Un an plus tard ce nan bâtard
qui disait oui,
L'hibou bidule, débile hybride
et débridé, dévale
Dans un vortex à la Candide
(!)
Béat béni-oui-oui, l’étincelle dans la poudre aux yeux
Éteins celle-là tout vite, avant les aveux
Tout laid, too late, et pan dans tes dos.
Explosion rude et dure. Qui rue, qui dure
et qui perd, dure
Autant que dire Hiroshima à l’envers
Amis, sorry
Pour cette mycose de l’âme, tout feu - full femme
Paraît que leurs ombres ont laissé des traces
Et que les traces t'emmènent à l’ombre
Parcequ’une trace; un écart
Et vînt enfin, la pluie de cendres,
à peine le temps de redescendre
Coulures du ciel dans l’horizon aveugle,
Vestige vertige d’escalier en spyrale
Ça en a fait des coups de balais - trente-huit et des
poussières – au vu du nez
pour encore ramasser, et repousser
hier.
Avec de la ‘c’, ça fait chier
"C’est bien fait pour ta gueule", disait HiTek dans sa cavale sans issue.
Il n’est jamais arrivé mais j’ajouterai :
Pliez les genoux
Mais n’en posez pas
Bas les masques et hauts les cœurs
Mais ne l’ouvrez pas