue garçon)
Tiens tiens, un calumet ?! Ca aspire pas.... tu m'fais pas le coup du vibre hein ?! (réponse B: Zazou est une fille).
Allez, une image de carte postale dans mon cartable si j'ai au moins, réussi à rétablir une humeur qui fout le camp en ce moment, comme le dodo, au pire si je t'ai fait sourire.