Recherche dans les commentaires de blogs

Le blog de Pignoufette » Et si seulement » 05 février 2018 à  19:54

hello,

je ne comprends pas bien ce besoin paradoxal de ceux qui se proclament en dehors du troupeau, pas normal, différent de devoir utiliser/inventer de nouveau termes afin de se définir?
Zèbre c'est un HP POlytox ;-)

Nous ne voulons pas de ces cases alors créons en de nouvelles ! Je pense particulièrement à toutes ces question autour du genre qui ont amené à un créer un certain nombre, ou les officialiser un peu plus !
En fait tout le monde aime les ptites cases !

Pourrait t'on pas plutôt se définir en utilisant plus d'un mot ? en mettant des nuances aux adjectifs, en tentant d'approfondir l'analyse en creusant par des échanges ?

Qq part cela me fait penser à 1984 dont un des trait est de gommer les nuances du langage !

voici un extrait du temps qui exprime mieux ma penseé que je ne le sais faire moi même:

"«Ces étiquettes masquent quelque peu le côté sexuel, par un vernis scientifico-moral. Elles ont un côté aseptisé.» Pour la linguiste, ces néologismes répondent au besoin que nous avons de théoriser, de recatégoriser la sexualité, «pour remettre de la sécurité dans un domaine qui se décloisonne. C’est une manière de juguler cet espace de liberté.» Cela peut amener les personnes concernées à «relire leur comportement, à la lumière de l’étiquette proposée. Et tantôt à renforcer l’étiquette en question, tantôt à la revendiquer, tantôt à la rejeter ou à la remplacer par une nouvelle.»"
l'article en entier :
https://www.letemps.ch/societe/dou-viennent-sapiosexuelles-obsedees-qi

Finalement, cela reste très consensuel de penser être au dessus la masse ou "à part" ;)

Mona …

Le blog de IsadoraD » Hier 0.2 » 20 janvier 2018 à  20:28

j'adore ta photo.

Je connais bien ce qu etu racontes, pour l'avoir vécu qq fois et peut-être même un peu plus et comme j'ai le black out facile.....humhum, vois-tu !

Je compatis ô combien à ce malaise du lendemain, qui est exacerbé par le fait qu'on se souvienne pas trop, ou carrément pas du tout, et ne pas savoir se qu'on a vraiment fait. Mais...cela arrive, à bcp de monde.....

Alors après mon conseil de la mort qui tue mais qui est hyyyyyyyyyyyyyper simple...bein c'est, fait preuve à ton égard de l'indulgence ou de l’absence de jugement que tu aurais à l'égard de ton amie qui te raconte la même histoire !

Mets toi bien ce que tu éprouverai à la lecture/entente de ton histoire, mais raconté par autrui, au fond de toi et dis bien et répète bien à ton cerveau que tu n'as aucune raison d'avoir honte, que cela arrive à tout le monde, que c'est pas grave !

et si il t'embête encore(ton cerveau) faut le remballer et remplacer ton sentiment de honte par le sentiment de bienveillance que tu aurais à l'égard de ton amie qui te raconte sa coucherie presque ivre morte du samedi soir ! On peut même en rigoler pour dédramatiser ! …

Le blog de polytox » besoin de vider le trop plein » 03 janvier 2018 à  23:59

ha ha si je disais tout comme toi peut-être que je serai toxique comme toi.....

et 2 reportages pour toi pour l'instant :

https://www.youtube.com/watch?v=-uAWMBTogVU&list=PLsut2SIZdUFz0dXUohhd7W-gFUrC2tKDm&t=1s&index=2

et

https://www.youtube.com/watch?v=70Xg0cclf5Q&list=PLsut2SIZdUFz0dXUohhd7W-gFUrC2tKDm&index=7

Le blog de polytox » besoin de vider le trop plein » 03 janvier 2018 à  00:23

Je vais t'envoyer tous les lien des mon retour à la maison.

Je crois comprendre le goût du désastre lorsque cest tellement bon. Pour ma part lorsqu'il y'a qq chose de particulièrement cool qui se présente où si je me sens étonnamment bien, du coup je crains l'accident, la grosse maladie incurable, comme si ce n était pas possible que cela dure , du coup je retourne assez rapidement à mon état anxieux mélancolique.

On a ainsi un peu l'impression que c'est nous qui maîtrisons.

Pour le dernier point satané correcteur, je disais que j'étais en train de concocter mon droit de réponse à ma soeur qui a dit vouloir clore la discussion après une série de reproches avec lequel je suis pas d'accord et du coup je lui envoie qq trucs, qui il me semble sont tempéré , mais je crains le retour.
Et la sensation que j'ai, c'est comme si une bombe allait exploser, le problème c'est que je sais pas si elle va exploser à côté de moi ou un 100 m. Je sais Je n fais bcp trop, ça sert à rien de se mettre dans des état pareil pour ça, c'est certainement disproportionné.
Moi je peux marcher sur une arrête en montagne, ou me retrouver à 200 m du sol sachet à un relais(je fais de la grimpe ) tandis que d'autre flippé sur une échelle à 3 m du sol. Mais l'affrontement, lorsque il y'a de l'affectif, cela me panique total.

Sinon, rigole pas, enfin si tu peux, mais cest serieux, mais... Tu as des animaux? Si c'est pas le cas, as tu songé à en prendre?

Sinon tu peux lire mon dernier post temesta/alcool ns la section benzo où j'explique ce que tu soulève plus haut.

Tu dis dans ton autre post, que tu es toxique, mais en quoi? Seul ton ex le disait-il tous le monde où c'est l'idée que tu te fais de toi?
Tu as vu bcp de psy, mais si tu es reelement toxique et que tu sais en quoi et que tu veux changer, pourquoi pas faire une thérapie comportemental ?

Oui oui je sais, je suis naïve...candide même ! Enfin sait on jamais, à tout hasard...

Bonne nuit

Mona …

Le blog de polytox » besoin de vider le trop plein » 01 janvier 2018 à  22:27

Quel joli texte.
Tu as bien raison d écrire et de nous faire partager tes pensées retransmise de façon aussi poétique.

Tu decris bien les choses, les états d ame que je peux ressentir, sauf que moi si je commets pas l'irréparable ce n'est pas par altruisme mais par manque de courage et aussi peut être car je reste qq part optimiste et que cela me ferait bien chier de terminer maintenant et savoir qu'en fait il y avait un truc cool pour moi après . D'avoir faut tout ça pour rien.

Je rêve de passion, je sens qq chose qui bouillonne parfois en moi, qq chose qui voudrait jaillir, exploset, mais je n arrive pas a en faire qq chose. Jarrive pas à laisset aller.Est ce que j'en ai peur?cet prêtre juste du fake.
Tu dis avoir vécu passionnément. Cela peut donc revenir ? Pourquoi cela à changer?

Comme me l'as fait remarquer mickikeupon, il m arrive de sourire parfois et il y'a des chose qui me procurent satisfaction. Même si ce n est
jamais aussi intense que mes angoisses ou mal être.

Pourquoi tu dis ce gout du désastre qui m'a jamais quitter et que plus haut où plus bas, tu dis avoir vécu avec passion?
N'est ce pas paradoxale ? J'envisage mal le désastre avec passion. La passion est un sentiment positif? Exaltant?

Tu sais moi aussi je me sens en inadéquation complète avec ce monde, pourtant ici je me sens bien et les gens qui viennent ici font partie de ce monde non?
J'ai peur des gens, peur du rejet.et la c est terrible je suis en confrontation/prise de tête avec la soeur, chose qui n arrive jamais. Cela me met dans une de ces panique. Je suis en train reprendre une lettre et j'ai l'impression que cette lettre c est comme lz déclenchement de la seconde guerre mondiale !



Je crois que qq part, je me complaît dans ce spleen, cela m'apporte presque un certain bien être. Réponse du psy: c est parce que c'est qq chose que tu connais.

Le confort de l'inconfort. Comment dépasser cela! Je sais pas. Mais tu sais il y'a plein de reportage sur la plasticité du cerveau. Si cela ti stresse, je peux te refiler qq liens.

A propos de ce spleen, Kundera à écrit qq chose la dessus, comme certaines cultures cultivent même cela.


Mais presque tout ce que tu décris, je le ressens aussi.

"comme une indicible fatigue, une mélancolie venue des profondeurs de l'être, qui colore le monde alentour d'une immense lassitude.Pauvre hère qui croule sous le poids de chagrins trop lourd à supporter, qui a perdu tout espoir et qui va dans la vie, accablé de sa bêtise et le cœur ridé, blessé de ne pas trouver ma place "

J'ai l'impression d'être comme une funambule qui peut se casser la gueule à tout moment.

"je traîne comme un fardeau ce sentiment de vide, de renoncement, de non envie absolue.Rien ne m'atteint vraiment, ni triste, ni vraiment accablé, juste absent, retiré d'un monde dont la marche m'importe peu. Je ne rêve à rien, je n'ai envie de rien, j'ai le regard vague, l'esprit errant, mes pensées sont toujours aussi pesante "

Je suis quand même assez active, je fais du sport, des activité, mais pas l'impression d'en retirer un plaisir , je le fais comme hygiène de vie et que si je le faisais pas,ce serait sûrement pire.

"Ce goût du désastre qui ne m'a jamais quitté, cette certitude d'avoir reçu l'existence comme un fardeau trop lourd à porter pour mes trop frêles épaules, cette inaptitude à exister, à être vraiment de ce monde, à participer à sa marche en avant; cette inadéquation entre ce que je suis et ce que la société exige de moi, cette impossibilité à exister autrement que par le recours à l'alcool, aux médicaments, à toutes sortes de subterfuges, de béquilles comme seules alliées pour vaincre les vicissitudes de l'existence, pour continuer à avancer, pour ne pas jeter l'éponge."

J'ai aussi recours à l alcool pour combattre mon mal aisé en société. Suis sûre que le bon dieu s'est bien planté lorsque il s'est occupé de mon cerveau, pour que cette vie me semble aussi lourde,que les choses soient aussi pesante

"Quarante ans et pas une once de sérénité ou de sagesse Toujours les mêmes colères, les mêmes révoltes, les mêmes désirs, les mêmes chagrins, les mêmes traumatismes, les mêmes interrogations. Mais l'esprit jamais en paix.Comme si au fond, je n'avais pas avancé d'un pouce..Un sentiment de sidération face à toutes ces années qui s'en sont allées sans même que je m'en aperçoive"

Pareil. Et je me dis mon dieu, 40 ans, toujours au même stade, pfff c'est triste, tes une grande fille maintenant, tu devrais être en mesure de les avoir dépassé, tes blessures d'enfance. Je ne sais pas qu'en faire, j'arrive pas à les surmonter. Je me sens toujours aussi faible, prête à m'écrouler à tout instant. Encore comvien de temps vais je tenir?

Je m'arrête là pour ce soir, suis avec mon tél et c'est pas très user friendly.

Sache que je suis avec toi, et même si je en suis exempte, j'espère pouvoir t'apporter un peu de chaleur.

Ha bah le fille qui donne ce qu'elle n'a même pas.(reproche de ma soeur, je suis froide, oui je sais, je suis coincée, je ne sais pas re conforter qq en le prenant dans mes bras , pas plus que je ne sais lm'abandonner dans les bras de celui/celle qui voudrait me reconforter)

Avec toute mon empathie

Mona qui est désolée pour toutes les fautes, et lettres en moins, mais que ai tel vitre cassée en plus …

Le blog de PsyAgentDouble » Une boule de colère » 04 octobre 2017 à  22:15

Hello,

est-ce que tu as lu le livre de Natacha Kampush?
Elle aussi parle de son désarroi à la mort de son ravisseur, qu'elle aurait voulu un jugement et qu'il lui a enlevé cela.
Mise à part ce fait, elle parle aussi de son refus de status de victime et refuse qu'on lui affuble le syndrome de Stockholm.

Tu sais, je trouve que tu n'as aucune honte à avoir de ne t'être pas assez défendu, tu dis pas exactement cela, mais je ressens qq chose comme ça.

Je suis révoltée contre cette idée qu'on devrait être prête à tout et que surtout on doit se défendre face à un mec envers qui on a aucune chance, comme si de se faire souiller la chatte était le pire qu'il puisse nous arriver, pire que mourir ou pire que de se faire casser la gueule et avoir peut-être des séquelle !
Comme est écrit dans baise-moi de Virgines depentes (enfin un truc du genre )" Ma chatte j'y met rien de précieux, comme je sais que n'importe quel connard pourra y entrer si il le veut". c'est une réponse d'une des protagoniste du livre à l'étonnement de sa copine, de ne pas la voir détruite par ce qu'il lui est arrivé. Dans l'histoire, les filles viennent de se faire violer.

Je me suis fait agressée sexuellement, je me suis pas défendue, j'ai négocier "ok je te fais fais ça, mais après tu me laisse partir, non je dirai rien, balbalabalba", au bout d'un moment,sachant que j'allais y passer,j'ai eu la présence d'esprit de simuler un malaise. Me suis dit on tente le tout pour le tout, si il veut me violer qu'il le fasse et qu'on en finisse.

Ahh je devrai avoir honte, hein ?? et bein non,j'en ai aucune et je revendique mon droit à "préférer" à me faire violer plutôt que démonter la gueule!!!!

Pourquoi, on n'a "pas le droit" de refuser le statut de victime ????
Pourquoi on n'a "pas le droit" d'aller relativement bien, assez rapidement???
(ah salope si tu n'es pas traumatisée c'est qu'au fond tu as aimé, hein ? )
Pourquoi il faut absolument qu'on se soit défendu,qu'on ait appeler à l'aide, qu'on se soit débattu pour que le viol soit reconnu ?

Comme dit Natacha dans son livre :

"En se fondant sur des crimes comme celui que j'ai subi, la société construit, en noir et blanc, les catégories du bien et du mal qui lui permettent de tenir debout.Il faut que le bourreau soit une brute pour pouvoir rester soi-même du bon côté. Et la victime doit être brisée et le rester, afin que l'externalisation du mal puisse fonctionner."

C'est pour ça qu'on a besoin de victime? Ca les fait jubiler au fond, que des être adoptent cette posture, comme Jesus qui a expier les pêcher ?
IL faut des victimes comme nous pour que le mal s'externalise ?
Des victime afin que nous puissions détester encore plus les agresseurs ? Une cible pour pouvoir décharger la haine ? Cette haine fait de toutes ces petites frustrations accumulées jour après jour? Haine salvatrice !

Autre citation :

"Cette société a besoin de criminels comme Wolfgang Priklopil, pour donner un visage au Mal qui l'habite et le tenir à distance. Elle a besoin de ces images de caves transformées en cachots, pour ne pas avoir à regarder dans toutes ces maisons où la violence montre sa face lisse et bourgeoise. Elle a besoin de victimes de cas spectaculaires comme le mien pour se décharger de la responsabilité des crimes quotidiens commis sur des victimes anonymes que l'on n'aide pas - même si elles réclament de l'aide."

Ah oui heureusement que ces monstres sont la, afin que nous puissions toujours prétendre être du bon côté ! Comme dans la cour de récrés on se mettra à tyranniser le mouton noir,à se ranger du côté ds agresseurs, même si on a rien contre lui, afin de rester, toujours du bon côté !

J'espère ne pas choquer par mes propos. C'est ma vision et je ne suis pas là pour dénigrer celles pour qui ça été un anéantissement et qui ont du mal à surmonter cela.
Ce serait culpabiliser et je ne veux pas ça.
Je milite juste pour avoir le droit à vivre cette expérience(sale) d'une autre manière et le droit à ne pas se défendre !

Je te souhaite de trouver un apaisement à cette colère et t'encourage vivement à lire le livre de Natacha(tu pourrais trouver en elle "une amie" qui te comprends) , qui est impressionnante de lucidité (enfin.....à mon sens)!
tu peux lire qq autre citations de son bouquin :
https://www.babelio.com/auteur/Natascha-Kampusch/114813/citations

Excuse moi si je suis complétement à côté de la plaque, mais je me suis dit que peut-être mon discours pourrait te faire du bien....

Avec toute mon empathie

mona

Édit

La citation de Virginie Despentes

Je peux dire ça parce que j'en ai rien à foutre de leurs pauvres bites de branleurs et que j'en ai pris d'autres dans le ventre et que je les emmerde. C'est comme une voiture que tu gares dans une cité, tu laisses pas des trucs de valeur à l'intérieur parce que tu peux pas empêcher qu'elle soit forcée. Ma chatte, je peux pas empêcher les connards d'y rentrer et j'y ai rien laissé de précieux."

Et un article de skate
http://www.slate.fr/story/150480/gens-trouvent-monstrueuse-apprennent-passe …

Le blog de KeithMe » Perdu.. » 02 juin 2017 à  18:20

Hello,

Je crois tu dois te donner le temps d'aller mieux et ne pas culpabiliser car tu trainassse et que tu as du mal à  te bouger le cul.

Il ne faut pas être trop sévère avec toi même. Apparemment tu as fait déjà  bcp. Essaye plutôt de focaliser ton esprit la dessus.
Je sais c'est pas facile, mais faut bien commencer par qq chose.

Tu peux essayer de noter les petits moments qui te font du bien ! Les chose que tu as faites qui sont bien.
Tu dois surement pouvoir en trouver non ? IL faut essayer de focaliser ton attention a dessus et entrainer ton esprit à  saisir ces moments là  !

tu n'as pas d'amis dis-tu ? N'as tu pas envie de commencer une nouvelle activité qui pourrait te faire rencontrer du monde ?

As-tu entendu parler de la plasticité cérébrale?
par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=-uAWMBTogVU&index=2&list=PLsut2SIZdUFz0dXUohhd7W-gFUrC2tKDm&t=2409s

j'ai d'autre reportage intéressant....faut que je cherche si cela t'intéresse !

Courage et patience

Mona …

Le blog de Absinthe39 » Ma plus grosse addiction: mon mec... » 25 février 2016 à  18:04

hello,

je te suggère cette lecture :

http://aunomducorps.fr/pourquoi-samouracher-d-un-abuseur/

et celle-ci :

http://amour-couple.aufeminin.com/forum/comment-peut-on-aimer-quelqu-un-qui-nous-fait-du-mal-fd4570096

en particulier les réponses de youlita et de miumium2.

Courage

Pensées...

Mona

Le blog de Jean C. » Guerre aux drogues? Guerre contre des personnes! (nous) » 05 octobre 2015 à  23:11

Tu as oublié un argument de taille : il n'y a pas de raison que les drogués soient exempté de tva et les dealers doivent payer leurs impôts comme tous le monde ;-)

Le blog de Jean C. » Découverte et anormalité: parcours d'un enfant abusé » 19 septembre 2015 à  18:47

"Pour réellement comprendre, il faut se distancer, aller au-delà  de la morale et analyser froidement les faits: ça prend beaucoup de temps parce qu'il faut déjà  digérer les faits. "

hello,

Pourrais-tu un peu détailler cela ? Penses-tu qu'une grande part du traumatsime peut être du au fait d'avoir pris du plaisir à  qq chose de réprouvé par la oral ?

Mon copain est adicct au porno et cc, il s'est fait abusé par sa mère enfant, lui aussi a mentionné comme toi le plaisir(mais il ne l'a dit qu'une fois, bien pété), comme toi il a reproduit. Sa sexualité est assez exacerbée bien que je crois que lorsqu'il tire pas il a carrément plus trop envie d'avoir des relations sexuelles, mais c'est un peu flou pour moi cela. Par contre il m'a dit que si il n'a pas de cc il mate pas de porno, mais la pause de midi c'est branlette obligatoire.

Il m'a raconté sa fascination pour une fille plus agée que lui rencontré lorsqu'il avait 12 ans et qui lui laissait la tripoter, comme un fou il était, son départ a été un vrai drame pour lui.

Te lire me sors de mon isolation quant à  son histoire.

Bien à  toi.

Mona …

Remonter

Pied de page des forums