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LLoigor a écrit
Exemple pulp fiction , ou vincent viens acheter de la poudre chez un super dealeur de bon produit , dans la scene apres son shoot on peu penser qu'il a prit de l'hero , il a 2 de tension etc.
Et pourtant si on suit le dialogue avec son dealeur , quand il lui décrit les produits il parle de "hartz"(celle qui est une montagne allemande) , ou de "choco" (celle qui est démente) , du mexique je croit , donc deja la on est un peu perdu , parle de coke ? parle d'hero ? de la coke fait en allemagne ? de l'hero fait au mexique ?
Et y a des 10aine et 10aine d'autre films , ou un type est supposé prendre soit de la coke soit de l'hero , mais il joue les effet inverse du produit.
Encore une fois je ne vois pas où il peut y avoir confusion dans Pulp Fiction, il est clairement dit dans le dialogue avec Lance (le dealeur) qu'il achète de l'héroïne (de mémoire: "t'es plus à Amsterdam Vince, la coke ici c'est mort, l'héro reviens très, mais alors *très* fort")
C'est aussi pour cela que Mia fait une OD, elle pensait que c'était de la coke, en taxe une trace et *surprise*, overdose ^^
Et après le shoot quand il comate dans la voiture, je ne le verrais pas réagir comme cela si c'était de la coke
Et la fameuse controverse sur Pulp Fiction à la sortie du film venait du fait que pour la première fois dans un film un héroïnomane était présenté comme "cool", et l'intraveineuse n'était pas représentée comme un acte glauque/malsain.
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Dernière modification par LLoigor (09 juillet 2009 à 10:11)
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Dernière modification par LLoigor (09 juillet 2009 à 20:58)
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"Voici Ulysse sous méthédrine… Et Pénélope ne l´attend plus depuis longtemps. Speed est une errance vers un horizon noir et sang, une odyssée dans le lacis dangereux des ruelles de l´East Village, dans les couloirs du Federal Narcotics Hospital, dans les méandres de l´addiction. C´est une course effrayante mais tendre vers la perte totale de soi, avec rivé au cœur l´espoir de se trouver en se fuyant. C´est surtout l´occasion de saisir à pleines mains un joyau de littérature brute. Ici, rien d´artificiel ni aucune fascination pour l´abîme. Ici, Ulysse se prénomme Billy. Il est le fils perdu de William Burroughs et de l´Amérique violente. Plus rien ne le retient. Il se détache du monde. Il est libre, ou presque. Ne reste que la came et la vitesse. Speed."
(abstract de l'editeur)
Clair que je vais le me le procurer, c'est un des mes rares "livre culte" sur le sujet; UD. Mais qui suis-je pour critiquer "Flash" que j'ai lu avec beaucoup de plaisir pour sa dimension "voyage"? Tout comme j'ai adoré "More" film de barbett Schrodder ( Romeo et Juliette à Ibizza. Mais Juliette prend de la poudre, et ca val mal tourner ...) Film culte? oui Les livres et les films mentionnés ne font pas de proselitisme. On the contrary ILs ont pu choquer en leurs temps. Ont été menacés par la Commisson de Censure. Mon chemin vers l'Heroine ne passe pas ni par "MORE" ni par "Born to Win" ou "Panic à Needle park". Ces films sont justes de balises pour remonter le temps. Je n'y arrive pas toujours mais j'ai passé ma vie à regarger en arrière. "Dont look back", est un conseil que je devrais suivre ... Allez 54321! SPEED le livre -un chef d'oeuvre inclassable
J'ai lu "SPEED" en une nuit defoncé à la methedrine, le livre m'a renvoyé une image très dure, implacable pas glamour du tout du parcours d'un junkye ( speed hero ou coke à la longue c'est tout pareil un paysage morne et les couleurs qui ont viré en N et B). Je l'ai relu clean et ca a été encore plus dur - SPEED ne fait pas cadeau. Un vrai coup de poignard au sens littéraire
Encore tres nouveau sur le forum suis pas mal HS ( hors sujet ou Hors service ou sous Haute securité ou meme s Hyper Speed (mais jj'ai stoppe depuis longtemps - il y a prescription ou admnistie Mais pas dans ma tete. Jamais les cauchemars n'ont cessé.
CLODB
(*) Burroughs est aussi le nom d'un des premiers ordinateurs, de grosses machines pour la gestion en temps irréel.
William B etait le deviant de la famille... et oui
Salut vraiment un livre underground peu pu pas connu ...
ClaudeB soory for the numerous mistakes of typins.
Dernière modification par Alain Will (04 août 2009 à 13:08)
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Jeanne123 a écrit
ben, en restant plus banale je l'admets, j'aurais cité "Moi, Christiane F. 13 ans droguée prostituée", classique mais efficace. je ne sais pas précisement ce que vous recherchez comme littérature, à savoir que ce n'est pas une grande réflexion sur la vie mais la biographie d'une petite allemande qui à eu la malchance de tomber toxico avant l'arrivée de la substitution dans son pays! (on dira ce que l'on voudra de la substitution mais ça nous évite aux moins de faire les putes quand on a plus de came).
des films? ben requiem for a dream, transpotting, que vous avez du tous voir et revoir et revoir... las vegas parano sur un ton plus léger (quoi que)!
à ce propos, j'ai récement apprit que dans "requiem for a dream", c'est de la coke qu'ils prennent et non pas de l'héro comme le laisse entendre l'apellation "came" que l'on a vite fait d'associer à l'héro. ça expliquerait le fait que leurs pupilles se dilatent quand ils se shootent?... n'empêche, c'est surement débile mais je préférais ce film quand je pensais que c'était des petits héroïnomanes....
C'est vrai que c'est un livre qui a été largemment sous estimé à cause de son titre raccoleur "Moi
C X drogue et prostitution" . Je crois egament que beaucoup des lecteurs ne connaissaient pas les liens tenus qui se tissent entre une tres jeune femme accro à L'Heroine et la prostitution .
Pourtant c'etait ( c'est encore) le cas pour beaucoup de filles entrainés par un Gigolo.
Apres il y a 2 cas de figures qui reveiennent au meme resultat
A Le mec fait gouter la drogue à C. en douceur. Bien entendu elle trouve ca genial et ne voit pas le piege. Oui, Le tout peut se faire sans violence physiques : coups, mutilation, viols etc;
- La fille est prise de force, assomée a coup de matraques ou de Nembutal, violée etc. Elle subit une intiation forcée à l'Heroine. Quand elle est accro c'est trop tard: Elle est en manque, elle a honte vis à vis de sa famille de des amis. Elle la boucle. Bien entendu elle n'a plus de papiers. Elle n'a plus que l'heroine et des mecs qu'elle doit s'envoyer à la chaine a Marseilles comme à Pigalle. Pouquoi la station de metro collée à Pigalle s'appelle "Blanche"? aucun rapport avec le poudre mais c'est troublant ....
Dans les années 80 toutes ces jeunes femmes se retrouvaient avec comme cadeau supplementaire le VIH! Quand elles etaient enceintes, le bebe pouvait heriter du virus. Hard times of these early eighties.
De quoi de suicider ..ILs n'y avait pas ou tres peu de structures d'acccueil et certaines ne respectaient pas l'anonymat ( des prostitues toxicomane ) Le VIH n'est pas un delit pour certaines ce fut une malediction. Une condamnation à mort. Meme si en 2009 on le soigne mieux . Des genres meurent encore chaque jour du Sida.
La je suis HS désolé Hors sujet (pas hors service)
Clodb
Dernière modification par clodb168 (13 juillet 2009 à 11:18)
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"Vue kaléidoscopique de l'Amérique depuis un bus conduit sous acide, Acid Test est une invite à un voyage sans retour. En 1964, Tom Wolfe s'embarque avec un groupe de marginaux californiens, les Merry Pranksters, dans leur bus scolaire conduit par Ken Kesey (auteur de Vol au-dessus d'un nid de coucou) et Neal Cassady (héros de Sur la route de Jack Kerouac). Organisation de concerts-happenings (les Acid tests) et consommation de LSD au coeur du voyage, les rencontres avec les Beatles et Tim Leary, confrontations hilarantes avec la police et trips divers se télescopent ensuite dans un joyeux chaos. Chronique empathique et distanciée, Acid Test, à la traduction hasardeuse, donne à revivre la gestation et l'expansion du mode de vie hippie. Né de la rencontre d'un intellectuel mondain et de pionniers de l'aventure intérieure, il éclaire l'Amérique des années soixante depuis un symbole, la culture psychédélique qui culminera à Woodstock. Au fil des pages, voyager dans le bus devient alors plus qu'un plaisir : une urgence, car le talent de conteur socioréaliste de Wolfe fait de la soif d'expériences contagieuse des Pranksters une épreuve initiatique moderne."
et paf un ptit lien : http://jerryroad.over-blog.com/article-16117388-6.html
Dernière modification par supersego (13 juillet 2009 à 14:15)
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"Oh, hippie days ! retrace d´une manière spontanée l´échappée aux Etats-Unis d´un petit banlieusard de 25 ans qui s´ennuie en France. Alain Dister (voir notre rencontre), aujourd´hui rock critique (à Rock n´ folk, notamment, et à L´ Œil), écrivain et photographe, a recopié, remanié ses carnets américains tenus entre 1966 et 1969, ajouté certaines choses, aussi, considérations rétrospectives aussi lyriques qu´intelligentes. Loin d´être un recueil nostalgique de ces années énervées, fécondes, déjantées, où le mouvement hippie naît, croît, et meurt, ce livre replace dans une perspective subjective et finalement très critique une période assez mal connue en dehors des clichés "flower power" qu´on nous sert habituellement. Les hippies, ce n´était pas forcément aussi happy que ça.
En 1966, le jeune Dister commence forcément son périple par la mise en application des principes Beat (Alain Dister est connu aussi pour un petit livre remarquable consacré à la Beat generation), véritable mèche de la contestation 70´s (la révolution hallucinée) avec ses galères attendues, depuis les drive away triomphaux à bord de Pontiac flambant neuves, le joint au bec et la musique à fond (les riches de la côte Ouest avaient l´habitude de faire convoyer leurs voitures gratos en les donnant à conduire à des volontaires pendant 5 000 km, d´est en ouest, ce qui donnait aussi la possibilité à de jeunes gens fauchés de voyager pour pas un rond), jusqu´aux mauvais plans où un routier allumé veut vous violer tranquillement près d´une station essence désaffectée. On a ensuite le droit à la découverte de San Francisco, sa "vibration", son arsenal de drogues et ses free clinics, ses concerts où jouent Procol Harum, Janis Joplin et le Pink Floyd, les grands rassemblements (Human Be-In), avec, sur scène, Jefferson Airplane, et au fond, Allen Ginsberg qui récite des mantras, le front barré des trois lignes de Shiva, et puis toujours, fusant par-dessus, les nouvelles de la guerre du Viêt-nam et les cris de plaisir des filles.
Le folklore, mais aussi des choses beaucoup moins connues, dans une plongée en apnée à travers toutes les tribus déjantées de l´époque, des Hare Krishna aux Merry Pranksters fondateurs des "light shows" et organisateurs des premiers concerts du Grateful Dead, de la soixantaine de "freaks" qui se font appeler la Commune, qui voyagent en bus et ont leur propre groupe de rock, aux mouvements plus radicaux, "white panthers" ou "motherfuckers", qui pratiquent une sorte de rap, proto-punks appelant à l´énergie et à la prise de pouvoir immédiate face à des hippies considérés comme plombés et inactifs. Bref, une immersion à mille à l´heure à travers les remous d´une époque complètement "à l´West" et sa retranscription "témoin" par un type de moins de trente printemps qui vit tout cela sans retenue. Mais ce qu´on retiendra surtout dans ces "hippie days" haletants et sulfureux, c´est le style de Dister, écriture flamboyante et flambée, fluide et colérique, pleine à craquer de métaphores bruyantes et colorées. La volonté de dire les choses avec le cœur, avec le "beat", au rythme des montées, des descentes, des joies mentales et physiques, avec en prime un sacré paquet de douleurs et de retours de bâton, parce que jamais on ne s´est retenu de s´exposer à la vie. Ainsi, on garde, ému, le souvenir de ces petites lettres insérées dans le corps du texte, mises en valeur par l´italique, adressées trente ans après à ces Tara, Millie, Liza, Tess, désirées, peut-être aimées mais toujours brûlées parce que jamais on ne s´attache et qu´être jaloux, à l´époque, était passé de mode."
pour l'aventure, les références culturelles, musicales, un bijoux aussi :)
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Dernière modification par clodb168 (22 juillet 2009 à 19:13)
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Alain Will a écrit
...Je ne sais pas si "Moi, Christiane F. 13 ans droguée, prostituée,..." a été sous-estimé mais il ne raconte pas seulement les liens d'une jeune femme avec l'héroïne et la prostitution.
...
Oui tu as sans doute raison en fait le livre ne m'a pas tellemnt marqué si je m'en souviens aussi mal il faudrait que je le relise.
Ceci etant c'est C. qui demande pour le premier fix .
Moi ausii j'ai demandé pour le premier fix pourtant je ne m'appelle pas Christianne mais Claude ca aurait pu le faire, sauf que je suis de sexe masculin - des details tout ca .
Moi ausii j'ai demandé J'etais dans un groupe ou les filles comme les mecs ne se comportaient pas en "Pusher" ( chanson de Steppen wolf ?) ....pourtant rester dans le groupe impliquait de prendre de l'heroine. Enfin une poudre blanche en IV. Donc a un moment je me suis decide et j'ai fait le grand saut ....dans la Methedrine - c'est kif kif - enfin la premiere fois non . C'est encore mieux que l'heroine le Flash tu discutes 72 heures d'affilée en ecoutant de rock (MC5, des vieux Stones, Flamming grrovies, et biens sur ray davis les KINKS qui avaient fait un super come back debut des annezs 70.
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O demon Alc-ool
lost memories I cant recall
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Et aussi "I took my babe to holloway jail" (superbe melodie tres accoustique)
Pour la place "Blanche" desole je deconnais! mais c'est troublant chanson de B. Lavilliers sur "pigalle la blanche "
Ceci etant je ne savais pas pourquoi elle s'appelait comme ca . Merci à toi - Tu as une bonne memoire et un bon moteur de recherhce.
Merci pour ces infos qui me donnent envie de relire le bouquin - pb je l'ai pas .je n'ai que "'herbe bleue" comme histoire de fille...
Salut et encore merci clodb168
"Le probleme n'etait pas d'y aller ou ne pas y aller.
Le probleme etait de rester en vie le plus longtemps possible
Je lui avait promie. A cet instznt je me rendais compter que cette promesse etait vaine insensée malsaine. Que ca allait me porter malheur. On entendait des bruits d'oiseaux - Etranges. Surnaturels On etait tous tres mal à l'aise ..."
Dernière modification par Alain Will (04 août 2009 à 13:11)
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mikykeupon a écrit
Je reviens comme promis pour raconter un peu plus le livre du Dr P. Bensoussan "qui sont les drogués ?".
Donc se livre souleve des questions sur soie-même, ce qui n'es pas mal. Perso, ça ma permis de me remettre à ecrire, et bme poser les bonnes questions, et trouver certaines réponse que je ne trouvais pas jusqu'içi.
Par exemple, j'ai pu mettre a plat les raison sur pourquoi j'ai commencer à me drogué, et je n'en suis qu'au début, je vais trouver l'illumination.....
Le docteur as interviewé des jeunes consommlateurs, mais aussi une personne en plein trip LSD, ce qui donne aux drogués une véritable place apparentiere.
Désolé pour mon orthographe, et en plus mon ordi ne les corrige pas du tout.
ps : concernant "requiem for a dream", je ne suis pas fan du tout. J'ai un peu trouver que ce film est un plagia assez mal fait de "trainspotting", les acteurs ne sont pas crédible (blond aux yeux bleu, musclé, belle peau, pas de ride, à la limite de la bogossatitude), et l'histoire est tout de même un peu tirer par les cheveux, ils sont allez dans des clichés extremiste que je n'hadère pas trop.
Question culture
Est qu'il s'agit d'un livre recent ou d'un livre qui date de la grande epoque OLLivenstein ?
Dans ce cas ma mere l'a lut. Moi je l'ai feuilleté avec reserve .
Popur les cures de desinto Ben soussan maintenait qu'il fallait que les patients ignorent tout du traitement : si morphine - commbien de piqure pendant combien de temps et à quel dosage
Aprpoche nun peu sadique je trouve ...
Sous metadone a ST anne on ne connaisait pas les doses prises chaque jour et les palliers de desinto si il y en a ....
Je ne sais d'aileurs toujours pas enfin si je connais en gros la dose de Metha que je pourrais prendre ele se trouve en 80 mg et 140 presque du simple au double ...
Salut Clodbi
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mikykeupon a écrit
Le livre "Qui sont les drogués" dates des années 70, au début....
Curieux que ce livre t'ait autant marqué. Je vais te dire à l'epoque entre "speed" ( W burroughs junior) et "Junky" ( le papa) j'evitias ce genre de livre que ma mere achetait: les bouquins D'ollivenstein et de Ben Soussan. Ma mere etait attérée qu'un juif puisse se shooter! Un juif!
non pitié pas ca. Le Bensousan doit encore trainer dans la maison paternelle . Bien sur j'y jetais quand meme un oeil entre "Flash" et "l'herbe bleue" surtout defoncé au melange speed-heroine, A l'epoque il m'avait enervé Ben Sousan : je l'avais trouvé moralisateur, culpabilisant etc.
- Ne rien rien dire au drogué en desinto.
- Ne pas lui indiquer les doses de morphines et l'heure de la piquure en sous cutanée.
Est qu'on parle du meme bouquin ?
Je trouvais l'approche sadique et depourvue de compassion . Mais en 70..75.. 78 qui filait de la morhpine aux Heroinomanes en desinto? Qui?
clodb168
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