Salut, j'ai expérimenté un peu la même chose que toi mais chacun a une histoire différente ne l'oublie pas.

J'ai commencé à sniffer en soirée avec mes potes pour durer toute la nuit sans ressentir les effets de l'alcool il y a 7 ans environ.
J'ai toujours été attiré par les amphétamines dû à un tdah qu'on avait pas diagnostiqué avant l'année dernière à la suite de la débandade.

J'ai commencé à taper de plus en plus gros, puis à faire des soirées uniquement pour sniffer.

Ensuite pour mon cas strictement personnel j'ai commencé à l'utiliser dans ma pratique quotidienne pour le boulot pour un burn-out que je n'ai pas vu arriver, c'était mon médicament.
Et c'est à ce moment précis que j'ai identifié la perte de contrôle et le changement des effets que cela procure. Il y a le psychisme d'un côté, le contexte d'un autre mais une multitude d'autres facteurs comme un changement de produit ou de mode d'administration qui rentrent aussi en compte.

Puis la descente aux enfers avec 5 à 6 g par …

Salut, je me permets de répondre parce que je suis bien placé je suis dans la communauté médicale, aux urgences donc en première ligne pour répondre à la demande de patient concernant les douleurs aigu voire malheureusement souvent chronique.
J'ai pas pris le temps de tout lire mais plusieurs points à souligner :
La notion de syndrome méditerranéen bien que absente des livres à bosser pour le concours de 6e année est très récurrent et assumé par la communauté médicale.
Probablement par généralisation mais pas racisme ou autre sectarisme.
Néanmoins je dois avouer que avec mon expérience des urgences les personnes du bassin méditerranéen notamment les femmes une présentation de la douleur particulière bien plus théâtrale que d'autres personnes. C'est probablement une question de culture et non de ressenti ou de intensité.
Mais tout ça comporte plein de biais. La communauté maghrébine est souvent défavorisée, avec un accès restreint à la médecine générale, une absence d'éducation thérapeu …

Salut, je détère ce sujet mais en espérant pour voir en aider certains.
Je suis médecin urgentiste et je connais très bien cette molécule que j'utilise quasi quotidiennmetnt

Lé kétamine est un aneshésique général qu'on prévoir généralement en deuxième intention si un patient à des signes d'alarmes.
Noous l'utiisons bien sur IV mais a biodiponibilité par sniff est plutot bonne.

Concernant les doses : pour de la sédation pure donc perte d conscience et de ventilation spontanée, les doses sont d 2 à 4 mg/k en IV donc.
Cependant la perte de la resporation est plutot tardive est pas certain qu'elle arrive à 2mg/kg

Pour le sédation antalgique simple, ce qu'on veut faire pour planer on est de 'ordre de 0,1 mg/kh à 0,5 mg/Kg. Mais il m'est déja arrivé de pousser 80mh chee un homme de 100 sans problème particulier.


En gros : si IV ne dépasse pas 1 voire 1,5 mg/kg si tu as une tolérance qui s'est installée
Dort en pls au maximum et reste surveillé c'est la base.
Si c'est la surdose tu peux …