@Dantes@ a écrit
C'est des spéculations.
Tu restes complètement HS sur ce topic quand même. Sans rancune !
À +
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Cycle a écrit
Bonjour Filousky,
Est-ce que tu penses qu'une action punitive voire infantilisante comme ce que ce que t'a fait ton ex femme justifie le fait de la quitter ? Je suis sûrement assez naïf ... mais des fois je me dis que les personnes qui nous aiment veulent juste nous protéger même si ils font des actions contre-productives car ils ne savent pas que la stigmatisation produit l'effet inverse sur la conso. J'aimerai connaître ton avis de vieux sage wink je me pose pleins de questions parfois je me dis qu'une conso de cannabis à vie n'est pas possible pourtant tu en es la preuve vivante que si. Aurais-tu 2-3 tips pour respecter les limites que nous nous sommes fixés ?
Merci pour toutes vos réponses et bonne journée à tous !
Et merde, je viens de perdre 1/2 heure de réponse. Je fais plus court.
Concernant le divorce de ma deuxième femme, bien sûr que l' la séquence du pot n'est pas à l'origine de la séparation, mais fait partie d'une période de désamour qui a existé chez moi à chaque couple, au bout de quelques années et surtout après la naissance d'enfants désirés. Je vis à chaque naissance le même phénomène de transfert intégral de mon affection pour la mère sur le bébé qui vient de naître. L'histoire du pot n'est qu'un grain de sable dans un processus de refus de comprendre l'autre menant à une séparation libératrice d'un commun accord.
Pour la consommation à vie de cannabis, je ne peux pas te répondre car je n'ai pas consommé toute ma vie depuis mes 18 ans. Premier joint en 1973 à la Fac de médecine de Créteil, suivi de très n,ombreux joints pendant deux ans. AU bout de deux ans, j'ai commencé à trouver ma consommation de shit me retirait plus qu'elle ne m'apportait et ai stoppé cette consommation. En peu de temps, j'ai découvert la douceur des opioïdes en commençant par la codéine et puis quelque shoots de morphine et enfin les shoots de blanche. De 25 à Trente cinq ans, l'héroïne était ma fidèle copine et le cannabis ne m'intéressait plus du tout. À 35 ans, je fais un sevrage hospitalier du mélange explosif de produits consommés en quantité (codéine, morphine, hréoïone, cocaïne, speed, 6 Tranxène 50 + 7 comprimés jours de Survector (anti-dépresseur qui s'est avéré être un speed puissant) J'en ai chié gravement !
J'ai vécu les 10 années suivantes dans la non consommation de drogues psychotropes avant la redécouverte du cannabis des années 2000. Fréquentant le monde de la musique live, je n'ai pas tardé à tirer sur un joint des herbes nouvelles et à y retrouver un plaisir et un soutient qui commencent à s'émousser au bout de 25 as non stop. MA consommation reste utile et bienfaisante depuis que j'ai diminué drastiquement fréquence et la quantité consommée, ainsi que le retour de variétés moins dosées en THC et bien plus équilibrée en terpènes et autres cannabinoïdes pour obtenir le meilleur effet d'entourage possible J'en ai besoin en tant qu'anxiolytique, déclencheur d'appétit; défatiguant avec trois taffs d'une variété très "narcoleptique" qui me permet de m'endormit très rapidement pour des mini siestes réparatrices. À force de chercher la vie la plus confortable possible, genre "The big Lebowsky", Et puis, une chose qui marche toujours est le changement de couleur de mon humeur qui passe du gris plu s ou moins foncé au rose vif. Le tout est de bien se connaître, de ne plus pratiquer la surenchère pour le"dernier joint" au sein d'un groupe, de ne rien avoir à prouver ou justifier.
Cycle a écrit
Aurais-tu 2-3 tips pour respecter les limites que nous nous sommes fixés ?
Je ne comprends pas bien ce que tu me demandes par cette phrase.
Amicalement
Fil
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alligator724 a écrit
krakra a écrit
Salut. On sait pas dans quel état tu te met. Si tu deviens amorphe que cela modifie beaucoup ton comportement je peux la comprendre.
Peut être quand diminuant le dosage et en passant par la vaporisation (moins odeur) elle fera moins une fixette car ce sera plus discret.
Peut être que c'est le jugement de la société sur la drogue qui lui fait dire que c'est pas normal.
Moi c'est en arrêtant que je me suis aperçu la place que cela prenait dans ma vie
Discute avec elle pour voir ce qui la dérange et ce qu'elle est près a accepté- tous les abus sont mauvais, pas pareil 1 ou 2 pets par jour qu'être raidos toute la journée.
- important de savoir si c'est de l'indica ou de la sativa car avec la sativa, tu t'appartiens encore mais l'indica c'est le blocage sofa.
- les meufs, c'est le syndrome du nid: faut se marier, faut avoir des enfants, fumer de la beuh c'est mal.
- 100 ans de propagande antibeuh avec des propos parfois clairement racistes de type: "they will fool you with jazz and cannabis", je crois que ça date de 1930. le "they" parle des noirs et c'est aux states.
merci non merci pour le HS misogyne, aucun interêt, ces propos n’ont en aucun cas leur place ici !
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Dernière modification par Agartha (Aujourd'hui à 11:26)
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Angelprotector. a écrit
Salut,
Le champi rouge est déjà sous ton post et je vais développer mon cas pour t'expliquer pourquoi il est (à mon sens) mérité.
Je consomme quotidiennement du cannabis depuis 17 ans,
J’ai un TDAH - trouble de l’attention avec hyperactivité et le cannabis fonctionne sur moi parfaitement pour stabiliser mon hyperactivité - je reste plus actif que beaucoup de mes proches et SURTOUT cela me permet d’être beaucoup plus concentré sur les tâches à effectuer. Cela me permet également de prendre un peu de recul sur mon impulsivité, et c’est un bénéfice incroyable pour ma vie personnelle.
Aucune procrastination mais une capacité à mieux me focus.
Tout cela a été débattu avec médecins et psy et résultat il vaut mieux du cannabis pour mon cas que de la ritaline, tout simplement. Ça fonctionne mieux sur le long terme. Evidemment je devrais prioriser l’ingestion à la combustion pour des raisons évidentes de santé.
De plus je souffre de fibromyalgie et la ou les antalgiques classiques - tramadol ou même l’anti dép (le cymbalta) sont peu efficaces (à part pour l’aspect récréatif du tramadol mais c’est un autre débat), le cannabis est la encore d’un sacré soutien pour les douleurs chroniques, encore une fois débattu avec médecins et psy… bref qu’en dis tu de tout cela?
C’est juste un témoignage pour te montrer que ton "savoir" est plein de préjugés qui ne s’appliquent pas à tout le monde.
Tu ne parles qu’en « tu, tu, tu »
Peut être que le cannabis à cet effet sur toi et c’est complètement possible, certains de mes proches ont arrêté car ils ressentaient des effets qu'ils trouvaient peu adaptés dans leur quotidien avec une conso chronique, mais d’autres y trouvent carrément leur compte
Merci de ne parler que de ton expérience personnelle, tout simplement.
Peut-être que l’auteur du post se reconnaîtra dans ce que tu décris, peut-être pas.
On ne fonctionne pas tous pareil et nos besoins sont différents.
C’est valable pour beaucoup de choses dans la vie.
Je suis quasi intolérant au lactose - je le digère très mal, et c’est pas pour autant que je vais généraliser et dire à tout le monde de ne plus manger de fromage, des études qui vont dans mon sens y’en a plein et pourtant ce n’est pas une généralité !!
Désolé du HS sur ce topic… mais quand je lis ça difficile de laisser passer.
Si une femme veut me quitter pour ma conso qui me stabilise depuis aussi longtemps qu’elle parte, si elle souhaite que j’arrête de consommer c’est « non » pour ma part. Quelques soient ses angoisses vis à vis de ça.
Dernière modification par elonnx (Aujourd'hui à 08:58)
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Angelprotector a écrit
De, plus des études suggèrent que le cannabis nuit aux relations sociales. Défoncé tu as moins envie d'aller vers l'autre donc vers elle car tu sais que ton cerveau perçoit les signaux que tu reçois de la réalité différemment donc pas vraiment en phase avec ce que peux vivre une personne sobre par exemple³.
Salut.
Avoir des relations sociales restreintes mais de qualité choisie, n'est-ce pas potentiellement un bien plus qu'une nuisance ? ça se discute, pour le moins.
Tes "études qui suggèrent" devraient, par honnêteté, suggérer qu'une consommation importante de cannabis peut nuire aux relations sociales entre consommateurs et non consommateurs. ça éviterait déjà de classer les consommateurs dans la catégorie de ceux qui se fourvoient. Sinon, on dirait tout autant que ne pas consommer risque de nuire aux relations sociales. Car pour moi par exemple, les asociaux, c'est les autres. Tous ces autres qui seraient probablement moins ceci (avides) ou cela (guerriers) s'ils côtoyaient un peu les psychotropes et particulièrement le cannabis.
Bref, à la lecture de ta signature, je vois que ta vision de la RdR est assez particulière...
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