Par Youssef Ait Akdim
Casablanca, 11 heures, lundi matin 30 novembre. Deux hommes en civil, visages fermés, attendent devant le 105, rue Mostafa-El-Maani, en centre-ville. Ils s’adressent au portier à qui ils demandent un certain Mohamed Drissi. Au deuxième étage de cet immeuble moderne, planté
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