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Le blog de ephémère tox.stop » explosion de colère, je défie le Malin » 19 juillet 2021 à  07:54

[quote]Cette nuit jai defier le Malin ki napas voulu de moi, domage jétais quasi prete.
Jai pas courage deme tuer alors javais imaginé quen prenant des riskes, la mort viendrait plus vite.[/quote]
Bonjour, fais pire et vas voir les urgences ou ton médecin en racontant tout ça.
Auras tu le courage ? C'est en tous cas le meilleur moyen de te rabibocher avec ta personne de confiance.
Amicalement

Le blog de ephémère tox.stop » Help ! » 18 juillet 2021 à  11:36

Bonjour, j'ai fait un petit topo sur la methode chinoise

[url=https://www.psychoactif.org/forum/uploads/documents/162/methchin1.pdf]methchin1.pdf[/url]

J'ai aussi fait il y a longtemps un topo sur le sevrage heroine

http://www.infos-psychotropes.fr/pdf/protoSVl.pdf

Amicalement

Le blog de Unposcaille » C'est possible d'avoir une vie épanouie avec les stups ? » 16 juillet 2021 à  17:33

Bonjour, pour le Parc aux Rats voir aussi

https://www.stuartmcmillen.com/fr/comic/parc-aux-rats/


C'est sûr que c'est multifactoriel mais je pense que les circonstances jouent un rôle important. Par exemple, en prison (modèle humain de cage et donc de [b]non[/b] Parc aux Rats) l'appétence pour les consommations est majeure mais, souvent, s'arrete à la sortie de prison.

Amicalement

Le blog de Unposcaille » C'est possible d'avoir une vie épanouie avec les stups ? » 09 juillet 2021 à  16:58

Bonjour, à propos d'un avis à donner sur des outils de dépistage du "mésusage" des opiaces , je propose de remplacer la notion de "mésusage" par une analyse selon 4 axes largement indépendants.

la conformité à l'usage réglementaire (mésusage)

le contrôle sur sa consommation par l'usager

les effets bénéfiques

les effets négatifs

Je crois que ça permet d'analyser une consommation (médicamenteuse ou recreative) et d'en mettre en évidence les bénéfices et les risques et les points à surveiller.

Le mésusage réglementaire entraine bien sûr les difficultés médicales ou judiciaires.
Je crois que le contrôle sur la consommation est le facteur principal de consommation à long terme sans trop de pb.
Enfin la balance des effets positifs et négatifs est importante et bien sûr elle évolue dans le temps. Il est donc important de reactualiser regulièrement cette analyse.

Il n'est pas necessaire d'etre "toxicomane" pour mener cette analyse. De nombreux français ont un "probleme" avec l'alcool , que ce soit sur le plan réglementaire (conduite en etat alcoolisé), contrôle (cuites occasionnelles) , effets bénéfiques (le vin c'est bon), effets négatifs (notamment augmentation de la mortalité au dessus de 2 verres/jour).
Mais on peut tout de même mener une vie sereine en dehors de ces quelques accrochages avec l'alcool, si on n'est pas dépendant (alcoolique). Je pense qu'il est possible de le faire avec la plupart des produits mais malheureusement il est difficile de l'évaluer, vu leur caractère illégal.

Est ce que cela vous parle ?

Amicalement …

Le blog de Escape » Traitement à la buprénorphine et à l’aotal » 30 juin 2021 à  07:55

Bonjour, tu as la chance d'etre tombé sur un médecin à l'écoute et compétent. Remercie le et remercie toi en essayant de contrôler des consommations qui partent dans la zone rouge. Amicalement

Le blog de Escape » Le contrôle est têtu » 06 juin 2021 à  08:45

Bonjour , j'aime bien l'approche de judson Brewer. J'ai traduit (avec Deepl) un résumé de son livre, disponible en français. C'est vrai que l'utilisation n'est pas immédiate (il fait de la pub pour son application sur Smartphone, c'est peut être pour ça). Donc je te conseille d'imprimer le post et de demander leur avis à tes medecins, comme tu es bien suivi.
Le principe est d'utiliser la meditation de pleine conscience mais pas centrée sur la respiration etc.. mais sur l'expérience même du craving et de la consommation.
Il y a une logique à ça puisque le comportement addictif peut être lié au thalamus (craving instinctif ou implicite) ou au cortex pré-frontal (craving élaboré ou explicite). Lorsqu'on déplace le craving et la consommation vers le cortex pré-frontal on récupère un peu de contrôle.
Remarquez que la methode n'interdit pas la consommation mais demande qu'elle soit explorée dans toutes ses dimensions.
Amicalement

https://www.babelio.com/livres/Brewer-Le-craving/1192436

https://greatergood.berkeley.edu/article/item/how_to_tackle_your_cravings_with_mindfulness

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)



Comment faire face à vos envies avec la pleine conscience ?
Nos mauvaises habitudes et nos comportements addictifs - comme fumer, trop manger ou utiliser constamment la technologie - nuisent au bien-être et à la santé publique. Un nouveau livre montre comment la pleine conscience peut nous aider.
Par Deborah Yip | 18 mai 2017

Les habitudes peuvent être décrites comme des boucles comportementales automatiques, impliquant des déclencheurs, des comportements et des récompenses. Par exemple, on peut se sentir stressé (déclencheur), manger de la malbouffe ou fumer une cigarette (comportement), et se sentir mieux (récompense). Lorsque vous obtenez (et, plus tard, anticipez) la récompense, votre cerveau libère de la dopamine dans le cadre d'un processus neuronal qui établit une mémoire de ce comportement et vous aide à "apprendre" à exécuter ce comportement la prochaine fois pour obtenir la récompense. Ce processus est appelé apprentissage basé sur la récompense.

Dans la vie de tous les jours, Brewer explique que l'apprentissage par la récompense peut renforcer toute une série d'habitudes gênantes. Les médecins peuvent apprendre à répondre à la souffrance de leurs patients de manière autoprotectrice en prenant une distance émotionnelle (ce qui nuit aux soins prodigués aux patients). Nous pouvons prendre l'habitude de ruminer, de vérifier constamment les notifications de notre téléphone et de nous distraire, au point que ces comportements deviennent une dépendance. Avec le tabagisme et les mauvaises habitudes alimentaires comme principales causes de décès évitables dans le monde, et l'augmentation des accidents dus aux textos au volant, les habitudes peuvent être dangereuses.

La dépendance est définie comme "l'utilisation continue, malgré les conséquences négatives" (ce qui, dans le contexte de ce livre, n'inclut pas les troubles plus graves liés à la consommation de substances). Comment se fait-il que même si une personne est pleinement consciente de la nocivité de ses habitudes, elle continue à les mettre en pratique ? Brewer explique que l'apprentissage basé sur la récompense est le mécanisme très puissant qui forme et renforce les habitudes. Lorsque nous entretenons une relation incontrôlée avec nos habitudes, nous pouvons éprouver par inadvertance des envies de récompense et devenir aveugles à la façon dont ces habitudes nous nuisent au fil du temps.



Nous fonctionnons tout au long de la journée grâce à des habitudes qui sont presque automatiques : se lever, se brosser les dents, faire du café. Transformer des comportements en habitudes évite à notre cerveau d'avoir à fournir un effort supplémentaire pour prendre des décisions, ce qui peut nous être bénéfique : le nageur olympique Michael Phelps a battu des records du monde en réglant avec précision ses habitudes, par exemple.

Mais qu'en est-il de ces autres habitudes - fumer des cigarettes, manger sous l'effet du stress ou consulter constamment nos médias sociaux - qui peuvent nous freiner ?

Dans son nouveau livre, The Craving Mind, Judson Brewer, psychiatre et professeur de psychologie à la Yale School of Medicine, défend l'idée que la pleine conscience et la méditation peuvent vous aider à identifier et à contrer les envies quotidiennes qui mènent à de mauvaises habitudes récalcitrantes, voire à des dépendances. Brewer, également directeur de recherche au Center for Mindfulness de la faculté de médecine de l'université du Massachusetts, nous guide à travers diverses dépendances (à la cigarette, à la technologie, à la distraction et même à l'amour) et nous explique comment nous pouvons modifier notre cerveau pour nous en défaire.
Nos habitudes et nos dépendances

Bien que l'étude des comportements de dépendance soit apparue dans la psychologie occidentale au XIXe siècle, elle est en fait observée depuis des milliers d'années. Brewer et ses collègues ont établi une correspondance entre l'apprentissage fondé sur la récompense et le concept bouddhiste d'"origine dépendante", qui décrit la nature de l'envie et la façon dont elle conduit à une souffrance continue. Comme la tradition bouddhiste enseigne la pleine conscience pour aider les gens à comprendre le besoin et la souffrance, Brewer suggère que la pleine conscience peut également nous aider à nous libérer de nos mauvaises habitudes modernes.
Comment la pleine conscience peut-elle aider ?

M. Brewer estime que les qualités de curiosité et d'attention de la pleine conscience sont essentielles pour lutter contre les mauvaises habitudes. Être plus attentif peut vous aider à voir clairement les résultats de vos comportements et à évaluer si ces derniers vous aident ou vous nuisent. Être conscient des résultats peut vous aider à reconnaître vos angles morts et à réaliser comment ils perpétuent les mêmes habitudes néfastes. Une fois que vous ne serez plus prisonnier de vos envies, vous pourrez commencer à orienter votre comportement vers des récompenses plus utiles.


Dans un essai clinique randomisé, Brewer a montré qu'un programme basé sur la pleine conscience aidait les fumeurs à arrêter de fumer deux fois plus vite que le programme de référence "Freedom From Smoking" de l'American Lung Association. Dans le cadre du programme de pleine conscience, les fumeurs se sont vu enseigner des pratiques formelles et informelles, notamment la conscience de la respiration, l'amour bienveillant et l'attention portée aux déclencheurs d'habitudes et aux actions. Les fumeurs ont déclaré être plus conscients des raisons pour lesquelles ils fumaient, des comportements qu'ils pouvaient substituer à la cigarette et de l'odeur et du goût dégoûtants de la fumée de cigarette.

L'étude a également révélé que parmi toutes les pratiques informelles, celle qui était associée aux plus fortes réductions du tabagisme était RAIN, dans laquelle les personnes sont encouragées à :

Reconnaître/se détendre dans ce qui se présente
Accepter/permettre qu'il soit là
Investiguer les sensations corporelles, les émotions et les pensées
Noter ce qui se passe d'un moment à l'autre.


nb= RAIN est l'Acronyme en anglais pour
Recognize/relax into what is arising
Accept/allow it to be there
Investigate bodily sensations, emotions, thoughts
Note what is happening from moment to moment


La pratique de RAIN a aidé les fumeurs à aborder leur tabagisme en tant qu'observateurs, les distanciant de leur habitude d'une manière qui leur a permis de se désenchanter et de finir par arrêter de fumer - une stratégie qui peut être utile en conjonction avec des plans de traitement médicamenteux.



Brewer conseille également de ne pas forcer brutalement le changement d'habitude. Au lieu de cela, lorsque vous êtes confronté à une envie de l'ancienne récompense, soyez curieux de savoir comment vous vous sentez et pourquoi vous vous sentez ainsi. Le fait d'être trop soucieux de vaincre l'habitude et de s'investir émotionnellement dans les progrès et les rechutes peut nuire à une véritable attention, explique-t-il. Il est plus efficace d'être dans le moment présent et de regarder les choses se dérouler que d'essayer de se forcer à arrêter de fumer.

Lorsque vous faites cela, dit Brewer, l'une des choses que vous pouvez commencer à reconnaître est la différence entre l'excitation et la joie comme récompenses. La joie est ouverte et découle de la curiosité et de l'attention, tandis que l'excitation - comme celle que l'on ressent après avoir fait beaucoup d'achats en ligne - est plus agitée et donne envie d'en faire plus. La découverte des plaisirs subtils de la joie et de l'excitation par la pleine conscience peut vous aider à choisir plus souvent la voie de la joie (et, avec elle, de bonnes habitudes).

Dans nombre de ses études de neuro-imagerie, Brewer se concentre sur une région du cerveau : le cortex cingulaire postérieur (CCP), qui s'active généralement lors d'une activité cérébrale autoréférentielle telle que le besoin. Ses travaux montrent que des états mentaux tels que la méditation, la concentration, la joie et l'émerveillement sont associés à une diminution de l'activité du cortex cingulaire postérieur, ce qui prouve de manière irréfutable que la pleine conscience peut aider à libérer l'esprit d'habitudes incontrôlables.

Étant donné que de nombreux problèmes de santé sont alimentés par des habitudes et des dépendances - et que certains groupes raciaux, socio-économiques et autres groupes démographiques sont confrontés de manière disproportionnée à ces problèmes de santé - il est essentiel de trouver de meilleures solutions pour aider les gens à modifier leur comportement. Bien que le livre de Brewer nous fournisse un argument convaincant selon lequel la pleine conscience est une pratique utile qui peut être acceptée par un large éventail de personnes, il existe encore des obstacles pour certains groupes. Néanmoins, son travail a conduit à la création de deux applications de pleine conscience pour smartphone, Craving to Quit et Eat Right Now, qui aident les gens à prendre le contrôle de leurs habitudes de consommation de tabac et de nourriture et à les surmonter, et qui pourraient rendre la pratique de la pleine conscience plus largement accessible.

Et, pour ceux d'entre nous qui n'ont pas de dépendance grave mais qui ne peuvent tout simplement pas se débarrasser de leur téléphone portable, son livre nous donne une raison supplémentaire de pratiquer la pleine conscience. …

Le blog de Unposcaille » Tout ce que je veux, c'est être contenue » 01 juin 2021 à  07:55

[quote]Je me demande souvent si je devrais demander à aller en hp, ou si je devrais continuer à faire la patiente docile qui croit en sa guérison. Peut être que si j'expliquais en détail à mon psychiatre comment je compte me suicider, il ferait quelque chose. A chaque fois que j'y suis presque, je plonge. Il n'a pas l'air de considérer que les choses urgent. Sans lui, je me illégitime à appeler les urgences, malgré les tentatives.[/quote]
Clairement tu as identifié qu'il faut "faire autre chose". Il faut donc que tu cherches avec tes soignants ce qui peut te faire changer. A commencer par ne plus avoir peur de changer. Amicalement

Le blog de Cris » Covid19 Vaccination » 20 mai 2021 à  08:22

[quote]Aujourd'hui, je ne ressens plus le besoin de continuer ce traitement.
Mais hélas, j'arrive pas à réduire la dose sinon je suis pas bien.

Arrêter, diminuer chez moi, c'est impossible.
Sans travail, sans bonne condition de vie, je vois mal comment j'y arriverai.[/quote]
La réponse est dans ta question. Si tu n'y arrives pas il faut envisager "autre chose", soit continuer la Methadone et d'abord chercher travail et conditions de vie, soit te faire aider par un CSAPA pour entamer une diminution très progressive.
Et dans tous les cas l'aide du CSAPA peut etre utile, notamment par une prise en charge psychologique (la plupart des CSAPA propose un suivi gratuit) et/ou par une aide psycho-sociale pour trouver du travail.
Amicalement

Le blog de Terson » Compilation PDF de mes recherches en chimie des psychotropes » 17 avril 2021 à  17:21

Bonjour voici ce qu'en dit la Mildeca

https://www.drogues.gouv.fr/ce-que-dit-la-loi/en-matiere-stupefiant/provocation-lusage


[quote]L’article L.3421-4 du code de la santé publique interdit la provocation à l’usage ou au trafic de stupéfiants ou de substances présentées comme telles, même si cette provocation est restée sans effet. Ces faits peuvent être punis d’une peine de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.

Lorsqu’elle a lieu dans des établissements d'enseignement ou d'éducation et plus généralement dans les locaux de l'administration, ou aux abords de ces établissements ou locaux, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, la peine encourue est portée à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende

Le fait de faciliter l’usage de stupéfiants est puni de 10 ans d’emprisonnement et 7 500 000 euros d’amende.

Le fait de provoquer directement un mineur à faire usage de stupéfiants est puni de 5 ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Les peines sont aggravées à 7 ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende lorsqu’il est âgé de moins de 15 ans, ou que les faits ont été commis dans des établissements d'enseignement ou d'éducation et plus généralement dans les locaux de l'administration, ou aux abords de ces établissements ou locaux, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci.

Le fait de présenter les stupéfiants sous un jour favorable, y compris par voie de presse, est également punissable d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Certains sites internet, étrangers mais aussi français, font la promotion de l’usage du cannabis, vendent du matériel destiné à la culture de cannabis, des graines de cannabis, des plantes hallucinogènes ou des produits présentés comme ayant des propriétés stupéfiantes. Ces sites sont passibles de poursuites pénales.[/quote]
A mon avis la prudence s'impose, surtout s'il y a beaucoup de "matériel". Amicalement …

Le blog de Escape » Qu'est ce qui va pas chez moi ? » 27 février 2021 à  12:56

Bonjour, la définition est

http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=26511953

[quote]Définition

Substance qui possède des propriétés analgésiques semblables à celles de la morphine, sans nécessairement avoir une structure chimique comprenant un noyau morphinane.
Note

Les opioïdes sont sans rapport direct avec l'opium, contrairement aux opiacés.[/quote]
opiacés Définition

[quote]Substance constituée d'opium ou en contenant, ou encore, qui est extraite de l'opium.[/quote]
Selon les personnes les opioides peuvent donc désigner aussi les opiacés ou non (sans [b]nécessairement[/b] avoir une structure chimique comprenant un noyau morphinane.) . D'où une certaine confusion. De toute façon c'est une distinction portant sur la provenance plus que sur les propriétés pharmacologiques. L'utilisation du terme opioide pour designer en général la morphine, le fentanyl, l'oxycodone, la codeine etc.. me parait donc préférable.
En utilisant le terme "opiacés" on peut comprendre qu'on exclut les opioides de synthese, alors qu'ils ont des propriétés et des risques assez proches.
Mais l'important est surtout de se comprendre !
Amicalement …

Le blog de Escape » Qu'est ce qui va pas chez moi ? » 27 février 2021 à  09:11

Bonjour, je lis ton blog après celui ci

https://www.psychoactif.org/blogs/Le-droit-a-la-dignite-De-stigmatisation_6204_1.html?from=encemomentb#c37543

Vaste probleme que celui de la souffrance psychique.
Notamment sur l'emploi des psychotropes où la médecine officielle favorise des produits qui ne calment pas tant la douleur psychique que les troubles du comportement (les neuroleptiques notamment). Et une médecine officielle qui ne comprend pas que les usagers favorisent ce qui apaise leur douleur psychique (mais au prix d'une addiction et d'effets secondaires).
Un dialogue de sourds parfois !
nb= le Nozinan, comme le Tercian, peut etre bien toléré à petites doses.Il est anxiolytique.

C'est pourquoi les techniques non médicamenteuses (et non "produits") , psychothérapies etc.. malheureusement peu accessibles en France (peu remboursées, structures gratuites (CSAPA, psychiatrie publique) aux moyens limités..) sont importantes. Ainsi que les méthodes "non médicales", méditation, sophrologie etc..

Essaie de trouver dans ton environnement des aides de ce type, au moins pour les identifier, même si tu ne les utilises pas tout de suite.

Amicalement …

Le blog de MangerDesPommes » Le Guronsan, mon analyse » 30 janvier 2021 à  08:03

Bonjour, pour info la RCP du Guronsan

http://agence-prd.ansm.sante.fr/php/ecodex/rcp/R0298449.htm

Par ailleurs la cafeine n'est plus classée comme dopant depuis 2004.

https://www.coachxv.com/preparation/cafeine-un-produit-dopant-autorise/

Amicalement

Le blog de lucianoirina » Overdose » 13 janvier 2021 à  15:47

[quote=lucianoirina]Merci pr ta réponse, donc tu crois qu'il est préférable que je monte doucement, mais si je fai sa je ne verrai pas les effet bénéfique, et juste 400mg une fois sincèrement je doute qui ya un risque dov, mon corps est sous metha depuis très longtemps alors je pense que pr l'overdose il me faudrai au moins 1000mg en une fois, si je veu prendre 400mg c parce que je sais que c une dose importante mais qui ne me feras pas d'overdose, pas possible, mon corps et trop habitué à la metha, et pr voir les effets bénéfique dont les médecins parle comme le confort etc, je pense quand y allant franco on est fixer, même si je sais que 400mg et plus que mon quotidien quand le corps et habituer je doute que sa[/quote]
Le problème c'est que i tu te trompes , tu auras du mal à le signaler depuis chez saint Pierre (Ils n'ont pas encore Internet là haut).
Amicalement

Le blog de benzodiazeweed » Tramadol » 20 décembre 2020 à  16:29

[quote]L'important c'est pas la chute c'est l'attérissage.[/quote]
Oui il y a une histoire la dessus. Un gars chute du 8ème étage et au 5ème un autre lui demande "ça va ?" et il répond "pour le moment, ça va".
Mais l'autre aurait pu lui dire [i]L'important c'est pas la chute c'est l'attérissage[/i] ! :demon::demon: Et en effet certains survivent à une chute du 2ème étage ou plus. ça ne permet pas d'écrire que c'est sans danger.

Pour revenir au Tramadol, oui 700 mg c'est beaucoup. Il y a notamment en plus du risque opiacé un risque de convulsions.
Amicalement

Le blog de benzodiazeweed » Nozinan » 18 décembre 2020 à  14:30

Bonjour, notamment tu risques une dystonie (jambes sans repos, torticolis, langue bloquée etc..).

https://www.forumpsy.net/t617-dystonie-aigue-induite-par-les-neuroleptiques-definition-dsm-iv

Il peut devenir indispensable d'aller aux urgences pour l'injection d'un correcteur.

Le blog de filousky » Revue de presse Cannabis thérapeutique du 1° décembre 2020 » 02 décembre 2020 à  12:14

Bonjour, je remarque la ref suivante

[quote]Science/Homme: La consommation de cannabis peut être associée à des effets néfastes sur la santé mentale
Dans une analyse portant sur 410 138 personnes, la consommation de cannabis a été associée à un épisode dépressif majeur, à une maladie mentale grave et à des idées suicidaires. Cette association était “cohérente avec les relations causales”.
Département de psychiatrie, Université d’Australie occidentale, Crawley, Australie.
Reece AS, et al. BMC Public Health. 2020;20(1):1655.[/quote]
cette étude porte sur un grand nombre de patients et utilise des méthodes statistiques très sophistiquées, donc semble "définitive". Il n'en est rien.

Voici l'article en entier

https://europepmc.org/backend/ptpmcrender.fcgi?accid=PMC7640473&blobtype=pdf


L'article utilise les données du NSDUH qui recense les données de consommation et de santé mentale, de façon indépendante selon ce que l'article voudrait faire croire.
https://www.samhsa.gov/data/sites/default/files/cbhsq-reports/NSDUHNationalFindingsReport2018/NSDUHNationalFindingsReport2018.pdf

En fait le recueil des données est très centré sur la consommation et la "prévalence" de maladies mentales évaluée de façon manifestement liée.
voir la table des matieres ci dessous.

[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1606/samhsa1.png][img width=800 height=712]/forum/uploads/images/1606/samhsa1.png[/img][/url]


[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1606/samhsa2.png][img width=800 height=720]/forum/uploads/images/1606/samhsa2.png[/img][/url]


[url=https://www.psychoactif.org/forum/image-reelle.php?code=1606/samhsa3.png][img width=800 height=531]/forum/uploads/images/1606/samhsa3.png[/img][/url]

Les données au long cours des affections mentales aux USA et en Europe posent des problèmes méthodologiques qui expliquent des differences importantes.

https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/08897077.2014.960551

et leur qualité doit etre évaluée avec prudence

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5896987/

L'affirmation par l'article d'une augmentation importante des maladies mentales aux USA est donc fondée uniquement sur les données du NSDUH .

D'ailleurs le SAMHSA qui est le bras armé de ces statistiques lance un appel d'offres pour l'aider à resoudre des problemes pour l'année 2019. Il reconnait lui même le caractère imparfait de ses chiffres.

https://www.samhsa.gov/grants/grant-announcements/fg-19-003

[quote]Description

The Substance Abuse and Mental Health Services Administration (SAMHSA) is accepting applications for fiscal year (FY) 2019 Mental and Substance Use Disorders Prevalence Study. In 2017, an estimated 35.4 million adults (14.3 percent) in U.S. households had mental illness in the past year and 18.7 million had a substance use disorder while 8.5 million had both a mental and substance use disorder (co-occurring disorders). Of those with a mental illness, 11.2 million adults (24.0 percent) had serious functional impairment (serious mental illness [SMI]) that interfered with or limited one or more major life activities. Only 33% of those living with SMI received the care they needed. These data highlight that mental illness, particularly SMI, is a significant public health problem with substantial unmet treatment needs in the United States. However, current surveillance systems leave several gaps in the understanding of these issues. These gaps focus on two vital areas: lack of an accurate estimate of the numbers of Americans affected by the most seriously impairing disorders (e.g., psychotic disorders such as schizophrenia and schizoaffective disorder, severe affective disorders including major depression and bipolar disorder) and lack of the inclusion of critical populations who do not reside in households, e.g., homeless, institutionalized, or incarcerated populations in these estimates for mental and substance use disorders. The purpose of this grant program is to ensure that these gaps in surveillance are addressed through a pilot program which assists in estimating the actual number of individuals living with mental and substance use disorders, including those of the greatest severity.[/quote]
[quote]La description

L'Administration des services de toxicomanie et de santé mentale (SAMHSA) accepte les candidatures pour l'étude de prévalence des troubles mentaux et liés à l'utilisation de substances psychoactives de l'exercice 2019 (FY). En 2017, environ 35,4 millions d'adultes (14,3%) dans les ménages américains avaient une maladie mentale au cours de la dernière année et 18,7 millions avaient un trouble lié à l'usage de substances, tandis que 8,5 millions avaient à la fois un trouble mental et un trouble lié à l'utilisation de substances (troubles concomitants). Parmi les personnes atteintes d'une maladie mentale, 11,2 millions d'adultes (24,0%) avaient une déficience fonctionnelle grave (maladie mentale grave [SMI]) qui interférait avec ou limitait une ou plusieurs activités majeures de la vie. Seulement 33% des personnes vivant avec le SMI ont reçu les soins dont elles avaient besoin. Ces données soulignent que la maladie mentale, en particulier l'IMS, est un problème de santé publique important avec d'importants besoins de traitement non satisfaits aux États-Unis. Cependant, les systèmes de surveillance actuels laissent plusieurs lacunes dans la compréhension de ces problèmes. Ces lacunes se concentrent sur deux domaines vitaux: le manque d'estimation précise du nombre d'Américains touchés par les troubles les plus graves (par exemple, les troubles psychotiques tels que la schizophrénie et le trouble schizo-affectif, les troubles affectifs graves, y compris la dépression majeure et le trouble bipolaire) et l'inclusion des populations critiques qui ne résident pas dans des ménages, par exemple les populations sans abri, institutionnalisées ou incarcérées dans ces estimations des troubles mentaux et liés à l'usage de substances. [b]Le but de ce programme de subventions est de veiller à ce que ces lacunes en matière de surveillance soient comblées par un programme pilote qui aide à estimer le nombre réel de personnes vivant avec des troubles mentaux et liés à l'utilisation de substances, y compris celles qui sont les plus graves[/b][b][/b].[/quote]
Donc il est clair que c'est un article très ideologiquement marqué qui ne donne que les references qui vont dans son sens.
Je rappelle encore puisqu'il le faut l'expérience du Parc aux Rats qui montre la relativité des "études sur la drogue".

http://www.stuartmcmillen.com/fr/comic/parc-aux-rats/


Amicalement


Amicalement …

Le blog de ALLOVERTHENIGHT » Vapos VS joints » 02 décembre 2020 à  08:56

Bonjour, depuis ce post, Matthew a été banni (en mars 2020).
Amicalement

Le blog de Thelma » Nuit blanche » 29 novembre 2020 à  09:59

A Thelma,

Bonjour, ton généraliste peut probablement t'aider, peut etre un psychiatre ou un addictologue liberal.

Pour Cris

Le probleme des CSAPA est que c'est gratuit, donc le financement determine la quantité d'usagers qui peut etre prise en charge. Et il est décidé de façon centralisée par des fonctionnaires qui ne sont pas forcément sur le terrain.

Alors que dans le systeme liberal, l'augmentation des demandes peut pousser d'autres médecins à s'installer. Mais le numerus clausus est là pour donner des limites à ce mode de régulation, "normal" car fondé sur le marché et la demande.
Comme le disait Georges Marchais "ce n'est pas votre question, mais c'est ma réponse" !

Amicalement

Le blog de Finn Easter » La dictature du bonheur » 13 novembre 2020 à  11:16

Bonjour, je rappelle la citation d'Epictete , le stoicien

[quote]Ne demande pas que ce qui arrive arrive comme tu veux. Mais veuille que les choses arrivent comme elles arrivent, et tu seras heureux.[/quote]
Amicalement

Le blog de Finn Easter » La dictature du bonheur » 08 novembre 2020 à  12:20

Bonjour, je suppose que tu as lu Kierkegaard!

https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%B8ren_Kierkegaard#Le_d%C3%A9sespoir

http://fr.psy.co/atteindre-le-bonheur-conseils-de-kierkegaard.html

https://www.cairn.info/magazine-sciences-humaines-2014-2-page-33.html#

Dans "ou bien ou bien" https://www.les-philosophes.fr/ou-bien-ou-bien.html

[quote]La porte du bonheur ne s'ouvre pas vers l'intérieur, et il ne sert donc à rien de s'élancer contre elle pour la forcer. Elle s'ouvre vers l'extérieur. Il n'y a rien à faire.[/quote]
Amicalement

Le blog de JellyFish's Dream » Tout ça parce qu'il faut pisser dans un bocal. » 13 octobre 2020 à  10:17

Bonjour, je constate ton spleen existentiel. C'est sûr que les produits te "calment" instantanément, comme les somnifères endorment instantanément. Mais ils ne résolvent pas les problèmes et au mieux on a une conso régulière, au pire une consommation en dents de scie, voire une addiction.
Il existe des solutions pour le long terme mais elles ne sont pas "immédiates". Elles demandent donc un investissement au moyen et long cours.
Tu as parlé du sport. Il y a aussi les moyens "psychologiques", méditation, sophrologie etc.. Je pense qu'une psychothérapie pourrait t'aider, au moins te donner des pistes.
Pour le sport, il faut savoir que, comme les médocs, il faut prendre la dose nécessaire. Et, souvent, une heure ou deux de jogging par semaine sont insuffisantes. Il faut combiner activité statique (muscu) et dynamique (velo, jogging) + souplesse (gym, tai chi etc..). Et viser au moins 150 mn par semaine, mais 300 ne sont pas exagérées. C'est donc un investissement important qu'il faut savoir susciter et maintenir. Mais les résultats sont là généralement.
J'ai fait un site sur le sujet.

http://pmillet.fr/fit

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Le blog de LndvT23 » Encore une insomnie » 08 octobre 2020 à  10:11

[quote]Pour ce qui est de l'influence que les gens et les médias s'efforcent d'imposer à leur semblable, j'ai une solution : je ne m'adresse pas à toutes ces pu**s. À peine si je reconnais leur existence.[/quote]
Je plussoie. ça fait 15 ans que je ne regarde plus les actualités TV, qui nous manipulent et nous "émeuvent" (mais au profit de qui ?). Je regarde google news et écoute France Info, ça permet beaucoup plus de distance par rapport aux manipulations auxquelles nous sommes exposés. Je reste manipulé mais je l'espère "un peu moins";

Pour lndv, j'espère que tu arriveras à trouver plus de plaisir à vivre. N'oublie pas que, comme le dit un proverbe chinois, un long voyage commence par un premier pas. Donc tous les premiers pas , qui sont à ta portée, mais que tu négliges peut etre parce qu'ils te paraissent dérisoires, sont le début du chemin vers une vie meilleure. Le bonheur est fait d'une foule de petites choses.

Amicalement …

Le blog de filousky » Revue de presse Cannabis thérapeutique du 21 septembre 2020 » 22 septembre 2020 à  07:51

Bonjour, je pense qu'il y a une erreur de traduction

[quote]Selon une étude portant sur 40 consommateurs réguliers de cannabis et 40 non-utilisateurs, le cannabis n’influence pas l’intensité de la douleur. [b]La réduction[/b] de la sensibilité à la douleur des utilisateurs réguliers d’opioïdes est un problème pour le traitement de la douleur par les opioïdes[/quote]
Il s'agit d'une [b]augmentation[/b] de la sensibilité à la douleur avec les opioides , donc une hyperalgésie. Comme le précise le reste du résumé et la ref suivante.

https://neurosciencenews.com/cannabis-use-pain-17002/

Hyperalgésie que n'entraine pas le cannabis !

Amicalement

Le blog de Milanooo » Sevrage opiacés et temesta+ pregabaline comme solution ? » 15 septembre 2020 à  18:29

Bonjour, le traitement du syndrome des jambes sans repos est réputé "difficile" (peu d'effets des medocs) mais en effet c'est ce qui est recommandé.
Amicalement

Le blog de filousky » Revue de presse Cannabis thérapeutique du 4 août 2020 » 04 août 2020 à  17:03

[quote]Europe: Dans un premier temps, la Commission EURopéenne déclare que le chanvre industriel est un stupéfiant
L’organe exécutif de l’Union EURopéenne a gelé toutes les applications d’extraits de chanvre et de cannabinoïdes naturels en vertu de la réglementation sur les nouveaux aliments, les considérants comme des stupéfiants.[/quote]
Bonjour, c'est atterrant. voir

https://securite-alimentaire.public.lu/fr/actualites/communiques/2020/8/cannabis.html

pour le détail.
On voudrait démolir l'Europe en prenant des décisions aberrantes qu'on ne s'y prendrait pas autrement.
Moi qui suis un européen convaincu je suis vraiment en colère.

Amicalement

Le blog de Bkk2012 » le fait de sniffer au chiotte vous trouver sa dégradant ? » 21 juillet 2020 à  17:13

Bonjour, comme tu le soulignes c'est un bon pote et il ne te débine pas en douce mais est franc avec toi.
Je pense que ça l'a "choqué" et c'est pourquoi il l'a pris comme ça. Imagine que tu trouves un pote en train de retirer la peau des grenouilles (mortes). C'est un spectacle un peu "choquant" et pourtant quand on veut les cuisiner et qu'on les a pas acheté surgelé il faut le faire. Ta première réaction serait peut etre de dire que c'est dégoûtant. Mais quand il te servira des cuisses de grenouilles avec la peau , tu comprendras la raison.

Comme c'est un bon pote tu peux lui expliquer que c'est mieux que de s'injecter (sur le plan des complications potentielles) et que le fait de le faire dans les chiottes c'est parce que ce n'est pas accepté en public. Et je pense qu'il comprendra.

Amicalement

Le blog de Ocram » (4-HO-MET) Métocine, la rando hallucinée » 15 juillet 2020 à  18:48

Pour info

https://psychonautwiki.org/wiki/4-HO-MET

[quote]Toxicité et danger potentiel
Pour plus d'informations: Recherche de produits chimiques § Toxicité et potentiel nocif, et Utilisation responsable § Hallucinogènes

La toxicité et les effets à long terme sur la santé de l'utilisation récréative du 4-HO-MET ne semblent avoir été étudiés dans aucun contexte scientifique et la dose toxique exacte est inconnue. En effet, le 4-HO-MET est un produit chimique de recherche avec très peu d'histoire d'utilisation humaine. Cependant, il y a des rapports de doses très élevées conduisant à une psychose induite par les médicaments.

Des preuves anecdotiques de ceux qui ont essayé le 4-HO-MET suggèrent qu'il n'y a pas d'effets négatifs sur la santé attribuables au simple fait d'essayer la substance seule à des doses faibles à modérées et de l'utiliser avec parcimonie (mais rien ne peut être complètement garanti). Des recherches indépendantes doivent toujours être effectuées pour s'assurer qu'une combinaison de deux substances ou plus est sûre avant la consommation.

Il est fortement recommandé d'utiliser des pratiques de réduction des risques lors de l'utilisation de cette substance.
Tolérance et potentiel de dépendance

Le 4-HO-MET ne crée pas d'habitude et le désir de l'utiliser peut en fait diminuer avec l'utilisation. Il est le plus souvent autorégulé.

La tolérance aux effets du 4-HO-MET se construit presque immédiatement après l'ingestion. Après cela, il faut environ 3 jours pour que la tolérance soit réduite de moitié et 7 jours pour être de retour au niveau de référence (en l'absence de nouvelle consommation). 4-HO-MET présente une tolérance croisée avec tous les psychédéliques, ce qui signifie qu'après la consommation de 4-HO-MET, tous les psychédéliques auront un effet réduit.
Interactions dangereuses

Bien que de nombreuses substances psychoactives soient raisonnablement sûres à utiliser seules, elles peuvent rapidement devenir dangereuses, voire mortelles, lorsqu'elles sont combinées avec d'autres substances. La liste ci-dessous comprend certaines combinaisons dangereuses connues (bien qu'il ne puisse être garanti de les inclure toutes). Des recherches indépendantes (par exemple Google, DuckDuckGo) doivent toujours être menées pour s'assurer qu'une combinaison de deux substances ou plus peut être consommée sans danger. Certaines interactions répertoriées proviennent de TripSit.

Lithium - Le lithium est couramment prescrit dans le traitement du trouble bipolaire. Il existe un grand nombre de preuves anecdotiques qui suggèrent que le prendre avec des psychédéliques augmente considérablement le risque de psychose et de convulsions. Par conséquent, cette combinaison est strictement déconseillée.
Cannabis - Le cannabis a une synergie étonnamment forte et imprévisible avec les effets des psychédéliques. La prudence est recommandée avec cette combinaison car elle peut augmenter considérablement le risque de réactions psychologiques indésirables comme l'anxiété, la paranoïa, les crises de panique et la psychose. Il est conseillé aux utilisateurs de commencer avec seulement une fraction de leur dose de cannabis normale et de prendre de longues pauses entre les coups pour éviter une consommation excessive.
Stimulants (amphétamine, cocaïne, méthylphénidate, ...) - Les stimulants affectent de nombreuses parties du cerveau et altèrent la fonction dopaminergique. Combinée aux psychédéliques, la stimulation peut se transformer en anxiété grave, panique, boucles de pensée et paranoïa. Cette interaction peut entraîner un risque élevé de manie et de psychose. [Citation nécessaire]
Tramadol - Le tramadol abaisse le seuil de crise [6] et les psychédéliques peuvent agir comme déclencheurs de crises chez les personnes sensibles. [Citation nécessaire][/quote]
Amicalement …

Le blog de Zazou2A » Recette chimique contre l’insomnie: dont do it at Home » 15 juin 2020 à  11:41

Bonjour, l'administration répétée d'Etomidate peut donner une insuffisance surrénalienne, mais seulement si on survit à l'OD !

https://www.doctissimo.fr/medicament-HYPNOMIDATE.htm

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